© Inconnu.

Nom : Charles. Prénom : De Leiningen. Surnom : Cha (pour ma sœur et ma demie sœur) Charles (pour les personnes intimes), Monsieur (pour le reste de la populace) Âge et Date de naissance : 13 Fevrier 1839. (34 ans) Rang : Demi frère de la reine….je ne sais pas…disons…famille royale ? Orientation Sexuelle : Hétérosexuelle. Métier : A part me distraire dans le palais ? J’aide un peu ma petite sœur quand elle me le demande, pas souvent cela dit et j’entreprend de faire un arbre généalogique de la famille royale…c’est fou comme je m’amuse…

© Inconnu.

Couleur de la pierre : Rose pâle. Taille de la pierre : 1,4 cm. Se trouve sur : En bas du dos. Nom du pouvoir : Méduse. Description du pouvoir : On connait tous plus ou moins l’histoire de cette gentille personne de cette adorable histoire qui raconte comment Persée tua une pauvre jeune femme dont le regard changeait en pierre tout ceux qui osaient lui jeter un coup d’œil. Pour moi c’est un peu la même chose. Mon regard est capable de vous changer en pierre. (C’est quand même un peu ironique non ?) Inconvénients : Il ne faut pas croire que je parvient à le faire en vous lançant une simple œillade, pour que mon pouvoir fonctionne il faut que j’enlève mes lunettes et que je fixe vos pupilles sans défense, mon don n’est donc pas très utile quand la personne visée n’arrête pas de se déplacer. Qui plus est si jamais il par le plus grand des malheurs les binocles tombent accidentellement et qu’une personne croise ma route il est tout a fait possible qu’elle se change en pierre. Hé oui mon don est automatique. Qui plus est la transformation n'est pas iiréviersible, il suffit juste que je regarde de nouveau la personne figée dans les yeux...si je le veux bien. Catégorie du pouvoir : Transformation.

Physique : Une nouille. Une grande nouille cuite. C'est un peu a ça que je pense quand je me vois dans le miroir tout les matins. Maigre. Long. 1m69 pour seulement 49 kilos. Des membres rachitiques, des mains aux doigts d'enfants. On a l'impression qu'au moindre souffle de vent un peu trop fort je risque de m'envoler ou de tomber en poussière, mais non je reste là bien planté sur mes longues jambes squelettiques.

Tout en haut de cet échalas d'os et de chair il y a une tête ovale à la peau un peu pâlotte. Une touffe de cheveux lisses noir et blond. Plus noir que blond en fait, la partie claire de ma tignasse se trouve au sommet de mon crâne et descend jusqu’au mon front. Le reste de mes cheveux est assez court, il ne m’arrive, toujours impeccable. Deux yeux grands yeux sombres, tirant parfois sur le chocolat trop fondu vous fixe avec la plus totale indifférence ou bien avec de petites lueurs qui ne présagent rien de bon pour vous. Une paire de lunette ovale les protège
de toute les agressions et surtout me permet de ne pas changer en pierre les malheureuses personnes qui croiseraient un jour mon regard.
Juste en dessous un petit nez pointu qui se retrousse en cas de malaise et une bouche qui sourit la plupart du temps, comme ça, par réflexe. Vous pouvez m’annoncer que je viens de perdre ma grand-mère elle restera figée dans ce rictus a demi hautain a demi amusé. Ma voix en elle-même n'est qu'une pâle copie de ce que devrait être une voix d'homme mûr. Un peu sifflante, parfois ressemblant au son que produit un bout de papier de verre frotté sur un tableau noir, en un instant elle peut être plus mielleuse que du miel ou bien cassante et sèche, surtout si vous m‘insupportez.

Le reste du corps n'est pas important, car je est toujours bien protégé par une épaisse couche de vêtements. Niveau vestimentaire on ne peut pas dire que je sois un exemple de la mode des rues. J’arbore dans n'importe quels conditions mon costume noir. Une veste blanche et mon cher nœud papillon noir, je le portait déjà quand j’étais enfant. Une idée de Père pour que j’ai l’air présentable ne toute circonstance. Je n’aime guère les couleurs vives, aussi je me contente du noir et du blanc, qui renforcent mon austérité et me fait parfois passer pour un domestique auprès des personnes ne m’ayant jamais vu…Assez amusant parfois.

Caractère : Tout le monde s’accorde a dire que je suis gentil, courtois, pas trop snobinard et ouvert d’esprit. D’un certain point de vue c’est un peu vrai. Je déteste les personnes impolies, parler grossièrement et arriver en retard sont pour moi des crimes aussi graves qu’un meurtre. J’en fais peut être un peu trop c’est vrai. Etre irréprochable en société et un mot d’ordre que mes tuteurs m’ont inculqué depuis ma prime jeunesse et je n’ai jamais dérogé a cette règles élémentaire. Il faut savoir paraitre c’est évident, mais qui a vraiment envie de savoir ce qui peut se cacher sous le masque de gentil frère bien élevé ? Seul les membres proches de ma personne, a savoir la famille et peut être certains domestiques, sont pleinement conscient de ma nature profonde. Quelle est elle ? Avez-vous vraiment envie de savoir ? Si oui alors je vous invite a faire un petit tour dans mon cerveau, avant de rentrer veuillez essuyer vos pieds. Merci.

Sarcastique, je balance des piques comme je respire, je ne pense pas forcement à être blessant envers mon interlocuteur mais c'est plus fort que moi. Cela peut aller des commentaires sur vos tenues ou sur le physique, qu'importe. Perfectionniste a l'extrême si je remarque ne serait ce qu'une seule éraflure sur l'une des mes tenues ou sur l’un des domestiques je suis capable de vouloir envoyer tout ça au feu. Ce n'est pas pour autant que je n'ai pas un minimum de savoir vivre, toujours poli dans mes phrases et dans mes gestes, la plupart du temps je suis tout à fait capable de tenir une conversation sans s'énerver. Car je suis d'un calme presque inquiétant, même quand quelque chose commence à m'agacer je n'en laisse rien paraitre.

Il est rare que je sois de mauvaise humeur le matin, car je suis d'un naturel positif, sans pour autant être la petite fée du bonheur. Je suis également curieux et je m’intéresse un peu a tout de la mécanique en passant par les sciences…
Bien que je ne soit pas un grand farceur et que mon sens de l’humour soit loin d’être existant, j’aime bien taquiner. Mon passe temps favori est de tourner autour de la personne en question et de lui enfoncer mon doigt dans les côtes ou dans la joue plusieurs fois de suite. A par ce curieux manège j’ai horreur de gaspiller mon temps a faire des idioties, quand elles ne sont pas involontaires, car je suis aussi un peu maladroit, je passe mon temps a tomber a la renverse, et les blagues me laissent généralement de marbre, quand elles ne me mettent pas en colère. J’ai positivement horreur qu’on me fasse perdre du temps ainsi que l’improductivité, quand quelque chose doit être fait il faut que ce soit pour une bonne raison ou que cela apporte quelque chose. Je ne fais jamais rien pour rien.

Une dernière particularité chez moi. Je suis un maniaque de la propreté. Il est tout simplement impensable que je touche quelque chose de sale ou que j’entre dans une pièce qui ne soit pas immaculé. Et quand par la plus grand des miracle j’y parviens, il faut impérativement que je nettoies tout de fond en comble, ma chambre est l’exemple même de mon tic nerveux, les domestiques y passent très régulièrement.

Problèmes & Problèmes physiques ou psychologiques : A part sa maniaquerie presque maladive pour le rangement et la politesse ? Non je ne vois rien.

Famille : Fils aîné de Émile Charles de Leiningen et de Victoria de Saxe Cobourg-Saalfeld. J’ai une jeune sœur nommée Féodora ainsi qu’une demie sœur, bien connue, la toute jeune reine Victoria. Mon père étant mort, ma mère c’est remariée à Edward Augustus, duc de Kent, malheureusement il meurt lui aussi. Malgré le fait que je n’était pas très attaché à mon beau père j’ai tout de même beaucoup d’affection pour mes sœurs, petites perles adorables, ainsi qu’un profond respect pour ma mère.

Histoire : 23 Décembre. Année X.

C’est le quatrième livre que j’entame. Mère doit vraiment penser que j’ai un besoin urgent de noter tout ce que je pense. Ce n’est pas vraiment le cas mais les derniers événements de ma vie me donne l’envie d’écrire. Ces derniers temps je repense souvent a mon enfance et a tout ce que j’aurais put faire sans jamais oser, je suis toujours rester dans mes marques je n’aime pas les changements trop brutaux. Quoi qu’il en soit…Tiens si je racontais tout ? Histoire de me souvenir un peu.

Je suis né un 13 février. Dans une famille princière tout le monde pense que le premier né et toujours le plus heureux car il est assuré d’avoir un avenir prospère ou du moins confortable. Les gens ne savent pas. Sa place il faut se battre pour l’avoir, ne rien lâcher, écraser les autres pour toujours finir premier. Peut importe dans quoi, on est prince on doit donner l’exemple, être doué en tout, avoir de bonnes manières, ne jamais se laisser aller, me méfier de certaines personnes, apprendre a flatter et a courber l’échine quand il le faut. Mon père était un homme stricte, qui ne plaisantait pas avec les notions d’honneur et de loyauté, un homme doit se montrer fort et capable de tout pour protéger les siens. Il doit faire passer le bonheur de sa famille avant ses propres envies. D’un certain côté je suis d’accord avec ses idées, mais il est très dur de les appliquer au quotidien.
Quoi qu’il en soit j’ai été élevé dans une atmosphère de domination et de lutte, Père ne me faisait aucun cadeau et me faisait étudier jusqu’à ce que j’en tombe de sommeil. Je ne rechignais pas a vrai dire, les études étaient souvent très intéressantes et je prenais plaisir à écouter mes professeurs.

J’étais un enfant assez sage, studieux car je n’avais pas vraiment le choix. J’était souvent seul car dans le manoir ou nous habitions alors peu de personne, et surtout des enfants ne venaient me rendre visite dans la salle d’étude. Certains domestiques et mes nurses étaient pourtant de vrais samaritains pour moi. Je me demande si ce n’est pas grâce a ça que j’ai aujourd’hui cette habitude de parler avec les domestiques du palais ou bien ceux qu’il n’arrive de croiser. En tout cas ma vie a commencé a s’améliorer avec l’arrivé de ma petite sœur Féodora. Il fallait la voir quand elle était bébé, un bout de chou tout mignon et vraiment calme. Pas un cri plus haut que l’autre et de pleurs superflus. Mais il est vrai que je n’avais pas le temps d’être avec elle. Un avenir bien sombre se profilait devant nous mais ne n’avais pas encore la possibilité de le voir. Vers mes onze ans je passais plus de temps dehors en compagnie de Mère et de Féo, petite fée comme je disais a l’époque. C’était diront nous le bon temps. Moins stricte. Père me prenait parfois avec lui pour faire une partie de chasse au renards et j’avais l’insigne honneur, si l’on peut dire ça, de porter le cor, je me souvient d’ailleurs qu’une fois j’avais été tenté de souffler dans ce drôle d’instrument, le son qui en était sortit était tellement aigu que mon cheval c’était emballé, me propulsant trois mètres plus loin. Ce fut la seule fois ou je vis Père rire de bon cœur. Et la dernière aussi. Je me demande d’ailleurs si Féo a déjà eut cette occasion, je l’espère en tout cas, il était rare de le voir ne serait ce que sourire…Pas comme Mère. Elle avait toujours la bonne humeur, même si elle aussi était sévère, mais je n’en ai jamais eut a m’en plaindre.

L’année de mes douze ans, marqua une sorte de tournant pour ma famille. Père mourut lors d’un accident durant l’un de ses voyages en Europe. La nouvelle ne nous parvenu seulement un mois plus tard. Mais c’est une période que je n’aime pas remémorer. J’en parle le moins possible. Je m’en rend compte seulement maintenant, mais je ne parle pas de Père. Sans doute parce que je souhaite l’oublier afin de moins souffrir ?

Tout se passa très vite par la suite. Mère avait déjà trouvé un mari et le mariage avec ce Duc de Kent me laissa un désagréable souvenir. Je trouvais cela presque immoral de la part de Mère de se remarier aussi vite. Qui plus est les relations entre mon beau père et moi n’étaient pas les meilleures du monde. Nous ne cessions de nous quereller pour un oui ou pour un non dans n’importe quelles circonstances. Je le trouvais arrogant, ignare et idiot. Je ne sut jamais ce qu’il pensait de moi, mais je n’attendait guère à des louanges venant de sa part. Pour l’enfant que j’étais alors cet être tout entier me répugnait et il ne me serait jamais venu a l’esprit que cet homme puisse un jour être l’auteur d’une perfection, aussi insignifiante soit elle. Mère me reprochait souvent mon manque de courtoisie vis-à-vis de Edward et je me montrait blessant envers elle, ce qui me valut plusieurs fois des coups de règles sur les doigts ou des séjours long et pénible dans ce que je nommais « le coin ». Aujourd’hui je me rend bien compte a quel point mon attitude était détestable…mais je me souvient aussi qu’une fois, ayant glisser un gros têtard dans l’assiette à soupe de mon beau père, j’assistait a la plus belle crise de panique lors d’un souper diplomatique. J’en riais tellement que je me suis écroulé de ma chaise, c’est une manie de tomber chez moi. Féo avait ensuite passé un bon quart d’heure à me parler à travers la porte de ma chambre où l’on m’avait bouclé. Mais je ne regrette jamais mes actes.

Pendant mes quatorze ans il y eut un autre événement. La naissance de ma seconde sœur, ou demie sœur peut importe. Victoria. Au début j’étais septique, cette petite chose qui bougeait et braillait me semblait être une ennemie plutôt qu’une alliée. Je me trompait bien sûr. Mais il est vrai que lorsqu’elle était enfant elle possédait un tempérament un brin exaspérant. Coquine, chapardeuse à ses heures perdues, distraite et désinvolte. J’avais parfois bien du mal a la supporter, mais certains côtés de sa vie me plongeait dans mon enfance. Elle aussi avait peu d’amis, elle aussi devait endurer les heures de cours interminables, sauf que la demoiselle n’écoutait pas vraiment ses leçons. Et puis elle n’avait connu son père, en effet ce dernier était mort peu de temps après sa naissance. Et même si je ne l’aimais pas je me sentais tout de même triste. Allez savoir…

Mais je m’étale un peu trop. Et je n’ai presque plus d’encre pour écrire. Les années qui passent et se ressemblent, mes sœurs grandissent et deviennent femmes. Charmantes et cultivées. Même Vic se laissa assagir au fil du temps. Sans doute grâce a sa pierre, ce drôle de cailloux d’une intense couleur rouge qu’elle trouva incrusté dans sa main l’année de ses neuf ans. J’en ai une d’ailleurs moi aussi, mais on ne peut pas dire que j’ai fait exprès de la trouver pour avoir ce don. Nous étions en train de jouer tout simplement, chose assez rare d’ailleurs, le colin-maillard est l’un de mes jeux favori. Je suis tombé a la renverse, encore une fois, j’ai sentit quelque chose dans mon dos. J’ai retirer le ruban de mes yeux afin de savoir sur quoi ou qui j’avais bien put atterrir. Une servante est arrivé près de moi, je l’ai regardé, elle m’a regardé, elle n’a plus bougé…du tout…un simple morceau de cailloux. Une sculpture de pierre. Je suis resté terrifié pendant des semaines, prostré dans ma chambres, et il fallu que Féo menace de faire sauter les gonds de ma porte pour que j’accepte de lui ouvrir et de me laisser entrainer à l’extérieur. Aujourd’hui tout se passe relativement bien.

Enfin quand je dis bien je suis optimiste. Entre le mariage de Victoria avec son cousin Albert que beaucoup de personne voulait empêcher, je n’étais pas tellement contre, les affaires de cœur ne me regardait pas, et je savais bien qu’un jour elle obtiendrais l’approbation de nos pairs. Deux ans après son accession au trône. Moment émouvant et surtout enivrant tout comme son mariage. Puis il y eut cette idée loufoque de disperser les pierres magiques un peu partout dans Londres. Elle était reine, ce n’était pas a moi de lui dicter sa conduite. Même si je trouvais cette idée un brin étrange et surtout improductive, mais bon…
Ces derniers temps je crains plus pour la population, avec cette sombre histoire de Jack l’éventreur…Heureusement, ou malheureusement, il ne semble en vouloir qu’au prostitué du quartier pauvre de Whitechapel, mais on ne sait jamais.

© Inconnu.

Exemple de RP : Spoiler: Ton pseudo : Un peu comme vous voulez en fait ! Chacha si ça vous amuse, ou bien kero (je suis fan de cette petite grenouille ) Ton âge : *Regarde si elle n’a pas de cheveux blancs* Non non c’est bon. J’ai tout juste 19 ans ! Comment-as-tu connu le forum ? En faisant du cliquage sans frontière. Qu'est ce qui t'as tout de suite attiré sur ce forum ? J’adoooooore Jack l’éventreur (oups je devrais pas le dire comme ça) As-tu des suggestions ? Hééééé beeeeen non. Ton avatar est il quelqu'un en particulier ? Kokuran de Pokemon. As-tu lu le réglement ? Non ! J‘suis rebelle !! Je plaisante ! Bien sûr que l‘ai lu.

Bienvenu Charles * s'incline *

Bienvenue . POKEMON ! *sort*
Oh my god, el pouvoir qui tue ! après, tu peux pas faire redevenir les gens normaux ? Pacque bon....
Enfin bref . J'attends la suite ~
Ps : Enchanté de te connaître un peu comme vous voulez en fait

Bienvenue ! J'aime bien ton histoire pour l'instant, j'attends la suite avec une réelle impatience^^ Et je suis toute heureuse d'accueillir sur le fofo un membre de la très Noble Famille de notre Reine adorée ♥

Un jour je seraiiiii le meilleur dresseuuuuur ~ *soooort*

Bienvenue monsieur le frère de la reine °° *s'incline, trébuche et tombe*
Très ironique comme pouvoir, en effet

Bonbon, *lance une pokéball dans la tête de Charles* . Nyark
"C'est le demi-frère de la reine" souffle Louloutyn à côté
"Ah, je m'en fous .... ALLEZ FAUT QUE JE LE CAPTURE !"

Herm. sinon, tu es validé .
WELCOME HERE (chez les tarés et délurés et timbrés et malades mentaux )
En espérant que tu t'y amuses bien .

Aieeee confiaaaaaance ~

A peine arrivé et déjà tout une meute de doux dingues qui me chantent des chansons et me lancent des pokeballs a la figure

Je sens que je vais me plaire ici...comment ça j'ai pas le droit d'utiliser de lance roquette ?

Nous sommes fous et nous le valons bien
Bon, bon, ça sera à Tyna Lou de verrouiller le sujet (pacque si je le fais elle va hurler é_è)

Oui, d'abord^^ \o/ *adore déplacer les fiches :p*

Bon jeu !