Identity



Nom : Manitas

Prénom : Klein, Ylenzo, Manuel

Surnom : le gitan

Âge et Date de naissance : 22 ans, né le à- d’octobre 1951

Rang : Civil

Orientation Sexuelle : Pansexuel

Métier : nomade, vivant de l’argent que lui donne ses conquêtes ou les gens du peuple lorsqu’il joue.

Couleur de la pierre : De différentes couleurs dans les tons violets, beige et rose.



Physique : L’allure d’Ylenzo est celle d’un dandy plutôt détendu : chapeau de forme de couleur bleu foncé orné d’étoiles, un veston sur une chemise ouverte sur son torse mate fermé par un bouton de nacre. On rehausse le tout par un nœud papillon et des mitaines sur les mains. Enfin son pantalons usé vers le bas à des babioles sur sa ceintures de diverses couleurs. Comme un vagabond il a le teint cuivré, des cheveux châtains dont le bout tourne vers le blond. Ses yeux vert observent les gens aux alentours et le moindre geste des passants.

Caractère : Ylenzo est un comme un pur sang : rebelle et assoiffé de liberté. Il ne peut se contenter d’un seul espace et à besoin de vagabonder là ou le vent l’appelle. Ce n’est pas pour rien qu’il est gitan. Loyal envers sa famille qui est les gitans, il ne peut les trahir. Séducteur envers les femmes, faisant miroité des choses et comme il est « exotique » cela marche fort tombant sous son charme de vagabond et en quelque sorte d’aventurier. Mais hors de question d’avoir la bride, il ira voir ailleurs s’il trouve mieux. Oui c’est un coureur de jupon, un gigolo, à sa façon, cependant il sera fidèle à celle ou celui qui le surprendra toujours, l’étonnera. Fera, donc, palpiter son cœur à chaque rencontre. Il aide au mieux qu’il peut ceux à qui la vie n’a pas souris, il n’est pas défendeur du plus faible mais fera son possible. Peut être agira t’il dans son intérêt mais avec lui difficile de savoir. Quand on l’accuse il se dit être un simple homme, et qu’il n’a pas de saint sur terre, car il ya bien trop de nombre de péché auquel cédé. Hey oui il a toujours une réponse à tout, ainsi qu’ne solution à chaque problème. On dit qu’il s’agit d’optimisme, pour lui c’est une question de survie, sinon il en aurait déjà fini avec la vie.
Problèmes physiques ou psychologiques :Il est asthmatique

Particularités physiques ou psychologiques : c’est un gitan, c’est suffisant pour l’époque.

Famille : Rejeté de la vie, de la société et vagabond voilà sa famille
Histoire :
Les routes. Chemin obligé pour un gitan s’il souhaite partir, voir ailleurs. Un nomade, avec sa roulotte ses chevaux, sa langue, ses coutumes. Comme un mini pays mais qui changerai toujours de terre. Un homme du monde mais qui n’appartient à rien, en tout cas pas à une communauté fixe et sédentaire.
C’est dans ce milieu qu’est né Ylenzo. La date importe peu, qu’il est fait jour ou nuit cela aussi importe peu. Ce qui importait à ce moment précis était que sa mère avait mis au monde son quatrième enfant, et que c’était avec le même amour et la même tendresse qu’elle l’étreignait. Cependant la fatigue se faisait sentir chez la mère, donnant son petit qui quitta son giron si chaleureux, elle prit la main de son mari. La torpeur était plus lourde que les fois précédentes. A celle-ci elle ne résistera pas. Et c’est dans cette dernière caresse à son mari qu’elle s’endormit. Rejoignant ses ancêtres pour danser avec les étoiles comme aimait à le dire le père d’Ylenzo.
La vie fut douce pour notre bambin, des larmes comme tout les enfants et on aurait pu croire que le fait d’être déraciné à chaque fois alors qu’il commençait des amis le remplirait d’aigreur, comme ses frères au départ. Mais il n’en fut rien. Le plaisir d’être sur les routes, avec le en fouettant son visage était la chose qu’il appréciait le plus. Il aimait d’ailleurs à imaginer que ce même vent, n’était autre que la caresse de sa mère qui dansait éternellement autour d’eux.
Cependant, un vice s’immisçait, et le petit ne le vit pas de suite, mais le serpent qu’était l’alcool, se mit à mordre son père et à le rendre plus qu’accroc. Malheureusement il ne connaissait pas l’antidote contre les colères, les verres qui cassent, le père qui rentre sous les regards honteux des autres gitans. Non il n’y avait pas de remède. Et de toute façon, Ylenzo qui devenait un jeune homme, ne le cherchait pas non plus.
Il fallut entendre, d’arriver dans le patelin près du château de la reine Victoria, pour qu’il se passe enfin un déclic. Un soir comme tout les autres ou Ylenzo revenait de chez une de ses femmes qui succombaient à lui et il entendit de protestations, des mots à moitié mâché et out cela empreint d’une forte odeur d’alcool et d’urine. C’est sans surprise qu’il vit le dos de son père, mais c’est à ce moment qu’il voulut que sa mère fut encore là.
Cette jeune femme sous son corps criant de le laisser, ses mains qui vagabondait sur le corps d’une des villageoises, massant la chair comme s’il s’agissait d’un vulgaire morceau de viande…
Cet homme n’était pas son père. Son père n’était pas un homme qui cherchait cela…
Il l’attrapa le retournant, le priant de la laisser tranquille. Mais l’homme devant lui était possédé par ce serpent qu’était l’alcool, le pantalon défais sur les genoux, les vêtements de la jeune fille déchiré. S’il ne c’était pas retenu il en aurait vomi.
Ylenzo fut poussé atterrissant sur les fesses, c’était comme si son père avait les forces décuplés, il prit alors une bouteille et la brisa sur la tête de son père qui se retourna vociférant qu’il allait le tuer. Qu’il vienne se mit à penser Ylenzo, je l’attends. Ils se battirent ainsi jusqu’à ce que du sang coule. Un cri résonna, son père avait l’œil percé par un éclat de verre et perdit connaissance. Il le ramena, le balançant sur le lit pour que ses frères le soignent.
Et comme une prière muette il dit :
« J’aimerai que son cœur s’apaise à l’écho des musiques, que la vision de toi, ma mère, l’emmène loin de ces démons. J’aimerai qu’il redeviennent mon père »
Il avait pris une pierre comme pour sceller ses dires, celle-ci fut alors attiré par sa peau qui fusionna pour ne former qu’un avec son cœur. Il perdit connaissance.
Le lendemain à son réveil il sut en jouant de son violon que son vœu avait été exaucé et que cela était dut à la pierre qu’il portait.

Exemple de RP :
Vide...Une porte béante ouverte...Mais vide...Il n'y avait plus de chaleur ici, cet endroit ne respirait plus l'amour ou la joie comme autrefois.

« Mais qu'est ce réellement si ce n'est un sentiment fugace »

J'attrapais une pierre dans ma main et la réduisait en poussière après mes mots. Frottant ma main contre mon manteau j'aperçus une personne endormi contre un coin d'une des pièces. Une personne qui rôdait surement de temps à autre ici. Ses rides trahissaient son âge, et je pouvais comprendre qu'elle était épuisé rien qu'en entendant sa respiration qui était lourde et forte.
Je continuais à vagabonder dans la différente pièce avant de tomber sur la vue que ma sœur aimait temps. Mais était ce réellement un souvenir ou juste une invention de mon esprit...
Son sourire...Il suffisait que je le voie pour me sentir bien et apaisé...
Aujourd'hui il ne me laissait qu'un goût amer de ce qu'était mon autre moi...De ce que pouvait ressentir ce cœur.
Brusquement une bourrasque s'engouffra dans la pièce où j'étais pour rafraichir l'air environnant. Mes poils s’hérissèrent et pourtant je me sentais plus dans mon élément. Le froid était devenu comme une seconde peau pour moi, elle s'immisçait partout où j'allai. Elle représentait parfaitement la coque vide que j'étais. Un amas de chair mouvant. Mouvant juste par son instinct propre qui lui dictait que quelque chose arrivait...Et que bien des personnes seraient en danger.
Néanmoins je me questionnais : pourquoi en 4 ans je n'avais pas bouger de mon trou pour finalement décider de venir ici? Le tout dernier endroit où je l'avais vu...A croire que c'était mon devoir...
Malgré moi un rire faux m'échappa, à l'égal de ces pantins dont les enfants s’amusent... Je me moquais de moi ? Ou simplement de mon manque de réaction... De mon manque de discernement...
A quoi bon cherchais la réponse de suite...
Je fis demi tour et sortit de la maison...
Le temps allait me paraître long.

Ton pseudo : Amachan
Ton âge : j’ai pas encore les articulations qui craque, je n’ai donc pas atteint l’âge critique.
Comment-as-tu connu le forum ? Un petit être me l’a dit
Qu'est ce qui t'as tout de suite attiré sur ce forum ? : l’histoire et le contexte, c’est original.
As-tu des suggestions ? prosterne toi devant moi XD non…bon d’accord alors c’est moi qui me prosterne
Ton avatar est il quelqu'un en particulier ? non je ne crois pas -__-
As-tu lu le réglement ? à cause de la question je l'ai lu et deux fois T.T *a eu peur*