Victoria's Stone
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March Windyood
The Fondateur ~ Little Cute Bad Boy - Maître de Morgan

Messages : 760
Points : 658
Date d'inscription : 06/04/2010
Age : 29
Emploi/loisirs : San Francisco 2030, des années après le combat des forces du bien contre celle du mal. Peu à peu les êtres maléfiques, démons et êtres des ténèbres se firent de plus en plus discret, si bien que les jeunes générations de sorcières et sorciers pensent que la Source et la triade ne sont que des légendes urbaines. Les attaques de démons sont très rares désormais, quelques furies et démons inférieurs se font encore connaître. Les êtres bénéfiques ignorent une chose, la Triade, un groupe de démon supérieur viennent d'élire une nouvelle Source. A l'abri des regards au fin fond des enfers la Source se prépare au combat. Bien décidé à imposer son règne, il exécutera un rituel résultant en la résurrection du premier hybride mi-sorcier mi-démon, mais aussi la création d'un pouvoir des trois maléfiques. Seulement après tant d'année de paix, les pouvoirs des sorciers et des sorcières se sont affaiblis plus que jamais, la Source saisira sa chance pour lancer une attaque et faire comprendre aux sorcières et sorciers qu'elles ne sont plus en sécurité nulle part. Cette recrudescence forcera les fondateurs à choisir un pouvoir des trois bénéfiques afin de contrecarrer les plans de la source. Et ainsi faire comprendre aux sorcières et sorciers qu'elles ne sont plus en sécurité nulle part. Quand les sorcières rebelles appartenant aux Sarcana, ouvriront un portail pour avoir accès au Tartare, la prison des enfers. Un ancien sort jeté par les fondateurs le Damnatio memoriae, condamnant à l'oubli des sorcières que les fondateurs refusent de reconnaître et d'aider. Les traitant comme des parias. Ils se serviront également du sort pour se cacher de l'Enclave, mais aussi afin de dissimuler l'existence de certains sorciers et des êtres de lumières, se brisa. Cette recrudescence des forces maléfique força les chasseurs d'ombres, également connus sous le nom de Shadowhunters, à affluer à San Francisco et avec eux des tas de nouveaux ennemis et problèmes. En effet parmi eux, se cachent des extrémistes des membres du Cercle attendant patiemment le bon moment pour passer à l'attaque et asseoir la puissance de Valentin Morgenstern.
Humeur : Déchet.

Un peu plus sur toi !
Relations:
Possèdes-tu une pierre ?: Oui :D
Le pouvoir de la pierre: Vol
Ô rage ! ô désespoir ! ô vieillesse ennemie !
N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ?

[Le Cid - Pierre Corneille]

La pluie tombait, l'orage tonnait. Tout le monde avait peur, enfin surtout ceux qui ont peur de l'orage, comme Yuki quoi. Les gens se cachaient sous le lit. La terre tremblait, les gaulois hurlaient "le ciel nous tombe sur la tête !", Toutatis s'en moquait, Zeus s'amusait et Lambo aussi. Et personne ne sortait dehors par cette tempête que tout le monde craignait. Forcément... Personne n'avait envie de tomber malade.
Personne ne remarquait cette silhouette qui ne bougeait pas, qui se contentait d'observer les gouttes qui tombent sans faire l'effort d'éviter de mouiller les gens. L'ombre de cette personne restait fixe, comme s'il était mort. Comme si tout s'était éteint. Parce que de simples mots lui revenait en tête sans qu'il ne puisse s'en débarrasser. Pourtant, les mots ce ne sont que des lettres, des formes. Pourquoi est-ce que ça l'avait toucher autant ? Parce que ces mots avaient été des sons qui lui avait dit la vérité ? Son coeur se serrait, à la vitesse que les mots revenaient. A une telle vitesse, que pourtant, il ne pleurait pas. Il l'avait fait. Il avait pleuré. Et voilà maintenant qu'il se retrouvait tout seul sous la pluie, à tremper ses cheveux blancs, qui à force étaient encore plus blancs que blancs.

"Tu n'as rien" "Tu ne vaut pas mieux que ton oncle"

Ces phrases l'avaient détruites en une simple seconde. Et il avait ouvert les yeux. Lui le nuage qui vivait ailleurs, qui n'était jamais sur Terre, qui se contentait d'observer sans influencer, voilà qu'on l'avait briser en un instant. Et c'est pour cela, qu'il restait là sous la pluie à penser. March n'était pas un philosophe. Il n'était qu'un simple gamin. Ses chaussures étaient mouillés, ses pieds aussi. Sa casquette était totalement trempée, ses vêtements aussi, pourtant, au lieu de s'abriter, il ne bougeait pas. Il ne bougerait pas. Jusqu'à ce que ça soit fini.
Mais quoi ?
Il n'avait rien, l'autre avait eut raison. Il volait, il vivait, il souffrait, il faisait tout, juste pour cette putain de vengeance qui lui bousillait tout. Qui lui avait enbué la vue. Qui lui avait fait oublier la vie. Il n'était plus qu'un amnésique sans souvenir. Sans rien. Vide. Sans lumière... Il aurait beau vouloir le nier, il le savait trop bien et c'était ça qui le faisait encore plus souffrir. Il n'aurait pas voulu dire pardon au monde, parce qu'il restait March. Mais ça n'empêchait pas que la douleur qu'il ressentait en ce moment le déchirait.
Ses parents ne reviendraient plus.
Plutôt que de l'admettre, il avait joué l'enfant. Après tout, il n'avait que quatorze ans, il était normal pour lui de s'inventer des fausses excuses pour mieux fuir. Alors il avait inventé cette vengeance pour se rassurer du fait qu'il n'aurait jamais plus cette tendresse qui l'avait éduqué, qui avait fait ce qu'il était.
Personne ne lui donnerait de l'affection.

Et c'est sûrement à cette phrase là qu'il ouvrit les yeux. Mais qu'est ce qu'il était stupide. Bien sûr que si. Il avait quelqu'un. Pourquoi est-ce qu'il restait planté là sous cette pluie qui le mouillait plus que tout, à ne pas bouger, à s'en rendre malade ? Même si March ne l'admettrait jamais, même s'il là il l'admettait ne serait-ce qu'un peu, il savait qu'il lui restait quelque chose. Quelqu'un. Avec un s même.
Morgan. Lucy.
Les seules personnes qui lui étaient encore chers. Il y tenait plus que tout, même s'il le nierait jusqu'au bout. Même si le blond était un débile surexcité qui se contentait d'embêter March en lui donnant pas mal de surnoms, ça n'empêchait pas le gamin aux cheveux blancs de l'aimer énormément, et ce, quoiqu'il en dise. Pour Lucy, et bien, ses câlins aussi, sa façon de le coller, il y tenait aussi.
Parce que c'était ses deux meilleurs amis. Ses seuls amis.
Et ce fut quand il s'en rendit compte... que le trou noir fut un peu comblé. La pluie ne s'était pas arrêté, l'orage non plus d'ailleurs, pourtant, le temps venait de redémarrer. Et March dans un soupir se trouva bien stupide d'être resté planté là pendant des heures sans raison, et retourna dans son taudis.

"Être ou ne pas être
Telle est la question"
[Hamlet - William Shakespeare]


Il voyait une lumière jaune qui tournicotait autour de lui. Tout papillonait et souriait joyeusement. Ah, c'était tellement agréable que March avait envie de courir après... Et il fut prit d'un rire débile, digne de moi même. Heureusement pour le pauvre gamin, personne de sa connaissance n'était autour de lui, sinon, il aurait perdu toute crédibilité.
Ah, pourquoi il riait ? Ben, en fait vous voyez, quand il pleut, et qu'on reste sous la pluie, et que nos pieds, nos cheveux et tout le reste sont mouillés, il y a un certain taux de pourcentage pour que l'on tombe malade et.... C'était ce qui était arrivé à March.
Après, vous allez me dire "ouiii mais noooon ça lui donne pas de raison de rire", sauf que ben, Marchoupinou quand l'est malade ben.... Il est....Un peu bizarre... comme s'il avait bu de l'alcool vous voyez ?

Alors c'est pour ça qu'il avait envie de gambader dans la prairie, qu'il riait pour un rien, et que son front était brûlant. Il toussa un bon coup. Aujourd'hui il faisait beau, les oiseaux cuicuitaient - mais pas dans le four - et le gamin aux cheveux blancs était devenu en quelques temps un imbécile ressemblant bizarrement à Morgan... Bon ok, il était quand même plus calme. Juste qu'il riait un peu beaucoup trop et que c'en était vraaaaiment flippant... Mais que voulez vous ! enfin bref. Même s'il était malade, limite bourré sans boire d'alcool, il fallait quand même qu'il bouge au lieu de faire dodo pour que la fièvre s'en va. Parce que forcément, il n'avait personne pour le forcer à rester au lit, et puis de toute manière il n'avait pas de lit !
March se baladait ainsi, dans tout Londres - ou juste dans la Londres pauvre - en rigolant comme un crétin, comme moi quand j'accumule du stress et que je fais une crise de stress !

"Je me meurs, je suis mort, je suis enterré.
N’ y a-t-il personne qui veuille me ressusciter,
En me rendant mon cher argent,
Ou en m’apprenant qui l’a pris ?"
[L'avare - Molière]


Et puis, quand même parce qu'il devait tout de même faire un peu preuve d'intelligence, même malade, et que son ventre gargouillait en hurlant à la faim et bien, il se dit tout de même qu'il fallait voler quelque chose pour manger. Le problème, c'est que quand on voit trouble, qu'on marche limite en tombant, c'est pas toujours facile de décider du lieu... Et c'est ainsi qu'il décida de rentrer dans la première porte en face de lui.
Seulement, ce qu'il ne savait pas, et bien.... C'est que l'endroit où il était entré, était un endroit où il ne fallait surtout pas entrer quand on avait une pierre.
D'ailleurs, étant donné qu'il était malade, aujourd'hui, March ne volait pas, et même, depuis tout à l'heure il lévitait dans les airs, ou plutôt à 1 cm du sol. il fallait vraiment être doué pour le remarquer. en fait, le gamin était totalement détraqué de partout, et il ne se rendait même pas compte de ce qu'il faisait et de où il allait.
Bon... Un peu de sérieux il devait trouver quelque chose à voler... Mais où ? Et c'est pour cela qu'il vit un visage qui lui était familier.
Et vous savez ce qu'on fait quand on est saoûl ? On raconte que des bêtises...

- Aaaah ! Bonjour ! Comment allez-vous ?! Je suis venu vous voler ! Alors vous pouvez me donnez votre argent, s'il vous plait ?

.................
Il venait bien évidemment de dire ça à Ruyard Foster, chef de la milice contre les pierres, dans son propre QG, avec un sourire de débile, en rigolant à moitié, sans se méfier de rien, le cerveau trop embrumé par la fièvre.
Oh mon pigeon moi je dit. Ou en fait non. Oh my Isaac Asimov.
Ruyard

Chef sadique et fou de la MPSP

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Un peu plus sur toi !
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Possèdes-tu une pierre ?: Non ><
Le pouvoir de la pierre:
    Faust ne s'était pas levé de très bonne humeur. Enfin, on ne peut pas dire qu'habituellement, son humeur soit irréprochable, mais disons qu'aujourd'hui était plus particulier. Parce qu'il devait faire une mission d'infiltration chez une Comtesse, dans son boudoir. Il devait découvrir les possesseurs parmis les amies de cette Comtesse, mais ne devait pas se faire passer pour un homme. En clair, il devrait se travestir. Et cette idée, prévue depuis plus de deux semaines avec la Comtesse qui était une alliée, horrifiait Faust à chaque fois qu'il y pensait. Il n'avait pas réussi à s'endormir la veille à cause de cela, et avait dû faire deux promenades, et quatre tisanes au citron et au miel. Plutôt qu'un sommeil réparateur, il ne put en tirer qu'une forte envie d'uriner, et une fatigue encore plus grande. Enfin, sur les coups de trois heures du matin, il avait enfin su trouver le sommeil, et avait pu dormir cinq heures.

    A huit heures, il avait été d'une humeur exécrable, et toute la journée durant, il n'avait pas été de meilleure humeur. Enfin, vint le moment où il dut se retirer au QG de la Milice contre les Pierres pour les Sans Pierres pour se changer. Retiré dans une pièce, il retira soigneusement ses vêtements, et les déposa sur une chaise sans les froisser. Puis il s'assura que le loquet de son cagibi était bien verrouillé, puis il enfila des bas roses. Une fois ceci fait, il prit un corset, qu'il plaça autour de sa taille, et tira pour serrer au mieux les cordons. Normalement, une femme ne pouvait s'habiller seule, mais Faust ne pouvait prendre le risque de se faire reconnaître par qui que ce soit, même ses plus proches amis, et ne pouvait ainsi demander de l'aide à personne. Il parvint néanmoins à faire ce travail herculéen, à force de volonté. Le corset tiré, il découvrit sa robe, et la passa. Il se trouvait un air totalement ridicule, mais espérait que ce détail passerait inaperçu après le maquillage. Il se passe du fond de teint, chose quelque peu inutile vu sa pâleur habituelle, mais une femme devait sentir la poudre quand on baisait sa main, et il ne devait pas déroger à la règle dans le but de ne pas se faire reconnaître. Il ombra ses paupières, se fit des traits sous les yeux au khôl, il mit un peu de mascara ; un peu de poudre pour les joues, et une mouche au dessus de la lèvres afin d'accentuer la blancheur du teint. Une petite touche supplémentaire de rouge à lèvres, afin de fignoler les détails, et son maquillage était prêt. Il s'entraîna à sourire comme une femme, puis il s'attaqua à ses cheveux.

    Ses cheveux étaient beau. Mais pour un homme, là résidait tout le problème. Il avait acheté un nécessaire à cheveux, et entendait bien faire régner l'ordre dans sa tignasse de feu. Il brossa longuement sa crinière, puis quand le brossage lui paru satisfaisant, il les peigna à nouveau afin de bien faire disparaître tous les noeuds éventuels. Il prit un ruban, s'attacha les cheveux en queue haute, et s'attaqua à tresser une natte dans cette queue. Une fois celle ci faites, après de nombreux échecs de la part du chef de la Milice, Faust put enfin prendre un second ruban pour finaliser sa tresse.

    Restaient encore les accessoires. Faust prit deux boucles d'oreilles en argent, incrustées de béryls, et les accrocha à ses oreilles. Il avait prit un modèle qui permettait de coincer les larges bijoux aux oreilles, sans nécessiter de trous auparavant. Il put ensuite mettre le collier adapté, qui allait avec les boucles d'oreille. Faust prit ensuite le petit chapeau qu'il se mit sur la tête, un petit chapeau qui allait avec sa robe. Enfin, il mit ses gants, blancs de rigueur. Il était prêt.

    Avant de partir, il se rendit compte qu'il pleuvait dehors. Il avait déjà ouvert le loquet du cagibi, mais maintenant qu'il était prêt, il n'avait plus rien à craindre. Il se dirigea vers une ombrelle qu'il avait acquis avec le reste au cas où, et passa devant le miroir. Il était méconnaissable. Pas aussi gracieux qu'une autre femme, mais il n'avait rien à envier à d'autres. Il prit l'ombrelle, et entendit du bruit à l'extérieur du cagibi. Il se dépêcha de courir hors de sa cachette pour découvrir ce qui se passait. Un gamin venait d'entrer dans la bâtisse.

    - Aaaah ! Bonjour ! Comment allez-vous ?! Je suis venu vous voler ! Alors vous pouvez me donnez votre argent, s'il vous plait ?

    December. C'était ce gamin qui s'était cru plus fort que lui, mais qui ne pourrait plus désormais se faire oublier de la Milice. Faust oublia un instant qui il était censé être, et hurla, plein de rage, peut-être à cause de cette scéance éprouvante de déguisement, quelque chose qu'il allait regretter peut-être.

    - Sale gamin ! Tu sais pourtant à qui tu parles ! A moi, Faust, ton pire ennemi en ce Monde !

    Faust n'était jamais sortit de ses gonds de cette manières. Mais il fallait bien qu'un jour ou l'autre, il fasse un première fois, non ? Ce qui était dommage, c'était qu'il venait de mettre à néant une scéance de travestissement pour se faire passer pour quelqu'un d'autre, et qu'il venait en une paroles de déchirer ce masque si bien fait. Quand on dit des choses impulsivement, il arrive bien trop souvent qu'on les regrette par la suite...
March Windyood
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Puisqu'il faut choisir
A mots doux je peux le dire
Sans Contrefaçon
Je suis un garçon
[Sans contrefaçon – Mylène Farmer]


March était toujours comme bourré. En plus il pouvait l’être encore plus vu que avant de répondre je viens d’écouter pokémon en repensant à ma théorie que j’ai écrite sur le sujet avec Morgan. La milice c’est la Team Rocket. Et là, March était un pokémon, on va dire bulbizarre, ou alors dracaufeu, ou encore tiens, Lugia, et il se retrouvait en face de Giovanni qui voulait le capturer avec une hyperball. Sauf que là on va dire que March est empoisonné et confus, et qu’une pokéball suffit amplement.
Bref… Le gamin était totalement ailleurs, et il n’avait pas remarqué sous le coup, que l’autre était traversti, en fait il avait juste remarqué ses cheveux roux et ses yeux bleus, et puis cet air de supériorité qui semblait ne jamais changer chez l’autre. Alors c’est pour ça qu’il n’avait pas réagit. En fait, March voyait déjà pas mal trouble…. Et puis, l’autre ne sembla pas être d’humeur, ou bien, il n’avait pas d’humour, car il se mit à hurler.

- Sale gamin ! Tu sais pourtant à qui tu parles ! A moi, Faust, ton pire ennemi en ce Monde !

Ah…. ? March le regarde, alors déjà, il faut que les mots s’assimilent dans son petit cerveau, tout doucement. Ennemi….Faust….Gamin….parles…Pourtant….Aaah ! Oui d’accord…. Ah peut-être. En tout cas, c’est ce qui est écrit sur le visage de March, même s’il est surtout blanc, aussi blanc que ses cheveux quasiment, et qu’on dirait qu’il est à moitié chouté – c’est ça de respirer les fumées d’opium -. Et en fait, et bien, il continue coût sur coût ses bêtises :

- Aaaah, oui, peut-être ! Je me disais bien que je vous reconnaissais !

Et il se met à rire un peu, se trouvant stupide. Oui, là, March tu es stupide. Mais tu n’y peux pas grand-chose, ce n’est pas de ta faute. Vas vite te coucher, et tu verras, demain ça ira mieux ! Il respirait fort, et en fait, c’est peut-être là qu’il remarqua l’accoutrement du pauvre chef de la milice qui se retrouvait en face d’un March malade, qui semblait avoir un mélange de caractère entre Lucy, Morgan, Alessandro et Elliotine, d’ailleurs ça me rappelle qu’il faut que je termine le design, la flemme.

Bref, tout ça pour dire, que quand March s’aperçu que Ruyard Foster était traversti, c'est-à-dire qu’il portait une robe, qu’il était maquillé et qu’il avait même les chaussures qu’allait avec, et bien, il ne put s’empêcher de rire. Faut dire que c’était vraiment comique comme situation. Il riait encore plus qu’il y a quelques instants et pointa du doigt le pauvre milicien, qui allait en faire de la chair à paté, sûrement :

- Vous êtes en femme ! Vous êtes en femme !!!

Mais oui, March, rigole. Mais qui rira bien, rira le dernier. Manque de bol pour toi. Surtout, que, je vous rappelle qu’il est toujours entrain d’utiliser sa pierre sans le vouloir, vu qu’il lévite toujours à un centimètre du sol (s’il avait essayé d’aller à deux centimètres, il n’aurait pas réussi, quand March est malade, et bien, sa pierre ne marche pas très bien)

Prenez garde à mes soldats de plomb,
C’est eux qui vous tuerons
[Sans Contrefaçon – Mylène Farmer]
Ruyard

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    On aurait pu croire que toutes les flammes de l'enfer brûlaient dans les yeux de Ruyardette, pardon de Faust. Et en plus des flammes crépitaient des éclairs, qui s'ils avaient pu se matérialiser auraient tué net March sur place. Quelle impudence, quel culot ! Faust tendit le bras pour flanquer une volée à l'affreux gamin, quand il sentit le corset qui lui arrêtait le bras, lui bloquant le geste dans son élan. Heureusement pour le gamin, qui n'aurait sûrement pas repris ses esprits tout de suite, voire jamais. Enfin, soyons optimistes. Faust tenta de reprendre son calme, et essaya d'arrêter les flammes qui brûlaient dans ses iris rouges de colère. Il repris son visage impassible, et regarda à ses pieds pour ne plus être tenté de flanquer une autre volée à ce gamin, qui pourrait l'éviter d'une façon aussi ridicule pour le Milicien que la première fois... L'éviter... Léviter... C'était d'ailleurs ce que faisait le garçon aux cheveux blancs juste en face de lui !

    - Sale gamin ! Non content en plus de venir me ridiculiser ici, dans mon repaire, tu t'amuses à utiliser ton pouvoir proscrit !

    Oui, il utilisait sa pierre pour la seconde fois devant Faust. Une seconde erreur de sa part, car la première fois, Faust n'aurait peut-être jamais dénoncé l'enfant, mais conservait dans son esprit le visage de "December" ainsi que sa morphologie, afin de le reconnaître facilement une autre fois. Là, par contre... Il venait d'entrer dans la fosse aux lions, usant de son pouvoir une seconde fois, et là... Le chef de la Milice ne ferait pas de cadeaux. Paix à l'âme de March, mais on ne sait pas s'il en ressortira vivant de cette altercation.

    Faust tenta une nouvelle fois de se calmer. Il y parvint mieux, cette fois, fort heureusement. Il secoua ses cheveux, en un geste tout à fait féminin, et se prit à prendre totalement son rôle de femme à cœur. Après tout, il serait moins ridicule à jouer son rôle jusqu'au bout, surtout si quelqu'un entrait dans la pièce. Il parvint à sourire, et dit d'une voix tout à fait mielleuse, digne d'une femme de la cour :

    - Dis moi, December, que viens tu faire ici ?

    Après tout, il aurait peut-être plus de résultats. Le gamin ne pouvait pas fuir, du moins selon les pronostics de Faust. Alors, autant jouer le tout pour le tout, et tenter l'approche sympathique, même si chaque mots lui arrachait le cœur et son amour-propre. Ce que le gamin allait lui dire avait intérêt à être intéressant. Sinon...
March Windyood
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Le pouvoir de la pierre: Vol
J'ai tout mangé le chocolat
J'ai tout fumé les Craven A
Et comme t'étais toujours pas là
J'ai tout vidé le Rhum Coca

[Les bêtises - Sabine Paturel]

March riait, parce que vraiment, c'était hilarant, en tout cas dans sa situation de personne malade qui voyait de plus en plus flou. D'ailleurs heureusement qu'il lévitait, parce que sinon ça ferait longtemps qu'il serait tombé. Et je ne pense pas que Ruyard aurait été heureux que March tombe sur lui. Quoique, il lui aurait foutu plus vite une flanqué, même si les corsets c'est embêtant.
D'ailleurs, en parlant de flanquée, et bien, Faust tenta de donner une claque au pauvre March qui voyait trouble, qui n'arrivait pas très bien à détailler tout mais qui avait quand même comprit que le milicien était traversti. D'ailleurs, de le voir dans une situation plutôt drôle, ne fit qu'empirer son rire, qui aurait choqué n'importe qui le connaissant bien. Quoique, Morgan aurait sûrement rigoler aussi. Parce que March qui rit, c'est marrant. Et aussi, c'est aussi rare qu'un Suicune shiney, malheureusement.

- Sale gamin ! Non content en plus de venir me ridiculiser ici, dans mon repaire, tu t'amuses à utiliser ton pouvoir proscrit !

En vérité, étant donné que March riait, qu'en plus de ne pas voir grand chose, et de ne pas tenir debout, il n'entendit pas très bien ce que l'autre dit, ou tout du moins, eut du mal à tout assimiler. Alors, ridiculiser...Repaire....Pouvoir....prostituée...Ah non, proscrit ! Mot trop compliqué et barré du reste de la phrase. Donc ça donne : ridiculiser ici, mon repaire, amuses a pouvoir.
Eh ! Mais ça ne veux absolument rien dire. Ce qui forcément, le faire encore plus rire qu'avant.... Alors qu'en fait la situation est pas très drôle.

J'ai tout démonté tes tableaux
J'ai tout découpé tes rideaux
Tout déchiré tes belles photos
Que tu cachais dans ton bureau

[Les bêtises - Sabine Paturel]

Mais March était encore en état de malade, et ne pouvait ainsi que raconter des bêtises plus grosses que lui, et ce n'est pas difficile. Et dire que quand il ne sera plus malade, il se souviendra de tout ce qu'il aura dit. Oh mon pigeon. La honte !!!
Enfin, tant pis pour lui, il n'avait qu'à pas trainer sous la pluie comme un crétin. Crétin ! Si t'es encore malade après ce post, Morgan va se faire du soucis ! Bon il va aussi rire, mais... Ca c'est une autre histoire.
Peut-être qu'intérieurement, le gamin aux cheveux blancs priait pour ne pas le rencontrer. En fait sûrement. Ou pas, vu dans l'état dans lequel il était.

Ah, et Ruyard ? Et bien, le voilà qui prend une posture féminine, et une voix féminine - de quoi faire s'étrangler de rire, March qui ne s'arrête pas -.

- Dis moi, December, que viens tu faire ici ?

Ah oui, c'est vrai, le chef de la milice ne sait toujours pas que le dit December s'appelle March Windyood. Voilà pourquoi le dit mois de l'année mit du temps à comprendre qu'on lui parlait. Faut croire que sur le coup, il crut que Ruyard parlait au mur et qu'il disait : Dis moi, camenbert, que viens tu traire ici ? ....Donc comme vous pouvez le deviner, March s'était encore plus étranglé de rire. Mon dieu... Mais par chance, il comprit tout de même la vraie phrase, et heureusement.

- Je l'ai déjà dit !

Je fais rien que des bêtises
Des bêtises quand t'es pas là

[Les bêtises - Sabine Paturel]

C'est vrai quoi. Il lui avait déjà dit, dès le moment où il avait vu même. Il était venu pour le voler, et lui avait demander de lui donner son argent, s'il vous plait.
Manque de bol, l'autre n'avait pas du s'en rendre compte pour reposer la question. A cette pensée, March fit une mine boudeuse, malgré son allure de chouté. D'ailleurs, ses pieds se posaient peu à peu sur le sol, sans qu'il ne s'en rende compte, parce que rester trop longtemps à léviter ce n'était pas forcément très bien, même si c'était à un petit centimètre du sol.

- Et pis je m'appelle March Windyood !

Woah, comment se dénoncer avec beautée. Faut dire, qu'il avait prit l'habitude de dire "je m'appelle March" quand Morgan ne cessait de l'appeler December, alors il fallait croire que son inconscient avait repris le dessus. Pauvre, pauvre, March. Maintenant, Ruyard pourra te retrouver quand il veut, où il veut. Dommage pour toi !

J'ai tout renversé les poubelles
J'ai tout pillé ta belle vaisselle
Attends c'est pas tout à fait tout
J'ai aussi dépensé tous tes sous
[Les bêtises - Sabine Paturel]


- Et je suis venu te voler !

Youpi. Maintenant, March, ta réputation de super voleur vient à nouveau de s'envoler en éclat. Merci la maladie ! Je crois, que quand tu seras guéri, tu n'auras plus qu'à te pendre, c'est la seule solution. Paix à ton âme.

- Donne ton argent ! S'il te plait !

Eh ! Il est encore poli en plus ! Franchement, moi je serais morte de rire. Mais là, en fait, je pense plus que Ruyard va croire que l'autre se fout de lui. Bah, tant pis.
Et soudainement, March eut les pieds par terre. Quelques secondes après sa phrase. Conclusion mes amis ? Et bien, il ne put plus tenir en équilibre, et se ramassa sur le chef de la milice sans demander son reste.
Paix à son âme.
Toutes mes condoléances.

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