Mauvaise rencontre ?

Les rues de Londres ... Je les connais quasiment toutes. Enfin presque, les mal famées je ne m'y aventure pas trop. Surtout avec les rumeurs qui court sur Jack The Rippers qui plus est ce ne sont pas que de simple rumeurs. Si vous vous demandez ce que je fais dans les rues seule et bien je vais vous répondre, je ne suis plus une gamine je fais ce que je veux, dans les limites du possible. Non, en fait je me promène ça m'arrive souvent, j'aime flâner ça et là, sans but précis. L'aventure et la liberté ça c'est la belle vie. Les oiseaux en on de la chance, libre dans le bleue du ciel ça doit être super. Tiens en parlant d'oiseaux ... Un perroquet, plus précisément un cacatoès arrivait à tire d'ailes dans ma direction. Il se posa sur mon épaule et ne bougea plus.

- Tu n'es pas très bavard aujourd'hui.

Et oui je comprend les animaux et en retours eux me comprennent. Moi qui aime les animaux plus que tout c'est l'une des plus belles choses qui me soit arriver. Au début j'ai eu peur de ce don mais petit à petit je m'y suis accoutumer et j'y prend goût. Pour revenir à notre perroquet, c'est Sueño. Je ne vais pas vous dire qu'il est à moi car ce n'est pas vrai je ne le possède pas c'est un ami et on ne possède pas ses amis à ce que je sais. J'aime le taquiner, il parle sans arrêt un vrai moulin à parole, c'est rigolo mais vite agacent. Pour toute réponse l'oiseau s'envola et se posa sur le toit de la maison d'en face.

- Alors tu fait la tête.

Petite chose aussi il est très susceptible et il se prends un peu pour le prince des oiseaux. Moi qui déteste les prétentieux et monsieur " Moi je ... " Je me surprends à ne pas l'envoyer sur les roses. Soudain un bruit fracassent ce fit entendre, comme si quelques choses tombait violemment au sol et je vis un chat sortir d'une poubelle dont la moitié des déchet gisait maintenant au sol. Le chat en question c'est aussi un de mes ami Pazu, c'est son nom. Mais parents me l'on offert pour mon onzième anniversaire et cela fait maintenant deux ans que l'on ne se quitte plus enfin façon de parler il y'a des fois où il disparait pendant trois ou quatre jours et réapparaît comme si de rien était. Lui il ne se prend pas pour un roi, mais plutôt pour un aventurier toujours à tout escalader. En même temps c'est un chat, en plus il est très joueurs un vrai petit chaton. C'est dingue tout ce que les animaux ont à nous dire. Je leva les yeux vers le perchoir de Sueño et fut surprise de ne plus le voir. Bah ... tant pis il est grand. Pazu quand à lui avait fait une apparition éclair il était déjà reparti. D'un ton sarcastique je marmona - pas trop fort pour que personne n'entende :

- Merci de me laisser c'est sympathique.

Et je repris ma marche solitaire et sans but.

On ne sait jamais trop pourquoi, mais je dois presque toujours commencer ces rps en expliquant pourquoi Alessandro a décidé de partir en balade sachant que cela n'est pas vraiment sa tasse de thé. C'est donc ceci que je vais faire pour commencer ce texte. On prend les même, on recommence, mais pas de la même manière... Et j'aime ça, ah ah ! Donc, comment expliquer ? Laissez-moi un instant... Comme souvent, tout était parti d'un joyeux caprice de la part de notre noblaillon pourri gâté. "J'aime pas les tomates !", voilà. La phrase qui résume le tout. Et oui mes amis, il ne fallait pas lui en proposer pour déjeuner, bande d'inconscients. Il ne faut jamais parler de ce fruit infâme à mon personnage sous peine de larmes, crises de nerfs et tympans percés. Il déteste ça, c'est tout. Et si quelqu'un insiste pour en faire un peu à dîner parce qu'il aime bien ça et bien il mange par terre. Pas de ces choses ignoble à la table Gabrielli, point. Etant donc passablement énervé, il avait envoyé valser son dîner et s'était dirigé vers la sortie de son manoir en scandant qu'il ne remettrait pas les pieds dans la salle à manger tant que celle-ci ne serait pas nettoyée de fond en comble pour faire disparaître la souillure qui imite de manière bien médiocre la couleur de ses sublimes cheveux. Après avoir marché pendant un bon moment, il se dit qu'il était peut-être temps de tenter de se calmer parce qu'il avait faim et que ce n'était bien évidemment pas lui qui se ferait à manger. Il devait reprendre son sang froid afin de pouvoir repénétrer dans la maison et récupérer de l'argent afin de se payer les services d'un cuistot durant un seul repas. Non, non, il ne peut pas tout simplement rentrer chez lui et attendre que l'on lui refasse à manger. Il a dit qu'il ne remettrait plus un orteil dans la salle réservée à cet effet. Un gros problème donc.

Conclusion : se calmer. Pour cela, il avait une méthode imparable ! Il tata un peu les décorations qui ornaient son habit. Son doigt s'arrêta sur une simple pierre habilement déguisée en celles que l'on qualifie de "précieuse". Elle s'appellait Georges. Une de ses plus précieuses acquisitions. Il l'avait trouvée dans l'ancienne chambre de sa mère. Il ne sait par quelle miracle elle était arrivée ici. Pour lui, il s'agit d'un miracle. Pour moi qui sait tout sur tout, c'est juste la pierre nommée Clarinette qui s'est cassée en deux en tombant de la table de nuit, mais ça, il ne faut pas le dire... Surtout après la cérémonie d'enterrement qu'il lui a organisé. Cela lui fendrait le coeur. Il prend donc George et le fait rouler entre ses doigts. Dans un sens, ces pierres sont vraiment magiques pour lui. Elles lui permettent de se sentir "bien".

Soudain un passant le bouscule, il fait tomber son trésor. Ce dernier roule, roule, roule et comme Sandro n'est vraiment pas doué et bien à chaque fois qu'il pense le rattraper il shoote dedans pour l'envoyer un peu plus loin. Il court, il court, mais le précieux petit objet va toujours plus vite que lui. Comment c'est possible d'être aussi empoté ? Mais j'en sais rien moi ! Rolala, Alessandro est pas doué, c'est tout. Enfin bref, voilà que Georges va finir sa course un peu sous le pied d'une jeune fille. Horreur ! Le noble ne pourra pas sauver sa préciositée si facilement ! S'il interpelle cette personne, elle l'écrasera et s'il ne fait rien elle le tuera quand même. Quel cruel dilème. Pour le moment, réfléchir. Pour ce faire il détaille l'inconnue assez succintement : cheveux bruns, poitrine inexistante et les fesses il ne voit pas. Rien qui puisse vraiment retenir son attention, donc. Hm ? Ah oui, il regarde déjà chez ce genre de gamine en prévision du futur. Vous voyez ce que je veux dire ? Non ? Et bien lorsqu'il sera d'âge mur, il aura bien moins de problème à emballer les minettes alors autant faire du repérage.

- Excusez-moi mademoiselle, mais un objet qui m'appartient viens de malencontrueusement glisser sous votre soulier. Pourriez-vous me permettre de le récupérer sans que vous ne l'écrasiez ?

Et hop, un petit sourire. Histoire de faire bonne impression.

Je me retourna, quelqu’un venait de m’adresser la parole. Un jeune homme pour être plus précise et vu son accoutrement surement un noble.

* Génial ! * Pensais-je ironiquement.

La plus pars se croient au dessus de tous le monde car il on titre de noblesse. Waouh … Moi franchement leurs titre je m’en fiche complètement, mais c’est pas pour autant que j’envoie paître le premier que je croisent bien évidemment. Et ils ne sont peut-être pas tous comme ça qui sait. Bon pour en revenir à notre noble - de taille moyenne, un âge que je situerais entre dix-sept et vingt ans, les cheveux roux, autant dire pas un physique extraordinaire, enfin bref, je ne suis pas là - il venait de me dire que quelques chose lui appartenant avait rouler son mon pied, agrémentant ses paroles d'un petit sourire, pfff. Je recula d’un pas et baissa les yeux au sol, en effet une petite pierre se trouvait pas terre juste à mes pieds. Je me pencha pour la ramasser dans l’intention de la rendre à son propriétaire, mais un battement d’aile se fit entendre et Sueño se posa juste devant moi.

- Oh ! le beau diamant !

Dit-il en voyant la pierre au sol et la prit dans son bec. Il manquait plus que ça, maudit volatile. Je m’étais redresser et regardais le perroquet d’un regard noir.

- Donne moi ça immédiatement et pas de bêtise ou tu va le regretter !

Il me prendrais surement pour une folle à me voire parler à un oiseau comme si je parlais à un humain. L’oiseau lui ne bougeait pas toujours la pierre dans son bec, puis il vint se poser sur mon épaule et laissa tomber la pierre dans la main que je lui tendais. M’approchant de l’inconnu je lui tandis la main où se trouvait maintenant le diamant comme l’avait nommer tout à l’heure Sueño.

- Tenez. J’espère que l’oiseau ne la pas abimer.

- L’oiseau il à nom ! Et puis fait pas semblant de pas m'entendre ! "

Répondis Sueño vexer. Qu’est-ce-qu’il est susceptible, comme si j'allais discuter avec lui devant quelqu'un qui ne connaissait peut-être pas l'existence des pierres. Je me retins de lui dire de se taire. Puis attendis une réponse ou une réaction de la part d’une noble,qui devait carrément croire que j’étais timbré à moins qu’il ne connaisse l’existence de ces pierres lui aussi …

Alessandro se trouvait désormais au comble de l'agonie. En effet un stupide volatile venait de gober Georges ! Il ne pouvait rien arriver de pire au noble. Voir une personne si chère à son coeur disparaitre dans la gorge d'une erreur de la nature. Cette pierre qui lui avait été si fidèle pendant tant d'années perdue à tout jamais. Dire qu'il venait de faire rénover la coussin sur lequel elle siegeait en haut de la cheminée ! Tant d'argent dépensé pour rien. D'ailleurs il ne s'était jamais demandé d'où venait ce qu'il dépensait à longueur de journée, au gré de ses envies. Dans un coin de sa tête il se disait que c'était peut-être papa qui pensait encore un tout petit peu à lui, mais cette hypothèse était si éloignée, perdue tout au fond de son coeur, qu'elle ne lui apparaissait jamais au grand jour. Il ne se posait pas la question, c'est tout. Pourquoi faire ? Tant que les billets viennent à lui il ne va pas se plaindre. Certains pensent au jour où il se retrouvera sans rien, et bien non. Il lui restera encore toute sa richesse puisqu'elle est contenue dans chacun des graviers qu'il chéri tant. Tant qu'il sera avec eux tout ira bien. Tant que cette ilusion persistera dans son crâne tout ira bien car si par malheur un jour il revient sur Terre et découvre la réalité ce sera la fin de tout.

La gamine se mit à parler a perroquet. Il lui appartenait ? Si Georges était abîmé se serait elle qui paierait. La moindre égratignure pourrait lui être fatal ! Il perdrait de son éclat tout terne qui caractérise ces choses sans valeur dans lesquels on shoote lorsque nous sommes dans la rue. Alessandro, lui, concentre son regard sur ces choses. C'est comme s'il récupérait tous ce dont les hommes ne veulent pas. La demoiselle lui tendit sa pierre précieuse en s'excusant pour le geste inconscient de son oiseau et qu'elle le réprimanderait le plus tôt possible. Enfin c'est ce que compris Sandro. Il n'entend que ce qu'il veut celui-ci. Et il déforme les intentions des gens, oui.

Que répondre à cette timbrée maintenant qu'elle lui a rendu son bien ? Cela a beau être une personne du peuple, il va falloir être un minimum poli. En effet elle pourrait envoyer son oiseau manger tout cru Georgres ! Il est certain que c'est une sadique et qu'elle l'a fait exprès de laisser ce piaf approcher un de ses biens le splus précieux. Et s'il faisait semblant pour lui faire plaisir ?

- Ce n'est rien, il en a vu d'autres ! Dîtes cet animal vous appartient ?

Il regarda un instant l'oiseau qui le dévisageait comme s'il avait été en train de danser le french can-can déguisé en aubergine. Décidément c'est stupide une bestiole.

- Je pourrais caresser ces belles plumes ?

Toute cette comédie, il le fait pour protéger Georges. Oui, rien que pour lui parce qu'il l'aime de presque tout son coeur. Aimer de tous son coeur c'est réservé à Ciryl et à sa mère. Il n'y a qu'eux qui ont le droit à cette expression parce que c'est vrai, il les aime plus que tout. Même si le premier n'est qu'un bout de cailloux et que la seconde et morte en l'ayant toujours détesté. Un gosse aveugle, Alessandro est un gosse aveugle.

En attendant et pour se faire plus convaincant, il fit mine de tendre la main vers le perroquet. Comme une première tentative d'approche en quelque sorte.

- Ce n'est rien, il en a vu d'autres ! Dîtes cet animal vous appartient ?

C’est marrant tous les gens que je rencontre me demande si Pazu et Sueño m’appartiennent, mais non à mes yeux ce sont mes amis et ils m’appartiennent pas ! Enfin les gens ne voient pas les choses de la même manière que moi, ils n’ont pas ce dont. En plus un noble ! Ils ne s’intéresse qu’à leur propre personne alors les animaux je n’imagine même pas. Je suis sûr qu’il jouait la comédie pour faire bonne impression celui-là. Décidemment les nobles je les détestes !

- Non il ne m’appartiens pas vraiment …

Inutile d’ajouter que c’est l’oiseau lui-même qui avait voulu rester avec moi, déjà qu’il m’avait sûrement pris pour une folle en me voyant parler à Sueño alors si je lui disais que je savais que l’animal avait décidé de rester de son propre chef …

- Je pourrais caresser ces belles plumes ?

Il joignait les gestes au paroles en tentant la main ver le perroquet.

*Mauvaise idée * pensais-je.

Mais je n’eu pas le temps de le prévenir que Sueño lui avait déjà mordu le doigt.

- Me touche pas avec tes sales pattes !

Caqueta l’oiseau. Je lui donna une tape sur la tête, il en rate pas une celui-là.

- Non mais t'a pas honte ! Sale bête !

Ce n’était pas mon habitude de leur parler comme ça mais, quand même ils n’ont pas à faire de bêtises et tout ce passerait bien dans le meilleur des monde. Je disais « ils », car je compte Pazu dans le lot.

- Je suis vraiment désoler, il a son caractère et … J’espère que vous n’avez rien ?

Je n’en pensais rien, mais bon c’est un noble et moi aussi je peux tout faire pour faire bonne impression … Je vis Pazu arriver derrière le noble et se frotter à ses jambes, avant de venir s’assoir à mes pieds. Je me pencha et le pris dans mes bras.

Bon, récapitulons... Si je me souviens bien cette phrase est la favorite de la Tottaly Spies verte. Sam je crois... Mais cela n'a pas de rapport avec ce que je vais dire ensuite alors ne retombons pas dans les souvenirs d'enfance s'il vous plait ! Quoi ? Comment ça c'est moi qui en parle ? Non, non, c'est vous, je vous assure. Bref, on va faire le bilan des malheurs qui arrivent à Alessandro depuis qu'il a rencontré la gamine : Georges manque de mourir et il se fait pincer le doigt par un oiseau qui semble être au summum de la stupiditée. C'est vraiment une journée pourrie. On ne peut pas faire plus mauvaise journée. Enfin si, selon Sandro il est possible de faire pire. Effectivement, on peut imaginer que l'on se réveille le matin et qu'il y ait un super soleil. Déjà il fera trop chaud et si on reste dans la maison c'est encore pire parce qu'à l'époque la clim cela n'existe pas. Il sera donc forcé de sortir dehors comme dans tous les rps que monsieur fait. Je suis une sadique. Ensuite il tomberait sur un petit vieux et il faudra l'aider à traverser la route au cas ou qu'il se ratatine sur un cracha de lézard. Le tout pour garder une bonne image, bien sûr. Jusqu'ici la journée se passe à peu près bien... Sauf que c'est peut-être le noble qui va glisser sur la salive de reptile ! Il va se péter le coxys et ensuite on le remettra entre les mains d'un médecin incompétant ! On va oublier qu'il a mal aux fesses et tenter de lui arracher l'oeil ! Il finira borgne ! Evidemment les toubibs qui sont tous des voleurs ne s'arrêterons pas là ! Ils vont l'amputer du torse et il finira comme Rayman ! Quelle énorme horreur ! On ne peut pas faire pire ! Et le soir il ne pourra même pas rentrer chez lui ! On l'aura collé dans une maison de retraite avec que des papys. Il sera obligé de manger du prémaché ! Des tomates en plus ! ... Non ! Il ne veut même pas y penser !

- Non mais t'a pas honte ! Sale bête !

Pour une fois qu'il était d'accord avec un gueu. C'était vraiment une sale bête. En plus ses plumes sont toutes pourrites. Pleines de saletés. Il est certain que ce perroquet a pour habitude de traîner dans les cheminés d'usine. Quitte à être un oiseau cinglé, autant l'être jusqu'au bout, pourquoi pas ?

- Je suis vraiment désolée, il a son caractère et … J’espère que vous n’avez rien ?

- Ah mon dieu ! Je me suis fracturé le nerf optique ! Aaaaar... Je souffre !

Et la réponse que la jeune fille devrait donner est "oh toi, tu te fous de ma gueule !" avec un petit accent africain. Comme Tyna Lou dans la vraie vie. Elle le fait super bien. Mais il est vrai que venant de la bouche de la gosse qui se tenait devant lui cela aurait donné un truc bien moche.

Revenons au dialogue si vous voulez bien. N'ayant que ça à faire car pris d'un moment d'ennui extrème, il pointa son épaule puis la massa tout en répétant qu'il s'était fracturé le nerf optique. Bien, bien, bien... On se moque du monde en puissance. C'est une spécialité du noble, mais normalement il ne le fait qu'en présence de ses "proches". En gros des gens qui le connaissent tel qu'il est vraiment, mais qui ne le disent à personne... Wendy par exemple ! Et comme j'ai parlé de ces deux premier comptes, je vais citer Amber ! Sauf que cela n'a pas de rapport avec le sujet, mais je suis contente ! Ahah...

Ne finissons pas le poste sur cette notre ridicule. Allons encore plus loin. Tandis qu'il se tortillait en faisant semblant de souffrir atrocément, il glissa sur un liquide non identifié étalé sur la route... Et s'explosa réellement le bas du dos. La douleur fut telle que l'on dû l'entendre hurler dans Londres toute entière.

Aujourd'hui il fait chaud, il est sorti et il vient de glisser sur un cracha de lézard. Que quelqu'un lui dise tout de suite où est le petit vieux s'il vous plait. Enfin, celui-ci peut facilement être remplacé par une fille et un perroquet. Si on additionne les âges, on pourrait obtenir un petit vieux. Il n'est pas expert sur la durée de vie des perroquets -il n'y connait même rien-, mais il fait des prognostiques quand même. C'est beau la connerie. Enfin toujours est-il que nous finissons ce texte avec un Sandro-larve. Bonne chance Lindsay.

- Ah mon dieu ! Je me suis fracturé le nerf optique ! Aaaaar... Je souffre !

Je le regarda incrédule. Soit il est vraiment fou ou alors c’est un mauvais blagueur. Sueño lui à mordu le doigt et il se pleins d’avoir mal au nerf optique ! N’importe quoi ! Ensuite il montra son épaule, il faudrait qu’il révise son anatomie lui, le nerf optique c’est l’œil … Il se fou vraiment de ma gueule et j’aime pas ça ! Pazu ajouta d’une avec la voix d’un petit enfant, logique c’est un chaton :

- Il a un sérieux problème ce gars là !

Je ne lui dit rien mais j’étais totalement d’accord avec lui. Cependant le noble glissa réellement sur quelques chose au sol, se faisant mal pour de bon et hurla de douleur en tombant, ce qui fit rire Sueño percher sur le toit d’une maison voisine, mais les autre gens ne devaient entendre qu’un gloussement de perroquet, tandis que moi j’entendais très clairement un rire. Quand à Pazu il s’était mis la patte devant les yeux comme quelqu’un qui se taperais le front face à un imbécile de première …

- Excusez moi, mais vous n’êtes pas un peu taré ? Ou alors vous vous foutez de moi et autant dire que je n'aime pas ça !

Directe et sans retenue, bah oui quand je pense quelques chose je le dis. Bien évidemment j’avais rajouter le petit « excusez moi » juste avant mais je m’en serais bien passer de celui là. Je n’ai aucune envi d’être poli avec un être comme lui, mais pas le choix. Je dois faire bonne impression face à un imbé … Noble excusez moi. Je le regardais à présent comme on regarde une bête de foire, en me retenant de rire, je n’avais même pas chercher à l’aider à se relever il se débrouille. Pazu qui était encore dans mes bras fit une remarque qui pourrait me laisser croire qu’il lit dans mes pensés.

- Bah tu vas pas l’aider ?

- Nan faut le laisser se dandiner au sol !

Ajouta Sueño hilare. Il se calma un peu et pour moi ne pas rire devenais de plus en plus difficile. Je fini quand même par m’intéresser au rouquin étaler par terre, sans pour autant l’aider à se remettre debout.

- Sa va vous n’êtes pas blesser ?

Il aurait pus me dire que oui ça ne m’aurais fait ni chaud ni froid. Pazu sauta au sol et s’approchât du noble, avant de s’assoir à un peu moins d’un mètre de lui et de commencer à se lécher les pattes antérieur , du style « Tu es blessés ? Et bien j’en ai rien à faire ! ». Ah Pazu … Tu ne pouvais pas mieux résumer mes pensés.

Se tortillant au sol, Alessandro souffrait énormément... Et cette fois-ci ce n'était pas de la comédie. Il avait réellement mal. Tout ça à cause d'un lézard qui se prend pour un djeunz et se croit malin à cracher sur la route... Ah franchement ! Les reptiles d'aujourd'hui n'ont plus aucun respect pour leurs aînés ! Il mériterait de fnir sous les verrous de la prison de son espèce. Et je ne vais pas me lancer dans un grand discour sur cette société qui existe là sous nos yeux ; Lindsay ne s'en remettrait pas.

- Excusez moi, mais vous n’êtes pas un peu taré ? Ou alors vous vous foutez de moi et autant dire que je n'aime pas ça !

Mais... Mais elle se prend pour qui cette sale gamine ? De quel droit elle le traite de taré ? Bon, je suis d'accord, il l'est, mais il ne s'en rend pas compte voyons ! Depuis quand les fous se rendent-ils compte de leur propre déviance ? Enfin, si l'on considère désormais la seconde partie de la phrase, il est clair qu'elle a visé juste. Bien sûr qu'il se fiche d'elle ! N'importe qui est capable de se rendre compte de cela. C'est d'ailleurs la seule consolation pour le noblaillon : elle n'a pas mit le doigt sur un truc trop dur à deviner. Cela permet de le conforter dans son idée : cette fille est stupide.

Sandro s'était résigné à rester cloué au sol, impuissant contre les foudre qu'avait envoyé jusqu'à lui le grand dieu des lézards. Apparemment il était du côté de la petite jeunette. C'est du favoritisme, c'est n'importe quoi. Monsieur Gabrielli déteste cela, sauf si c'est envers lui, bien sûr... Ou alors que c'est lui-même qui en fait puisqu'il n'acceptera jamais de reconnaitre ses propres torts.

Il vit les animaux qui semblaient discuter entre eux. Voilà qu'il avait des visions... Comment un chat pourrait-il communiquer avec un oiseau... Il devrait le manger !

- Sa va vous n’êtes pas blesser ?

Nan, nan, il se roule sur un sol que des miliers de chaussures sales ont foulés volontairement ! Elle est... Débiiiile ! Il avait envie de lui crier toute sa révolte à la figure, mais il ne pouvait pas. il y avait quelques grosses contraintes... Premièrement il y a un chat enragé, deuxièmement il y a un pigeon galeux et troisièmement il y a cette gamine qui est la seule personne suceptible de l'aider à sa relever. Il n'a pas d'autre choix que de tenter d'être... Plus ou moins sympa.

- Evidemment que j'ai mal... Et pas au nerf optique cette fois-ci... Dis-moi, tu n'as pas l'air très fine, je pense que tu serais apte à me relever. Tu veux bien ?

"Tu n'as pas l'air très fine"... Bien sûr Sandro ! Tu as toujours eut beaucoup de tact avec les gens du peuple mon gros ! Pour cette fois il aurait fallu faire un effort, mais non, t'en es incapable. Tu vas finir mort sur ce trottoir, si c'est pas malheureux... Il y a quand même un truc drole dans les rps, c'est qu'il n'y a que les personnages joueurs, personne d'autre dans la rue. Enfin ça m'arrange, je peux faire en sorte qu'il en bave encore plus !

- Evidemment que j'ai mal... Et pas au nerf optique cette fois-ci... Dis-moi, tu n'as pas l'air très fine, je pense que tu serais apte à me relever. Tu veux bien ?

Je restais plantée là, le voir se tortiller comme un vers de terre blesser me faisais rire intérieurement. Bien sûr si j’aurais pus je lui aurait ris au nez mais un peu de tenue tout de même. Sur un ton très moqueur qui laissais bien trahir le fait que je ne l’appréciais pas trop je lui répondis.

- Non je ne veux pas, c’est beaucoup trop … Drôle de te voir par terre. Et en fait j’avais bien remarquer que tu étais blessé c’est juste que je n’avais aucune envi de t’aider.

Je n’ai jamais trop apprécier les nobles qui se la pète, car il sont plus riche que les autres, ça m’exaspère à un point vous n’avez pas idées. C’est une généralité bien sûr, les nobles ne sont pas tous comme ça – enfin j’espère pour eux – mais c’est plus fort que moi il faut que – façon de parler – je leur crache à la figure. Peu importe si il ramène leur garde pour me jeter en prison en suite, au moins je leur aurait dit ma façon de voir les choses. Bon aller les plaisanterie les plus courte sont les plus drôle. Même si le voir se tortiller encore un peu ne m’aurais pas déplu, je lui tendis ma main et l’aider à se relever. Sans pour autant me préoccuper de son état … Car vous savez quoi ?! Je m’en fiche !

- J’espère qu’il ne s’est rien casser, le petit bourgeois, quoique ça serais comique.

Dit Pazu, sur un ton un peu gamin – qu’il était en fin de compte - toujours assit en fixant le noble- dont j’ignore le nom.

- Pazu tu n’a pas d’autre bêtise à dire.

Mais en y réfléchissant ce chaton n’avait pas tord. Qu’il se casse le bras ça nous fera des vacances. Heureusement que les nobles ça ne cours pas les rues ici, car je crois que je serais de mauvaise humeur 24h/24, 7j/7. Enfin bref. Je souris au noble histoire qu’il ne devine pas mes pensés, même si ça ne me dérangerais pas qu’il sache que je le trouve bête – pour être polie dans la mesure du possible – et complètement idiot d’être autant attacher à une pierre, je faisais bien sur référence à celle que j’avais failli écraser. Quand je pensa au mot « pierre », mon regard se posa instinctivement sur mon poignet, ou brillait une pierre noire et blanche. Celle qui me permettais de parler avec Pazu et Sueño. Au début j’ai eu peur de tout ça mais pour être honnête maintenant m’en empêcher serais de la torture pur et simplement. Je reporta mon attention sur le jeune homme, qui était maintenant debout. J’attendais une réaction ou une phrases qui me fasse comprendre qu’on est pas du même rang social. Une phrase typiquement noble quoi ? Mais entre nous je préférerais être faucher, que pourris par la richesse.

L'espoir venait de quitter le coeur d'Alessandro. Il avait espéré pendant un bref instant que l'idiote qui se tient devant lui aurait la présence d'esprit d'aider un ainé à se relever, mais non. Rien. Cette fille devrait avoir honte de son comportement. Envers un noble en plus. Elle n'était qu'un -comme ils savent si bien le dire dans La Fille des Enfers- boudin. Au lieu de penser à faire se relever Sandro, elle discutait avec son chat. Comme si cette bestiole était doué de parole et qu'il pouvait entretenir un quelconque dialogue avec elle. N'importe quoi, et c'est pas avec sa tronche de kèk qu'il va réussir à communiquer une pensée. Non, mais regardez-le, la seule chose que l'on pourrait déceler et une sorte de "gné" dénué de tout sens. Les animaux ne parlent pas. Point. Cette personne est folle. Deuxième point.

Pourquoi l'avait-il rencontré déjà ? Ah oui, Georges était tombé et elle l'avait perfidement coincé sous son pied. Il n'y a pas trente-six explicaton à ceci : elle possède un aimant qu'elle coince sous sa chaussure. Gabrielli est un génie, ça rime. Bien sûr, nous basons cette conclusion sur un tas d'hypothèse non vérifiées, c'est ça l'enseignement scientifique... Non en vrai j'en sais rien, mais bon il faut bien que je continue mon rp et en plus ça rajoute des mots et donc des lignes.
Première hypothèse : elle fait un régime et a besoin d'avoir des poids au niveau des jambes afin que sa scéance de footing soit plus efficace.
Deuxième hypothèse : elle espère devenir belle également, mais nous savons tous que c'est impossible puisqu'il n'y a qu'Alessandro qui soit doté de ce don suprème. Ce qu'elle fait est une cause perdue, elle devrait s'arrêter.
Troisième et dernière hypothèse : son seul but dans la vie et de pourrir celle du noble et de la veuve. La veuve n'a rien à voir avec cette histoire, mais j'avais envie de détourner l'expression "la veuve et l'orphelin" et comme Sandro n'est pas un orphelin cela n'a aucun rapport, mais chut. Elle pique donc tous les cailloux afin de le mettre dans une situation critique. Bientôt elle allait s'infiltrer chez lui afin de tous les lui voler.

Cette fille est dangereuse.... Qui sait combien d'otages elle possède sous sa semelle ! Des femmes, des enfants, des hommes, des travestis... Toute la population cailloutère de Londres !

- Pourquoi vous parlez à votre chat comme s'il pouvait vous répondre ? Ce n'est qu'un animal pourtant...

Oh, et il oubliait les bonnes manières. Il faut toujours souhaiter du courage aux gens lorsqu'ils traversent une période difficile. Et puis ce serait une bonne occasion pour l'accuser, lui balancer son crime en pleine figure. Elle n'allait pas y couper, le marteau de la justice allait s'abattre sur elle et elle se verrait dans l'obligation de relacher tous les otages qui se trouvent sous ses pieds ! Ahah, elle croyait berner tout le monde, mais non ! Alessandro Gabrielli a découvert la vérité !

- Et bonne chance pour votre régime. Je compatis, c'est très dur. Je n'en ai jamais fait, mais j'imagine bien la douleur que vous pouvez ressentir lorsque vous devez vous priver de tout... Mais ce n'est pas une raison pour prendre en otage de pauvres cailloux innocents ! Vous allez les étouffer, les assassiner !

- Pourquoi vous parlez à votre chat comme s'il pouvait vous répondre ? Ce n'est qu'un animal pourtant...

Je mourrais d’envi de lui rétorquer : « Et toi alors ? Tu n’es qu’un noble sans cervelle et pourtant des gens vienne te parler ?! ». Il m’exaspère celui là, je sens que je vais finir par lui dire ses quatre vérités à cet écervelé de … Je ne connais même pas son nom à ce bourgeois à deux rond. Ouais bah heureusement que je lui dis pas tout ce que je pense des riches – En générale bien entendu – car sinon … J’imagine pas dans quel guêpier j’irais me fourrer moi …

- Et bonne chance pour votre régime. Je compatis, c'est très dur. Je n'en ai jamais fait, mais j'imagine bien la douleur que vous pouvez ressentir lorsque vous devez vous priver de tout... Mais ce n'est pas une raison pour prendre en otage de pauvres cailloux innocents ! Vous allez les étouffer, les assassiner !

Je lui lança un regard qui se traduit par : « Quoi qu’est-ce-que tu viens de dire Petit … », je vous épargne la suite de cette phrase indécente. Heureusement que dans la rue il n’y avait que lui et moi car je sens que je vais exploser là … Non ! Calme toi Lindsay … Respire. Et puis zut ! Même la meilleure des technique de relaxation ne pourrais pas marcher sur moi à cet instant précis tellement je suis énerver.

- Parce que toi tu as une silhouette de mannequin peut-être ? Avec tout les repas de bourgeois que tu englouti ça doit peser sur la balance ! Et puis tes cailloux je m’en contre fiche, il ne sont pas vivant comment peuvent-ils étouffer ! Et après c’est moi qu’on traite de folle de parler avec Pazu et Sueño bah bravo …

Je vous avais prévenu que je pourrais pas tenir bien longtemps et que je finirais par lui cracher ses quatre vérités au visage. A ce moment précis j’avais un peu comme l’envi de l’étrangler et franchement passer pour une folle ou une mal élevé m’importais peu, face à … Lui.

- Pour ta gouverne je ne fais pas de régime. Mais certains devraient en faire un contrairement à moi ils en ont grandement besoin.

Rétorquais-je dans une phrases pleines de sous-entendus. Que ce noble ne capterais peut-être pas, ce qui ne m’étonnerais qu’à moitié. Avec sa fracture du nerf optique imaginaire … Il mérite des claques. Fils de riche … Et franchement les cailloux … Etouffés qu’est-ce-qu’il faut pas entendre.

- Parce que toi tu as une silhouette de mannequin peut-être ? Avec tout les repas de bourgeois que tu englouti ça doit peser sur la balance ! Et puis tes cailloux je m’en contre fiche, il ne sont pas vivant comment peuvent-ils étouffer ! Et après c’est moi qu’on traite de folle de parler avec Pazu et Sueño bah bravo …

Déjà, Alessandro il n'aime pas les tomates ! Et il n'aime pas grand chose d'autre non plus... Les aubergines, les poivrons, le canard, quand les aliments sont trop mélangés, les sauces qui accompagnent les viandes parce qu'il n'aime pas les champignons, les brocolis, les betteraves, la viande sucrée, le paté, le lait, le fromage avec du bleu dedans, les champignons, les tartes sauf celles à la pomme, les gâteaux trop au chocolat, l'exès de chantilli... Et je vais m'arrêter là car Alessandro a exactement les même gout que moi et vous iriez sans doute vous pendre après avoir lu la liste de trente lignes. Conclusion : aux repas entre bourgeois il ne mange presque rien ! Il remets tout discrètement dans l'assiette du voisin et si, par chance, il y a un animal de compagnie, c'est lui qui se mange tout le gratin de courgette ! Et non, il ne meurt jamais d'une indigestion, Sandro n'est pas un assassin, enfin !

- Pour ta gouverne je ne fais pas de régime. Mais certains devraient en faire un contrairement à moi ils en ont grandement besoin.

Là c'en était trop, mais pour qui elle se prend celle-ci ? De quel droit elle aurait la permimssion de s'énerver contre lui, le grand, le magnifique, l'homme aux énooooormes chevilles, Alessandro Gabrielli ?! Elle allait apprendre la vie cette sale gamine. Frustré, le noble la prenait au dessous de bras et la soulevait afin de la mettre à son niveau. C'était psychologique, mais il la trouvait vachement lourde, mais bon... Il a quand même un peu de force le rouquin.

- D'abord je te signale que chez les nobles ya toujours des tomates ! Et comme moi j'aime pas les tomates et bien je mange rien et je suis obligée de demander à ma servante de me faire des pates quand je rentre, mais pas beaucoup parce que j'ai quand même mangé des olives !

Et défois il ne mange pas du tout parce qu'il est trop tard, que Wendy est couchée et que s'il la force à cuisiner et bien ce sera pas bon car elle sera à moitié endormie. Il a déja tenté mais les plats salés et re-salés cela va bien deux minutes. De toute façon il a toujours su que dès qu'elle dort elle est amoureuse de lui ! Personne ne lui résiste de toute manière... Ah c'est beau de rêver Sandro. Enfin il faut se rappeler que dans sa petite caboche bien vide tous ses graviers lui permettent de devenir super beau aux yeux de tout le monde... Mais il ne pense pas à son caractère insuportable lorsqu'il réflexionne sur ce point bien sûr. Bon, il faut continuer à s'occuper de Lindsay.

- Et puis c'est bien toi qui m'a fait croire que tu faisais un régimer et non je ne suis pas fou avec mes cailloux. Se sont des objets, je peux leur faire faire tous ce que je veux, quand je veux, où je veux. Alors que des animaux ça obéit pas, c'est chiant et même pas drole !

Alessandro... Arrête de parler comme un gosse, tu veux ?

Quand il me pris sous les bras je n’opposa aucune résistance. De toute façon pour être honnête à quoi cela aurait bien pu servir ?

- Et puis c'est bien toi qui m'a fait croire que tu faisais un régime et non je ne suis pas fou avec mes cailloux. Se sont des objets, je peux leur faire faire tous ce que je veux, quand je veux, où je veux. Alors que des animaux ça obéit pas, c'est chiant et même pas drôle !

Alors comme ça monsieur est difficile ? Il devrait se contenter de ce qu’il à dans son assiette y’a pleins de gens qui meurs de faim ici et pas que en Angleterre d’ailleurs et monsieur trouve le moyen de bouder pour des tomates ! Enfin bref inutile de préciser ce dernier cela ne servirait à rien. Sueño lui n’était pas du tout d’accord sur la dernière phrase du noble.

- Comment ça on obéît pas et on est chiant ? Il se prend pour qui lui ?!

Je ris à la remarque de l’oiseau, c’était tout à fait son style de répondre ce genre de choses. Mais dans un sens il avait raison. Pazu et Sueño ne m’ont jamais désobéît bon aller peut-être une ou deux fois, mais ça arrive à tout le monde. Et puis il ne sont ni chiant … Oups je rectifie ma phrase il peuvent être très casse pieds quand il veulent et me taper vraiment sur les nerfs, donc par définition être chiant … C’était un mauvais exemple. Mais pas drôle ça jamais ! Parfois il me font bien rire ces deux fous, un noble comme lui ne peut pas comprendre car c’est : Moi je, moi je, moi je … Les autres ils s’en contre fiche du moment qu’il à ses … Cailloux. Ironiquement et bien fort pour que le jeune homme m’entende – J’adore l’énerve ça c’est sur c’est drôle ! – je répondis à Sueño :

- Il se prend pour ce qu’il est un noble ! Et juste parce qu’il à hérité de se titre à sa naissance il se croit tout permis.

Je le regarda droit dans les yeux – maintenant que j’étais à sa hauteur – comme pour le narguer en affichant un sourire moqueur. J’avais envi de le pousser à bout quoi que ça me coûte. Je crois que j’ai trouver une nouvelle utilité au noble à par à montrer le bon coter d’un pays en outrepassant les pauvres, a se pavaner dans la rue pour qu’on les vois ou encore à faire joli simple décoration ou ornement, c’est aussi un bon défouloir jeu très amusant.

- Bon maintenant tu peux reposer non ?

Dis-je une pointe agacée. Pazu lui semblait se contreficher de ce qui ce passait. Tiens d'ailleurs il est passer où lui ? Je ne l'entendais plus et maintenant je ne le vois plus ...

Et voilà qu'elle se met à rigoler, non mais de mieux en mieux celle-ci ! C'est certain désormais : son cerveau est sérieusement dérangé... Dit-il. Enfin nous n'allons pas nous lancer dans une réfléxion sur l'esprit d'Alessandro. Il n'en est pas question ici et puis cela prendrait des lignes et des lignes qui seraient remplies avec des choses qui n'ont rien à voir avec le rp. Comment cela ça non plus ça n'as pas de rapport ? Apfuh !

Bref, Sandro continuait de secouer Lindsay comme il l'aurait fait avec un cocotier dont il aurait voulu obtenir les noix de coco. Peut-être espérait-il lui décrocher son ruban, qui sait ? Le perroquet croassa et il eut envie de lui coller un coup de pieds, mais étant donné que ses deux bras étaient déjà pris par une chose particulièrement lourde, il ne pouvait pas se permettre d'ôter un de ses pieds du sol car cela aurait eut comme résultate de le faire lamentablement retomber par terre. Il aurait risqué de se fracturer le second nerf optique.

- Il se prend pour ce qu’il est, un noble ! Et juste parce qu’il à hérité de se titre à sa naissance il se croit tout permis.

"Hé la grosse, tu pense trop fort !". Voilà ce qu'Alessandro aurait aimé lui dire, mais il se retint. On ne sait pas trop pourquoi, mais il se retint. Certainement car il eu l'impression qu'elle s'adressait à l'animal et qu'il en conclu une nouvelle fois qu'elle était définitevement folle, qu'on ne pouvait rien faire pour elle et puis que tant pis pour elle. Il ferait mieux de la tuer maintenant... Ouais non ça c'est une blague.

- Bon maintenant tu peux reposer non ?
- Non je fais un peu de muscu.

Il avait répondu directement, automatiquement. En vérité il avait bien envie de la lacher, mais il y avait encore un sous-entendu dans sa phrase comme quoi elle devrait faire attention à sa ligne ou alors qu'elle a la même tête qu'une haltère ce qui n'est pas des plus beau.

Lindsay tournait la tête dans tous les sens et regardait un peu partout autour d'elle. Qu'est-ce qu'elle cherchait ? Le noble regarda un peu autour de lui au cas où qu'elle ait emmené du renfort. Il ne voulait pas mourir dans d'atroces souffrances. Il remarqua que le chat avait disparu. Et s'il était parti rameuter des troupes de rats avec qui la gamine aurait noué une relation également ? Il faut toujours se méfier des zoophiles. Il fallait qu'il rattrape la boule de poil avant que le pire n'arrive !

Il lacha sa proie et aperçut au loin une forme grise un peu noire. Il courut dans sa direction. C'était bien le chat.

- Hé le chat ! Reviens ici tout de suite ! Je ne vais pas te laisser faire !

Il me relâcha brusquement et je failli tomber mais je retrouvais mon équilibre in extremis. Le noble cria :

- Hé le chat ! Reviens ici tout de suite ! Je ne vais pas te laisser faire !

Un chat ?! Pazu peut-être ! Je regarda dans la direction où était parti ce forcené de noble et je pus en effet apercevoir Pazu qui regardait nonchalamment le garçon accourir dans sa direction. Cet d’air de j’menfoutisme ne me disais rien qui vaille je sentais qu’il préparais un mauvais coup celui-là. Autre chose qui m’intriguais que voulais le noble à Pazu ?
Pazu n’avait pas bougé. Puis quand le garçon arriva près de lui il le chat sauta sur ses épaules et lui planta ses griffes dans la chair. Aie ! Ne puis-je m’empêcher de penser. Je précisa vers les deux énergumènes à savoir le noble et Pazu, Sueño me suivant de peu. Je saisis le chat non sans brutalité et lui donna une tape sur la tête.

- Ce n’est pas parce que ce noble est le dernier des casse pied qu’il faut que tu réagisse comme ça ok !

Pazu avait l’air contrarié. Peu importe, même si dans le fond le fait que Pazu est griffé le noble me faisait rire, je ne voulais pas qu’il lui fasse mal comme ça. Même si la personne en question est plus que casse pied et que j’ai de plus ne plus envi de lui mettre ma main dans la figure. Je me tourna vers le noble, tenant toujours fermement le chaton dans mes bras.

- Et toi la prochaine fois tu ne dira pas que les animaux son stupide car je te signale qu’il te comprennent alors je serais toi je ferais gaffe à se que je dis. Ou encore plus simple je la fermerais !

Ah ! Ça fait du bien de dire ses quatre vérités - J'avais été un peu directe mais tant pis - à quelqu’un même si ce que je pense réellement de lui est plus … Disons direct. Même si je le haïssait je ne pouvais pas me permettre de le traiter de gros c**. En tout cas c’est pas l’envi qui me manque, bien au contraire. Mais la curiosité repris le dessus. Pourquoi accordai-il autant d’importance à de simple cailloux inertes ? Peut-être connaissait-il l’existence des pierres magiques ? Mais je ne pouvais pas me permettre de lui poser la question directement. Je vais le questionner sur ses cailloux pour en savoir plus.

- Dit, pourquoi tu accorde autant d’importance à de simple pierres ?

Demandais-je en posant délicatement Pazu au sol. Sieño lui avait été se percher sur l'épaule du noble - Pour je ne sais quelle raisons - mais j'imagine déjà la réaction de ce dernier ... Ou plutôt je n’ose pas imaginer ... Moi aussi avant j’avais peu de considération pour les cailloux, pierres et autre roches dans le genres, mais depuis que j’ai reçut ce don je me dis que peut-être que les cailloux son vivant finalement. Même si cette hypothèse je la trouve comment dire … Absurde, voilà c’est le mot juste ou plutôt un euphémisme car je dirais plus, fou, délirant, complètement taré de croire un cailloux vivant franchement. Seul les débile peuvent croire à se genre de choses. Ce qui nous ramène à notre noble. Moi méchante ? Nan … pas du tout =).

- Et toi la prochaine fois tu ne dira pas que les animaux son stupide car je te signale qu’il te comprennent alors je serais toi je ferais gaffe à se que je dis. Ou encore plus simple je la fermerais !

Si Alessandro avait décidé de retranscrire les paroles prononcées tout haut cela aurait très certainement donné "j'ai quatre ans et demi, je m'appelle nian-nian et je suis l'amie des animaux ! Faut pas les taper parce que taper les animaux c'est pas gentil !"... On va donc éviter. La petite fifille à l'air assez en colère comme ça. Il ne faudrait pas en rajouter plus où elle risque de se transformer en monstre gluant avec des cailloux sur la tête... ... ... Il ne peut pas s'en empècher alors : et le monstre il crierait "GROAH ! GROAH !" dans toute la ville, il mangerait les gens et les dauphins et son but serait de détruire le manoir Gabrielli. Une véritable horreur, donc. Déjà qu'elle avait récupéré le chat avant que Sandro ne puisse le massacrer...

- Dit, pourquoi tu accorde autant d’importance à de simple pierres ?

Ah parce que ça l'interesse maintenant ? C'est une grande nouvelle. Comme s'il allait lui dire, c'est pas ses oignons. Il s'agit de la vie privée de mon personnage, il ne va pas se rabaisser à la raconter à la première gueuse venue. Non, il n'est pas du tout comme ça. Il n'est pas du genre à se comporter comme une grand gamin. Il ne dira rien !

- Ca t'intéresse ? Vrai ? Alors je vais te le dire... Puisque tu insiste ! En fait se sont des super cailloux magiques qui me donnent le pouvoir d'être le plus beaux de tous les êtres de cette planète. Et je suis une créature tellement exceptionnelle que contrairement aux autres possesseurs et bien j'ai le droit d'en avoir plusieurs avec moi. Aaaah... Je suis le meilleur !

Oui, oui, c'est sa conclusion le fait qu'il soit le meilleur. Enfin c'est vrai qu'il l'est certainement dans le domaine de la connerie. Je ne connait personne d'autre que lui qui soit capable de tirer des conclusions aussi absurde d'un fait simple à comprendre. C'est des graviers, c'est tout. Mais bon, c'est la faute de sa mère aussi. Il n'y peut rien le pauvre. Enfin toujours est-il qu'il est la personne la plus débile du monde et que je l'aime.... Et qu'il veut toujours se venger du chat !

Il chope donc l'oreille de la boule de poil et tire un peu dessus. C'est le prologue de sa vengeance. D'ailleurs, il ne sait même plus pourquoi il se venge, mais tant pis. Il faut bien alimenter le sujet.

- Ca t'intéresse ? Vrai ? Alors je vais te le dire... Puisque tu insiste ! En fait se sont des super cailloux magiques qui me donnent le pouvoir d'être le plus beaux de tous les êtres de cette planète. Et je suis une créature tellement exceptionnelle que contrairement aux autres possesseurs et bien j'ai le droit d'en avoir plusieurs avec moi. Aaaah... Je suis le meilleur !

Je m’attendais à une réponse un peu moins … Stupide ? Oui c’est ça stupide ! mais venant de lui c’est quasiment impossible soyons réaliste. C’est malheureux mais c’est ainsi. Le meilleur mon œil ! Le pire des abruti que cette terre est porter plutôt. Des cailloux qui rende beau, ouais et la soupe de ma grand-mère c’est une potion de jouvence. Nan mais j’te jure …

- Ouais et moi je suis la reine d’Espagne aussi ! Comme si des cailloux pouvait rendre beau …

Sueño quitta son perchoir et resta sur place dans les airs en ajoutant.

- Si déjà ils pouvaient le rendre un peu moins stupide, ça serait déjà pas mal je crois …

Sur ce point totalement d’accord ave toi. Contrairement à ce que Monsieur le noble à pu dire les animaux ne sont pas stupides, ils sont comme nous capable de communiquer ( Pas forcément verbalement ) , aussi d’autre chose, il faut juste avoir l’esprit ouvert, être attentif et à l’écoute. Ceux que certain ne sont pas du tout, je ne dirais pas de nom même si il y’en n’a un que je peux citer d’embler ! Qui ne ce souci que d’eux même … Le noble s’approcha de Pazu, je le suivais du regard méfiante. Il attrapa l’oreille du chat et la tira. Je bondis vers eux et saisis la boule de poils noirs au vol ( Il me planta ses griffes dans le bras au passage … ).

- Mais ça va pas bien toi dans ta tête ! On peut savoir ce qu’il t’a fait ?!

Oui je réagissais un peu comme si il avait commit le pire crime du monde mais je ne supporte pas ( Et ne supporterais jamais ), qu’on s’en prennent au animaux , à part si il y’a une raison vraiment valable et encore … J’attendis une réponse du rouquin en le fusillant du regard. Pazu s’étais perché sur mon épaule et feulait comme si le noble avait été un autre chat et qu’il s’apprêtait à se battre avec lui. Pazu étant très joueur et bagarreur sautait sur la première occasion de se battre avec un autre animal, je l’avait réprimandé maintes et une fois, mais rien à faire, plus buté que lui y’a pas … Enfin j’espère car ce serais vraiment un catastrophe …

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Désoler c'est pas très long =/ ...

- Mais ça va pas bien toi dans ta tête ! On peut savoir ce qu’il t’a fait ?!

Alors déjà, de quel droit elle le tutoyait ? Cette... Cette paysanne. Il y a de l'abus dans l'air, moi je vous le dit. Elle osait se mettre à la même auteur qu'un personnage de la noblesse, elle en avait du cran, la petite. Bon, d'accord Alessandro fait pareil avec elle, mais c'est une sorte d'honneur qu'il lui accorde. Il prend la peine de se mettre au même rang qu'elle. Bon j'avoue c'est surtout que cela lui arrache la bouche de vouvoyer quelqu'un lorsqu'il n'est pas obligé parce que, dans sa petite caboche pas bien remplie, il est la seule personne à qui l'on devrait témoigner un quelconque respect. Il se prendrait presque pour le pape.

De deux elle s'énerve alors qu'il a à peine tiré l'oreille du chat. Il n'y a pas de quoi en faire un drame, c'est rien. Le petit numéro de la gamine qui aime les animaux et qu'il faut pas leur faire de mal devient franchement agaçant. Et puis pourquoi il s'est arrêté et a commencé à "discuter" avec elle, déjà ? Il n'en savait plus rien. De ce fait il n'allait pas vraiment s'attarder. Après tout ils n'avaient absolument aucun atomes crochus.

- Oh ça lui fait les pieds ! Tu vas pas pleurer quand même ? Ah je sais je vais avoir droit au numéro du pauvre petit chaton qui a déjà bien souffert dans sa vie parce qu'il a été abandonné par sa maman et que c'était ton seul ami avec le perroquet débile ? Bien, bien, tout le monde il est beau tout le monde il est gentil aussi ? A d'autres !

Il tourna les talons et commença à partir. Si elle voulait répondre quelque chose elle n'aurait qu'à hurler. Lui, il avait récupéré son cailloux, il n'avais vraiment plus rien à faire avec elle et que personne ne vienne dire le contraire. Il n'allait pas s'enquiquiner à "soigner la pauvre oreille du petit animal chouchougniougniou". Il ne pris même pas la peine de faire son petit battement de main habituel pour dire "c'est bon je t'ai dit au revoir, mais je m'en fous quand même de toi si tu n'as pas encore remarqué". Et pujis la petite Lindsay allait être occupée avec le régime que lui avait prédit Alessandro.