Victoria's Stone
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March Windyood
The Fondateur ~ Little Cute Bad Boy - Maître de Morgan

Messages : 760
Points : 658
Date d'inscription : 06/04/2010
Age : 29
Emploi/loisirs : San Francisco 2030, des années après le combat des forces du bien contre celle du mal. Peu à peu les êtres maléfiques, démons et êtres des ténèbres se firent de plus en plus discret, si bien que les jeunes générations de sorcières et sorciers pensent que la Source et la triade ne sont que des légendes urbaines. Les attaques de démons sont très rares désormais, quelques furies et démons inférieurs se font encore connaître. Les êtres bénéfiques ignorent une chose, la Triade, un groupe de démon supérieur viennent d'élire une nouvelle Source. A l'abri des regards au fin fond des enfers la Source se prépare au combat. Bien décidé à imposer son règne, il exécutera un rituel résultant en la résurrection du premier hybride mi-sorcier mi-démon, mais aussi la création d'un pouvoir des trois maléfiques. Seulement après tant d'année de paix, les pouvoirs des sorciers et des sorcières se sont affaiblis plus que jamais, la Source saisira sa chance pour lancer une attaque et faire comprendre aux sorcières et sorciers qu'elles ne sont plus en sécurité nulle part. Cette recrudescence forcera les fondateurs à choisir un pouvoir des trois bénéfiques afin de contrecarrer les plans de la source. Et ainsi faire comprendre aux sorcières et sorciers qu'elles ne sont plus en sécurité nulle part. Quand les sorcières rebelles appartenant aux Sarcana, ouvriront un portail pour avoir accès au Tartare, la prison des enfers. Un ancien sort jeté par les fondateurs le Damnatio memoriae, condamnant à l'oubli des sorcières que les fondateurs refusent de reconnaître et d'aider. Les traitant comme des parias. Ils se serviront également du sort pour se cacher de l'Enclave, mais aussi afin de dissimuler l'existence de certains sorciers et des êtres de lumières, se brisa. Cette recrudescence des forces maléfique força les chasseurs d'ombres, également connus sous le nom de Shadowhunters, à affluer à San Francisco et avec eux des tas de nouveaux ennemis et problèmes. En effet parmi eux, se cachent des extrémistes des membres du Cercle attendant patiemment le bon moment pour passer à l'attaque et asseoir la puissance de Valentin Morgenstern.
Humeur : Déchet.

Un peu plus sur toi !
Relations:
Possèdes-tu une pierre ?: Oui :D
Le pouvoir de la pierre: Vol
[Les paroles ne sont pas du tout un jeu de mot, hum.]

Y a un mariolle, il a au moins quatre ans
Y veut t' piquer ta pelle et ton seau
Ta couche culotte avec tes bonbecs dedans
Lolita, défend-toi, fous-y un coup d' râteau dans l' dos

[Morgane de Toi – Renaud]

- Allez ! Suis-moi ! Allez !

Clac. Aie.
…………
Enfin, faut savoir pourquoi aussi. Donc on rembobine en arrière.

- ARRETEZ LE ! VITE !

Et voilà une journée normale pour March Windyood, gamin des rues de 14 ans, qui est assez intelligent pour généralement ne pas se faire prendre, en plus il a un avantage : Il a une pierre pour le faire voler. Donc, comme à son habitude de voleur, il avait chapardé quelques aliments sur un étalage, et malheureusement pour lui, d’habitude on ne le remarquait pas, alors que là, il ne passa pas inaperçu, et on commença à courir après lui. Il n’avait pas d’armes, il ne pouvait pas se défendre, et puis, ce n’était pas de sa faute, il voulait juste survivre par ses propres moyens. Bon, d’accord, peut-être que s’il travaillait on lui en voudrait moins, mais il n’arrivait pas à trouver un boulot qui lui plairait bien, et puis de toute façon, c’était plus facile de voler les autres en faisant l’égoïste plutôt que de se mettre au boulot comme tout le monde.
Et franchement, ramoner les cheminées, ce n’était vraiment pas intéressants, ainsi, il ne voulait pas devenir comme Riri, Fifi et Loulou dans le journal de Mickey quand ils faisaient les Misérables de Victor Hugo. Alors, au lieu d’essayer de travailler, et bien, il se contentait de piller les choses, et ça l’arrangeait.

Sauf qu’il n’avait pas d’armes pour se défendre, alors que j’ai assez de points pour lui en acheter.

Attend un peu avant de t' faire emmerder
Par ces p'tits machos qui pensent qu'à une chose
Jouer au docteur non conventionné
J'y ai joué aussi, je sais de quoi j' cause

[Toujours]

Alors c’est pour cette raison qu’il se faisait poursuivre par des policiers. Parce que forcément, il s’était fait remarqué, et que même s’il se cachait, et bien, ses cheveux blancs n’allaient pas devenir marron, et son béretchapeaucasquette ne pouvait pas les cacher complètement, tant pis pour lui. C’est pour ça que March courrait le plus vite qu’il pouvait, du haut de ses un mètre cinquante, et je pense bien qu’il avait bien du mal, quoique, quand on est voleur, on fait de l’endurance tous les jours !
Les officiers étaient contents eux : Parce qu’ils allaient enfin attraper un de ses saletés de gamins de rues qui les embêtaient vraiment et ils allaient le placer dans une workhouse et ils seraient débarrassés ! Comme dans Oliver Twist ! Enfin je l’ai vu qu’en film et même en vosta alors ça aide pas beaucoup, merci Madame Bole.

Et March, lui, il s’envola.

J' les connais bien les play-boys des bacs à sable
J' draguais leurs mères avant d' connaître la tienne
[Pareil]


Il était toujours sûr de lui de toute façon. Ces imbéciles de policiers allaient lui courir après même si en ce moment il était entrain de voler, et puis lui, il s’en moquera, il volera encore, attendra qu’ils arrêtent leur course inutile qui ne servait à rien parce qu’ils ne l’attrapaient jamais, et puis voilà, il rentrera dans son taudis et tout sera fini. Tout en pensant à cela, il croqua dans la pomme qu’il avait volé, et trouva qu’elle était bonne. Faut dire qu’elle était bien verte, et que les pommes vertes c’était ce qu’il y avait de meilleur !
Seulement, il y avait une chose que March n’avait absolument pas prévue.

Si tu les écoutes y t' feront porter leurs cartables
'Reusement qu' j' suis là, que j' te regarde et que j' t'aime
[Même]


Un de ces cops, ou flics si vous préférez, semblait avoir une pierre. Et cette foutue pierre et bien c’était…. Créations de filets. Génial. C’est ainsi que March devint un animal en chasse, ou alors un pokémon en chasse c’est encore mieux ! Parce que vous voyez, les gens, ils ont des pierres, alors ils ont des pouvoirs ! Comme les pokémons ! Donc les gens avec des pierres c’est des pokémons ! Alors en fait, la milice, eh ben elle est contre les pokémons ! Ou alors Ruyard, il cache la vraie raison de la milice : Il veut tout une collection de pokémons surpuissant pour dominer le monde !
La milice c’est la Team Rocket en fait !
Euh bref…

Tout ça pour dire que March se fit attraper, sans qu’il ne puisse plus résister que d’habitude. Il eut beau à se débattre pour enlever les cordes qui le retenaient, ça ne fit rien, et les policiers l’emmenèrent comme un animal qu’on ramène de la chasse. On le posa sur une chaise, on le coinça entre quatre yeux.

Lola
J' suis qu'un fantôme quand tu vas où j' suis pas
Tu sais ma môme

[Chose]

Et on finit par le frapper, encore une fois. Comme au début du post parce qu’il ne voulait pas avancer. Mais March, il n’avait pas peur. Parce que March, à part avoir peur de l’eau, il a peur de rien. Et il regarda les deux officiers avec un air blasé, les écoutant à moitié, pendant qu’un arrachait son butin de l’autre main, et qu’on lui demandait qui était ses parents et que lui il répondait rien alors…

- Alors ça sera l’orphelinat !

Oliver Twist forever.

Que j' suis Morgane de toi
[Idem Very Happy]
Morgan Ungry

Fidèle toutou de March

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Humeur : Joyeuse... bruyante... collante ♥

Un peu plus sur toi !
Relations:
Possèdes-tu une pierre ?: Oui :D
Le pouvoir de la pierre: Contrôle du tonnerre et de la foudre (Tous aux abris ! XD)
Spoiler:

Everything's nothing without you.
Morgan n’était venu qu’une seule fois jusqu’au poste de police. Quand son père avait été arrêté pour vol, il s’y était rendu. Mais en fait, il n’avait pas pu le voir ; on lui avait dit de se rendre directement à la prison le lendemain. Depuis, Morgan n’était plus passé dans le coin. En même temps, pour un gamin pour qui le vol était un loisir, c’est normal… Aucun voleur des rues ne se serait risqué à se balader tranquillou (si si, l’expression existe, sinon mon frère me saoulerait pas avec 8D) devant pour se faire cueillir par les policiers. Franchement. On se demandait bien ce qu’il faisait planté là, en fait.
Car oui, Morgan était bel et bien planté devant le commissariat de police de Londres, l’air non pas souriant comme on pourrait s’y attendre, mais mitigé. Soit de mauvais souvenirs lui revenaient, soit il était conscient du danger de la situation. Mais comme les mots « conscient » et « Morgan » ne sont pas compatibles, optons pour la première hypothèse. À moins que ce soit tout simplement la raison de sa présence ici qui l’inquiète.

I wait here forever,
just to see you smile.
Comme pour March, un petit retour en arrière s'impose afin de comprendre le pourquoi du comment de l'histoire.

*
C'était une belle journée, il faisait beau, et aujourd'hui Morgan s'était levé de très bonne humeur. Plus que d'habitude, je veux dire. L'inconvénient dans ces cas-là, c'est qu'il était (et vous vous en doutez) encore plus bruyant et démonstratif que d'ordinaire. À croire que ses émotions et ses réactions en étaient quadruplées. L'avantage, c'est qu'il était tellement heureux qu'il voulait que tout le monde le soit, ce qui n'était pas si mal. Ça l'encourageait à faire des B.-A. et, en général, sa joie était communicative. Sauf pour les moins communicatifs, comme le boulanger du coin, mais celui-là était un cas perdu. Bref. Morgan donc, s'était mis en tête de se rendre utile. Il avait ainsi rendu visite au couple qui s'occupait d'une boutique de fleurs et leur avait proposé de travailler pour eux. Gratuitement, qui plus était. Morgan était du genre généreux, mais là c'était rare. Imaginons-le un instant sautillant au milieu d'un champ, avec le chant des oiseaux et les petits lapins roses en arrière-plan. Oui. C'est ça. Vous avez compris son état d'esprit.
Le couple de fleuristes lui avait demandé de faire quelques courses au marché pour eux, ajoutant qu'il pouvait garder la monnaie. Morgan aimait bien faire des courses au marché pour les autres (ou faire des courses au marché tout court, car pour lui il n'en faisait pas vraiment). Ça lui permettait de la ramener devant des marchands qui l'auraient envoyé balader à coups de pied aux fesses en temps normal.

Bonjour monsieur ! fit joyeusement Morgan (le sourire n'est pas en option).
Qu'est-ce que tu veux, sale gosse ?

Le vendeur de potirons le fusillait du regard. Il avait tenté de le voler pas plus tard que le jour précédent. Mais Morgan sortit de l'argent de sa poche et déclara :

J'aimerais votre plus belle courge !
Ce sont des potirons, pas des courges.
C'est pareil. J'voudrais une courge !
...

Le marchand ne semblait pas d'humeur à engager une conversation douteuse avec un gamin non moins douteux. Il empocha l'argent et lui remit la courge, le potiron, enfin bref, le truc qui sert à décorer devant sa porte à Halloween. Ça me fait penser que c'est dans un mois et qu'il faudra pas oublier d'acheter la citrouille et les bonbons. Bref. Là dans l'histoire, ce n'était pas Halloween, mais la dame de la boutique de fleurs avait dit qu'elle voulait faire une soupe de courge, donc voilà. Morgan se trimballait maintenant dans le marché avec un panier plein de légumes et de fruits sous le bras, ainsi qu'une petite courge entre les mains. Il avait l'air encore plus joyeux qu'auparavant (si, c'est possible), tout fier d'avoir mené sa mission à bien. Il imaginait déjà la tête que feraient le couple de fleuristes lorsqu'il leur ramènerait tout ça. Il ignorait bien sûr qu'il ne le saurait jamais. Car au même moment, des personnes le bousculèrent en reculant précipitamment. Morgan trébucha mais réussit à garder intacte la citrouille et le contenu du panier. Il se haussa sur la pointe des pieds pour voir ce qui se passait. Un groupe de policiers poursuivaient quelqu'un. Morgan se fraya un passage dans la foule et passa la tête entre une grosse dame et un couple de vieilles personnes. Il eut tout juste le temps de reconnaître le fugitif, avant que la dame ne tente de l'assommer avec son sac à main.

Morgan s'éloigna en râlant à cause de la douleur, puis continua son chemin. Il ne s'inquiétait pas outre mesure de voir March fuir devant des policiers. Il avait sûrement volé quelque chose, mais cela n'avait rien d'extraordinaire, et surtout il était tout à fait capable de s'en sortir seul, avec ou sans pouvoirs. Si Morgan tentait de l'aider, il ne ferait que le handicaper. Morgan haussa les épaules avec un petit sourire, et reprit la route du magasin de fleurs. C'est là qu'il se fit bousculer pour la deuxième fois. Il se retourna, sourcils haussés, et tomba nez-à-nez avec un gamin d'une dizaine d'années :

Morgaaaan t'a pas vu Maaaarch ? geignit le môme.

March était un peu connu dans le coin, il fallait dire que la couleur de ses cheveux ne passait pas inaperçue. Morgan aussi, mais pas pour les mêmes raisons (sauf si vous imputez cela à sa blondeur) ; surtout à cause de sa stupidité légendaire en fait.

Quoi ? fit Morgan en mâchant un bout de réglisse.

Il l'avait acheté avec l'argent qu'il lui restait. Le gamin face à lui sautillait littéralement sur place :

March y s'est fait prendre par la police !
QUOI !? répéta-t-il, mais en criant cette fois.

Le gamin sursauta.

Euh, ouais ! Comme j'te dis ! Un des policiers avait une pierre qui a fait apparaître un filet !!

Et là, le choc. Comme Armageddon mais en plus violent. March ne pouvait pas se faire attraper. March ne s'était jamais fait attrapé. March était intouchable. March s'en sortait toujours. Morgan, dont les réactions étaient, rappelons-le, deux fois plus exagérées ce jour-là, se mit à courir dans tous les sens, renversant le panier et la courge :

Aaaaargh December s'est fait attraper, December s'est fait attraper, December s'est fait... TOI !

Le gosse sursauta une nouvelle fois.

Ramène tout ça aux fleuristes sur Regent Street, tu pourras garder le réglisse !

Et il détala en courant.

Les flics sont plus ce qu'ils étaient, commenta le môme en ramassant le réglisse.

*
Morgan était donc planté devant le poste de police. La journée lui paraissait tout de suite nettement moins ensoleillée. Il était planté devant ce bâtiment, et sans savoir quoi faire. Il était venu sans réfléchir, sans se dire que peut-être March n'avait pas besoin de lui car il était plus intelligent que lui, sans même penser qu'il pouvait s'attirer des ennuis aussi, bref... Comme d'habitude, le blondinet n'avait aucun plan, il n'avait pas réfléchi. Mais il ne pouvait tout simplement pas laisser March dans cet endroit. Même s'il était peut-être en train de gérer la situation sans lui, même s'il ne faisait que lui attirer plus d'ennuis, il y avait tout de même la possibilité qu'il soit en mauvaise posture, et ça Morgan ne pouvait pas le supporter. Évidemment, il n'était pas le mieux placé pour le tirer de ce mauvais pas, Lucy aurait sûrement eu un plan, elle. Mais Lucy n'était pas là et Morgan n'avait pas le temps d'aller la chercher. Il se sentait un peu comme Superman devait se sentir lorsque Loïs Lane se faisait enlever par un extraterrestre venu se venger du Kryptonien. Sauf que Morgan ne portait pas de slip rouge sur collants bleus, encore moins de cape et qu'il n'avait pas de super-pouvoirs... sauf sa pierre et sa stupidité navrante. C'était bête d'être stupide, et surtout c'était bête de le savoir sans pouvoir rien y changer. C'était frustrant. Mais ça ne changeait rien à la situation. Morgan restait le seul à pouvoir agir, et avec ou sans intelligence, c'était le moment d'avoir une idée brillante.

Plus facile à dire qu'à faire, évidemment. Mais il essayait. Vous ne pouvez même pas imaginer combien il était concentré, là tout de suite, pour que les rouages de son cerveau tournent, jusqu'au déclic. Que ferait March à sa place ? Qu'aurait fait Seth à sa place ? Il ne l'aurait pas laissé dans cette situation. Parce que c'était son frère, son grand frère... Son grand frère. Morgan ouvrit les yeux et releva la tête. C'est bon, il savait.

Il poussa la porte et entra en trombes dans le commissariat. Cinq minutes passèrent. Morgan était en grande conversation avec un secrétaire et deux policiers. Cinq autres minutes passèrent encore. Puis on frappa à la porte de la salle dans laquelle March était interrogé. Un tout jeune policier entra :

Pardon monsieur, mais le frère de ce garçon est arrivé. Il dit qu'il doit vous parler.

Le policier attendait la réponse de son supérieur. Mais pas Morgan. Il poussa le jeune officier contre le mur pour passer et pointa un doigt accusateur sur le garçon assit sur la chaise, à savoir March :

Pauvre abruti, alors c'est comme ça que tu te comportes quand on te laisse seul ?

Oui. C'est bien Morgan qui a parlé, là, et en plus il a l'air vraiment fâché. Même contre les types qui brutalisaient March près du Centre pour les plus démunis, il n'avait pas l'air aussi furax.

Vous n'avez pas le droit d'entrer ic..., commença un policier, mais Morgan n'écoutait pas :
Même pas fichu de se montrer un minimum responsable ? Non mais je rêve, depuis quand tu vole les gens comme ça ? Tu vas en entendre parler, crois-moi !! Je te dis pas comment ça va être ta fête à la maison, si papa l'apprend tu vas passer un sale quart d'heure, et moi aussi en prime ! Je te dis pas merci, idiot !!

Il ressemblait presque à March en disant cela, sauf que March le disait généralement d'un air blasé. Les policiers semblaient douter de ses paroles, comme s'il était inconcevable que ce blond aux yeux bleus soit le frère du gamin aux cheveux blancs, surtout que ce dernier avait affirmé ne pas avoir de parents. Morgan leur jeta un regard noir, comme pour les dissuader de remettre en cause ses paroles. Puis il croisa les bras et fixa March d'un air sévère.

Morgan était bien sûr incapable de regarder sévèrement quelqu'un, et même de s'énerver contre quelqu'un, surtout un ami. Même s'il jouait la comédie, bien sûr. En temps normal, il n'aurait pas réussi. Mais l'ami en question était en danger (enfin de son point de vue) et ce genre de situations vous rend parfois capable de choses dont vous-même vous sentiez incapables. C'est dire à quel point Morgan tenait à March.

'Cause it's true,
I am nothing without you.
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March Windyood
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Emploi/loisirs : San Francisco 2030, des années après le combat des forces du bien contre celle du mal. Peu à peu les êtres maléfiques, démons et êtres des ténèbres se firent de plus en plus discret, si bien que les jeunes générations de sorcières et sorciers pensent que la Source et la triade ne sont que des légendes urbaines. Les attaques de démons sont très rares désormais, quelques furies et démons inférieurs se font encore connaître. Les êtres bénéfiques ignorent une chose, la Triade, un groupe de démon supérieur viennent d'élire une nouvelle Source. A l'abri des regards au fin fond des enfers la Source se prépare au combat. Bien décidé à imposer son règne, il exécutera un rituel résultant en la résurrection du premier hybride mi-sorcier mi-démon, mais aussi la création d'un pouvoir des trois maléfiques. Seulement après tant d'année de paix, les pouvoirs des sorciers et des sorcières se sont affaiblis plus que jamais, la Source saisira sa chance pour lancer une attaque et faire comprendre aux sorcières et sorciers qu'elles ne sont plus en sécurité nulle part. Cette recrudescence forcera les fondateurs à choisir un pouvoir des trois bénéfiques afin de contrecarrer les plans de la source. Et ainsi faire comprendre aux sorcières et sorciers qu'elles ne sont plus en sécurité nulle part. Quand les sorcières rebelles appartenant aux Sarcana, ouvriront un portail pour avoir accès au Tartare, la prison des enfers. Un ancien sort jeté par les fondateurs le Damnatio memoriae, condamnant à l'oubli des sorcières que les fondateurs refusent de reconnaître et d'aider. Les traitant comme des parias. Ils se serviront également du sort pour se cacher de l'Enclave, mais aussi afin de dissimuler l'existence de certains sorciers et des êtres de lumières, se brisa. Cette recrudescence des forces maléfique força les chasseurs d'ombres, également connus sous le nom de Shadowhunters, à affluer à San Francisco et avec eux des tas de nouveaux ennemis et problèmes. En effet parmi eux, se cachent des extrémistes des membres du Cercle attendant patiemment le bon moment pour passer à l'attaque et asseoir la puissance de Valentin Morgenstern.
Humeur : Déchet.

Un peu plus sur toi !
Relations:
Possèdes-tu une pierre ?: Oui :D
Le pouvoir de la pierre: Vol
Qu'est-ce qu' tu m' racontes tu veux un p'tit frangin
Tu veux qu' j' t'achète un ami Pierrot
Eh les bébés ça s' trouve pas dans les magasins
Puis j' crois pas que ta mère voudra qu' j' lui fasse un p'tit dans l' dos

[Morgane de Toi – Renaud]

─ Pauvre abruti, alors c'est comme ça que tu te comportes quand on te laisse seul ?

J’aurais été March, j’aurais ouvert grand les yeux et j’aurais hurlé : « oh my god ! », mais, heureusement pour tout le monde, je ne suis pas March.
Lui, il se contenta de regarder Morgan. Parce que c’était bien Morgan qui venait d’arrivé et qui le regardait comme ça, avec un air mécontent. Tiens, il était bourré et avait changé de caractère ? Ou alors, il était comme March, quand il tombait malade, il changeait de caractère. Les policiers ne semblaient pas être contents que soudainement quelqu’un débarque pour parler comme ça au gamin qu’ils avaient chopé. Surtout, que celui-ci ne s’arrêta pas là et continua de parler :

─ Même pas fichu de se montrer un minimum responsable ? Non mais je rêve, depuis quand tu vole les gens comme ça ? Tu vas en entendre parler, crois-moi !! Je te dis pas comment ça va être ta fête à la maison, si papa l'apprend tu vas passer un sale quart d'heure, et moi aussi en prime ! Je te dis pas merci, idiot !!

Il jouait la comédie. Et March en était le premier surpris, même si ça ne se voyait pas, parce qu’il savait qu’à son tour il devait jouer la comédie. Voilà pourquoi il fit un soupir, regarda son blond avec un regard qui voulait dire « cause toujours j’m’en fous » et eut un bâillement simulé. Les policiers ne comprenaient pas tout, parce que forcément, ils comptaient mettre le gosse aux cheveux blancs à l’orphelinat, mais maintenant il se trouvait qu’en fait il avait un frangin. A ne rien y comprendre !

- Je m’en moque. Je vole si je veux, d’abord. Et puis, papa me réprimande toujours, alors à force, j’en ai plus rien à faire.

Puis il fixa son « frère » qui n’était pas son frère en plus :

- Et si c’est pour me disputer que t’es venu ici, tu peux retourner chez nous, grand frère.

Les policiers n’y comprenaient plus rien. Faut dire que… Ils croyaient vraiment que March était orphelin, et là il semblait que non.

Ben quoi Lola on est pas bien ensemble
Tu crois pas qu'on est déjà bien assez nombreux
T'entends pas c' bruit, c'est le monde qui tremble
Sous les cris des enfants qui sont malheureux

[Toujours]

- Ce n’est pas ça le problème !

Le policier qui voulait faire du pauvre March, un Oliver Twist venait d’intervenir. C’est vrai quoi, on s’en fout qu’ils soient frères ou pas. March avait commit un crime, et il fallait bien que quelqu’un le punisse quand même un peu, parce que le vol c’était mal, même si c’était pour survivre.

- Même si vous êtes son frère, ce gosse à volé et doit être puni

Et nyanyanya. Raaaah, mais la ferme. Encore, s’il avait violé ou tué quelqu’un, j’aurais dit « d’accord » mais là… Enfin enfin, à toi Morgan, parce que là, je sais plus quoi faire, et pis March y se contente de regarder l’autre avec un air blasé alors….

Allez viens avec moi, j' t'embarque dans ma galère
Dans mon arche y a d' la place pour tous les marmots
Avant qu' ce monde devienne un grand cimetière
Faut profiter un peu du vent qu'on a dans l' dos

Lola
J' suis qu'un fantôme quand tu vas où j' suis pas
Tu sais ma môme
Que j' suis morgane de toi

[Pareil]
Morgan Ungry

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Un peu plus sur toi !
Relations:
Possèdes-tu une pierre ?: Oui :D
Le pouvoir de la pierre: Contrôle du tonnerre et de la foudre (Tous aux abris ! XD)
Extérieurement, Morgan devait ressembler à ça : un adolescent furax qui avait appris que son petit frère avait joué les voleurs et qui était venu le chercher pour le ramener de gré ou de force à la maison, tout en sachant que la faute retomberait sur lui. Il avait laissé répondre son frère mais avait croisé les bras, signe qu'il était sur la défensive, et tout dans son attitude laissait imaginer à quel point il était furieux, depuis le plissement de ses yeux jusqu'aux muscles contractés de sa mâchoire. Intérieurement, Morgan ressemblait à ça : un adolescent mort d'inquiétude qui avait appris que son ami-maître-dieu habituellement intouchable s'était fait prendre par la police et qui était venu le chercher sans aucun plan en tête, mais bien décidé à l'enlever du commissariat, de gré ou de force. Comme un super-héros, oui. Mais évidemment, quiconque ne lisait pas dans les pensées ne pouvait pas deviner que Morgan croisait les bras pour ne pas se jeter sur March et lui faire un gros câlin, de même qu'il serrait la mâchoire pour s'empêcher de chialer : « pardooooon Decembeeeeer je voulais pas te crier dessuuuuuuuuus ». Mouais. Si vous n'avez jamais vu chialer Morgan, sachez que c'est violent.

Thoughts read unspoken forever and now
The pieces of memories fall to the ground
Je me fiche que tu en aies quelque chose à faire ou pas ! Si tu crois que tu vas t’en tirer comme ça… ! cria le grand frère.

… tandis qu’intérieurement, le blond hurlait : « pardon pardon pardon pardooooon ! ». Si vous connaissez Ritsu dans Fruits Baskets, alors vous voyez à peu près ce que ça donne. Si Morgan n’avait pas été sur-concentré pour tenir son rôle – jamais il n’avait été aussi concentré de toute sa vie, d’ailleurs – il se serait sûrement impressionné lui-même. Mais il se forçait à garder les sourcils froncés pour faire bonne figure. Il s’en voulait surtout pour toutes ces choses qu’il disait à March alors qu’il ne les pensait pas. Le pire pour lui était qu’il ne faisait aucun effort particulier pour sortir tout ce qui lui passait par la tête. Il disait un peu n’importe quoi en fait, mais parvenait à utiliser des mots qui ne faisaient pas partie de son vocabulaire habituel. Comme « se comporter », « responsable », « abruti » ou « idiot ». C’était peut-être des mots qu’il avait emmagasiné à force de les entendre de la bouche d’autres personnes, toujours était-il qu’il parvenait à les dire sans effort et que c’était ce qui le faisait culpabiliser plus que tout. Heureusement, March avait tout de suite compris qu’il jouait la comédie, et il jouait le jeu lui aussi. Morgan priait intérieurement pour qu’il ne lui en veuille pas. Il détestait crier sur les gens, mais alors sur ses amis c’était pire que tout. Heureusement qu’il se retenait, parce qu’il était capable de faire hara-kiri sur-le-champ. Même s’il savait que March savait qu’il jouait la comédie, c’était très dur pour lui. Il se fichait que March le traite d’idiot, mais quand les rôles s’inversaient ça devenait tout de suite plus compliqué. March le traitait peut-être d’idiot, le trouvait bruyant et collant, mais March faisait partie des deux personnes au monde qui supportaient assez le blond pour vivre à ses côtés. Beaucoup de gens l’auraient envoyé balader comme on envoie balader un chien avec un coup de pied aux fesses, et ce depuis longtemps. Mais Morgan savait qu’au fond, les insultes et les coups que lui donnaient March n’étaient pas méchants, et c’est pour ça qu’il revenait toujours vers lui, comme un chien qui revient vers son maître après que celui-ci l’air battu. Morgan était peut-être maso, on en sait rien en fait, toujours est-il que pour lui, tout ça n’avait aucune importance et n’interférait en rien avec le lien qu’il entretenait avec March. Morgan avait l’habitude d’exprimer son affection en se montrant bruyant, collant et agaçant, tout le contraire de March qui était calme, posé, blasé… Avec des caractères aussi opposés, il ne fallait pas s’étonner qu’ils expriment leurs sentiments de manière radicalement différente. Morgan le savait et c’était sûrement pour cela qu’il se fichait bien de ce que March pouvait dire sur lui, parce qu’il savait qu’au fond il l’aimait bien. Sans quoi Morgan ne serait pas ici.

All the streets where I walked alone
With nowhere to go have come to an end
Ce n’est pas ça le problème ! Même si vous êtes son frère, ce gosse a volé et doit être puni, s’interposa le policier.

Morgan le fusilla du regard – pour le coup, ce n’était pas tellement de la comédie, mais il avait besoin d’évacuer son stress et son malaise. Il mit un moment avant de répondre, parce qu’il fallait quand même qu’il trouve quelque chose à dire avant de rétorquer n’importe quoi. Sinon on allait l’enfermer aussi, mais pas à l’orphelinat, plutôt dans un hôpital avec des gentils docteurs en blouse blanche… Il pointa le doigt sur March, mais sans le regarder – c’était déjà assez dur comme ça – et s’adressa au policier qui avait parlé :

Qu’est-ce qu’il a volé ? demanda-t-il sur un ton sévère.
Euh… une pomme, répondit le plus jeune officier.
Une POMME ?! Toute cette histoire pour une pauvre pomme ?

Un instant, il semblait sur le point de crier sur les policiers, mais il se rappela qu’il devait avoir l’air d’être de leur côté plutôt que du côté de March, et se tourna vers son « frère » :

Tu te rends compte des ennuis que tu nous attires, à papa et à moi, rien que pour une pomme ? Non mais t’es débile ou quoi ? Tu veux savoir ce qui va se passer, hein ?

Il se tourna vite fait vers le policier, pour ne pas avoir à soutenir plus longtemps le regard (blasé) de March :

Vous voulez savoir ce qui va se passer ?
Euh…
Il va en prendre pour son grade, voilà ce qui va se passer ! Mon père va lui filer une taloche, et à moi aussi par la même occasion, ensuite il sera privé de dîner et il le fera travailler un peu pour qu’il apprenne ce que ça fait de bosser pour gagner sa croûte, ce petit flemmard ! Et ensuite, s’il est sage, il aura peut-être le droit de manger.

Ce faisant, Morgan énumérait les punitions les plus extrêmes à ses yeux. Battu, exploité et affamé – le point le plus grave aux yeux du blond, évidemment – c’était assez pour ces messieurs ? Il croisa à nouveaux les bras et attendit leur réaction, achevant simplement par un :

Vous avez une meilleure idée ?

I want you to know with everything, I won't let this go
These words are my heart and soul
I'll hold on to this moment you know
As I bleed my heart out to show and I won't let go

Spoiler:
March Windyood
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Emploi/loisirs : San Francisco 2030, des années après le combat des forces du bien contre celle du mal. Peu à peu les êtres maléfiques, démons et êtres des ténèbres se firent de plus en plus discret, si bien que les jeunes générations de sorcières et sorciers pensent que la Source et la triade ne sont que des légendes urbaines. Les attaques de démons sont très rares désormais, quelques furies et démons inférieurs se font encore connaître. Les êtres bénéfiques ignorent une chose, la Triade, un groupe de démon supérieur viennent d'élire une nouvelle Source. A l'abri des regards au fin fond des enfers la Source se prépare au combat. Bien décidé à imposer son règne, il exécutera un rituel résultant en la résurrection du premier hybride mi-sorcier mi-démon, mais aussi la création d'un pouvoir des trois maléfiques. Seulement après tant d'année de paix, les pouvoirs des sorciers et des sorcières se sont affaiblis plus que jamais, la Source saisira sa chance pour lancer une attaque et faire comprendre aux sorcières et sorciers qu'elles ne sont plus en sécurité nulle part. Cette recrudescence forcera les fondateurs à choisir un pouvoir des trois bénéfiques afin de contrecarrer les plans de la source. Et ainsi faire comprendre aux sorcières et sorciers qu'elles ne sont plus en sécurité nulle part. Quand les sorcières rebelles appartenant aux Sarcana, ouvriront un portail pour avoir accès au Tartare, la prison des enfers. Un ancien sort jeté par les fondateurs le Damnatio memoriae, condamnant à l'oubli des sorcières que les fondateurs refusent de reconnaître et d'aider. Les traitant comme des parias. Ils se serviront également du sort pour se cacher de l'Enclave, mais aussi afin de dissimuler l'existence de certains sorciers et des êtres de lumières, se brisa. Cette recrudescence des forces maléfique força les chasseurs d'ombres, également connus sous le nom de Shadowhunters, à affluer à San Francisco et avec eux des tas de nouveaux ennemis et problèmes. En effet parmi eux, se cachent des extrémistes des membres du Cercle attendant patiemment le bon moment pour passer à l'attaque et asseoir la puissance de Valentin Morgenstern.
Humeur : Déchet.

Un peu plus sur toi !
Relations:
Possèdes-tu une pierre ?: Oui :D
Le pouvoir de la pierre: Vol
[Que celui qui dise : "Ah marre de Renaud" aille se pendre]

Marche près de moi
Va pas t'éloigner
Attention, Lola
Les rues sont piégés

[C'est pas du pipeau - Renaud]

March restait assis tranquillement sur sa chaise, les poignets liés, ce que j'ai oublié de préciser, et encore, ils avaient même parler de le lier lui même parce que comme il vole, il pouvait s'envoler quand il voulait... Enfin, là ça lui venait pas en tête en fait. Parce que là, Morgan avait son caractère et c'était un peu perturbant, même pour March. Surtout que c'est mon défi de faire changer le caractère de mon personnage, d'abord ! Bon, ok j'suis entrain de le faire avec Ruyard là mais...
Bon zut, où j'en étais ? Ah oui. donc March restait assis sur sa chaise. Sans bouger. Parce que c'était March, que ce n'était pas une pile électrique, et que franchement, il s'en foutait des policiers. Complètely !

─ Qu’est-ce qu’il a volé ?
─ Euh… une pomme.
─ Une POMME ?! Toute cette histoire pour une pauvre pomme ?

Et bien oui, tout ça pour une petite pomme de rien du tout. Bon aussi parce qu'il avait commit beaucoup de vols avant, mais ça, ce n'est qu'un détail...

Tâche, ma colombe
De pas mettre un pied
Sur les ligne sombres
Entre les pavés
[Toujours]


─ Tu te rends compte des ennuis que tu nous attires, à papa et à moi, rien que pour une pomme ? Non mais t’es débile ou quoi ? Tu veux savoir ce qui va se passer, hein ?

Et bien, en théorie Morgan, si tu sors March de ce pétrin, March te fera un petit bisou en te disant je t'aime et vous finirez main dans la main sous un coucher de soleil.
Euh, en fait ça c'est dans ma tête. Donc je reprends, oui donc, March te tapera pas la tête comme il le fait d'habitude, te remerciera une nouvelle fois, et te fera éventuellement un sourire, ça j'en sais rien, tout dépend de comment s'améliore la situation en fait. Et puis, d'abord, March il est pas débile, il est plus intelligent que toi !
Enfin d'ailleurs, notre December est comme je l'ai dit, quand même un peu surpris que Morgan arrive à tenir autant sans craquer, et rigoler pour rien ou raconter une grosse ânerie. Il progresse le petit.
Et toi, Marchou, tu progresses ? Non ? Ah bon. Dommage. Tant pis. Pfff... Je sais même pas si ce post se passe avant ou après celui de Tyna Lou et j'ai la flemme de chercher ! Alors on va dire avant, parce que je suis le roi des mondes !

─ Vous voulez savoir ce qui va se passer ?
─ Euh…

En fait, March y s'en fout de ce qui va se passer !! Parce qu'il a peur de rien ! Qu'il est trop bien mon personnage ! qui est l'un de mes seuls seme d'ailleurs.... Enfin bref. Apparemment le policier semble un peu perturbé par cette question perturbante. comment ça je me répète ? Pas du tout !

Sinon c'est l'enfer
Archi assuré
Sinon c'est galère
Pour l'éternité

[Même]

─ Il va en prendre pour son grade, voilà ce qui va se passer ! Mon père va lui filer une taloche, et à moi aussi par la même occasion, ensuite il sera privé de dîner et il le fera travailler un peu pour qu’il apprenne ce que ça fait de bosser pour gagner sa croûte, ce petit flemmard ! Et ensuite, s’il est sage, il aura peut-être le droit de manger.

Si Gokû avait été là il aurait peut-être dit flippant. alors je le dit à sa place : Flippant. Surtout que pas manger, ça doit être trop horrible, parce que manger c'est la chose la plus mieux en ce monde avant faire dodo - dit celle qui ne dors jamais - !! En fait, comme Morgan doit penser comme moi, sûrement pour ça qu'il a dit ça. Et puis, March ben, ça lui ferait du bien de travailler quand même, parce que je sais pas, mais y bosse jamais ! Voler c'est pas un métier ! D'abord !
Quoique.

─ Vous avez une meilleure idée ?

Moi j'en ai une ! L'attacher sur une chaise, et remplir peu a peu la salle d'eau ! ça lui fera tellement peur qu'il se mettera à pleurer comme un pauvre petit. enfin non, il pleurera pas, il fera juste une crise de panique, c'est encore pire. Rah, Marchou, pourquoi t'as peur de l'eau ?
en tout cas, les policiers regardaient Morgan avec des gros yeux, et regardaient aussi March. Bon maintenant, ils devaient dire quoi hein ? Le type qui interrogeait March, et qui lui avait dit qu'il devait aller en orphelinat, sembla se ressaisir et dit :

- Oui, l'enfermer en prison.

Moi j'aurais eut des frissons.
March il s'en moque. Il à peur de rien, je l'ai déjà dit. Alors de toute façon. Et puis, la prison ça doit pas pire que vivre dans les taudis. March n'intervint pas, en fait il s'en moquait.

C'est pas des histoires
C'est pas du pipeau
Fais gaffe à l'abîme
Près du caniveau

[C'est pas du pipeau - Renaud][/i]

- Tiens, maintenant ce n'est plus l'orphelinat, c'est la prison ? Vous avez changé de registre ?

Oh mon dieu, quel petit insolent. Allez, une petite claque ! Mais le policier allait lui en donner une quand...

- Et puis, de toute façon, papa ne me fais pas peur. S'il me fait travailler, qu'il le fasse, j'en ai rien à faire.

En fait t'en as rien à faire de toi !

- Et vous savez, je suis kleptomane. Mais ça, mon grand frère et mon père qui ne m'écoutent jamais, ne le savent pas. N'est ce pas, grand frère.

Ah ouais. Ouais, c'est une bonne excuse aussi. Et pour ceux qui veulent dire : "ça existe pas au XIXème", je viens de vérifier, sur google s'est écrit que la kleptomanie est vraiment découverte au XIXème siècle, alors chut.
Et March, tout en disant sa phrase, jeta un regard froid accompagné d'un sourire narquois à Morgan.
Morgan Ungry

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Spoiler:

Ah oui, c’est vrai. C’est March qui doit changer de caractère, pas Morgan. Mais c’est pas grave en fait, puisque Morgan, il ne change pas vraiment de caractère. Il joue la comédie, et il le fait plutôt bien parce qu’il est mort de trouille pour March, ce qui est une motivation suffisante pour ne pas perdre sa concentration. Comme je l’ai dit plus haut, des sentiments comme la peur ou la colère vous font parfois faire des choses étonnantes, dont vous vous seriez sentis incapables en temps normal. Dans ma ville on a même une espèce de légende là-dessus, mais je vais pas la raconter maintenant. Pour l’instant ce qu’il faut savoir, c’est que Morgan a beau jouer la comédie, au fond c’est toujours Morgan. Il a pas changé de caractère, parce qu’intérieurement il réfléchit toujours comme Morgan. Morgan est toujours Morgan à l’intérieur, même si extérieurement il doit jouer au grand frère méchant. La preuve en image ? Ok, servez-vous du pop-corn, et installez-vous. C'est pas très long, mais pour une fois les dialogues de Morgan sont importants. Si, si c'est possible.

{}
Pardon.

Ce regard froid, ce sourire narquois que March lui adressait...

Pardon.

J'viens te chercher le soir dans les commissariats (xD)
Tu chantes comme une baignoire et tu sens la vodka
Soirée entre copines ou virée de mat'lots
Ne change que la comptine les mecs tous des salauds.
Morgan marcha droit sur March et l’attrapa par le col. March avait les mains dans le dos, attachées. Mais même le contraire n’aurait pas arrêté le blond.

─ Tu te crois malin ? C’est ça, ton excuse ? Tu veux aller en prison pour ÇA ?

Morgan ne parlait plus d’un ton agacé, Morgan ne croisait plus les bras… Morgan criait et secouait March dans tous les sens. Morgan ne pensait plus… Morgan ne jouait plus.

─ Quand est-ce que tu vas te réveiller, bon sang ? À quoi ça t’avance, de te ficher de tout ? TU CROIS QUE ÇA SE RÉSUME À ÇA, LA VIE ?

Ou bien si ?

Pardonnez mes doutes. Morgan est effectivement très inspiré et tellement à fond dans son rôle qu’on pourrait croire qu’il est sincère, mais ces choses qu’il dit, ce genre de réflexions, n’est-ce pas au-delà de ses capacités ? N’est-il pas incapable d’analyser la situation et, surtout, est-il capable d’en faire le reproche à March alors que lui-même se cache tellement, tellement de choses ? Alors que lui-même semble heureux de son ignorance, allant jusqu’à ignorer certaines choses volontairement, sciemment ? Comme la mort de son père. Ah, parlons-en ! Son père qui lui a écrit une lettre, pour lui dire qu’il ne pourrait plus le voir, car on le déplaçait dans un autre secteur de la prison… son père qui lui a assuré que tout allait bien. Son père qu’il n’a plus revu depuis près de dix ans. Son père dont il réfute la mort et affirme l’existence, s’appuyant sur cette lettre qu’il lui a écrit… cette lettre qui ne peut pas mentir… puisqu'elle est de lui. Cette lettre qu’il garde toujours sur lui. Même là, dans ce commissariat, elle est là, cette lettre. Cette lettre qui essaye de lui faire comprendre qu’il a tort de croire encore, que c’est fini… Cette lettre à laquelle Morgan ne veut donner que la signification qu’il souhaite. Cette lettre où il ne veut lire que ce qu’il veut entendre. Papa va revenir. Tu n’es pas tout seul. Papa est là. Tu n’es pas seul.

Puis je te déshabille dans notre lit, chez nous
Je pose mes béquilles souv'nir de ton genou
Dans les bras de Morphée tu dors tout en douceur
Dans mon bras, la morphine atténue la douleur.
Non, Morgan, tu n’es pas seul. Tu le sais. Et c’est peut-être pour cela que tu t’acharnes autant dans ce rôle de grand frère. Pas pour ce qu’il signifie vis-à-vis de March ou des policiers, mais pour ce que tu peux exprimer au travers, peut-être sans t’en rendre compte en fait. Car peut-être n’es-tu, en effet, pas assez intelligent pour comprendre toutes ces choses et les lâcher à la figure de ton ami, peut-être est-ce juste inconsciemment que tu changes le sens des paroles de March pour leur donner celui que tu veux… encore une fois.

Pardon.


─ Tu te fous de tout, c’est ça ? Même de moi ?

Sa voix se brisa. Il avait cessé de secouer March. Il ne l’avait pas secoué bien fort, en fait. Cela n’avait rien à voir avec ce qu’il avait fait subir à l’inconscient qui s’en était pris à son ami près du Centre pour les plus démunis. Il était incapable de faire réellement du mal à March. Même le frapper comme lui le faisait avec lui, même une toute petite tape, il en était incapable. C’était son ami. Et encore, le mot était faible. Il était incapable de lui faire du mal. Il avait cessé de le secouer, mais il était toujours accroché à lui. Morgan ne pleurait pas, non. Il était bien trop tendu pour ça. S’il avait relâché son étreinte sur March, alors oui, peut-être aurait-il pleuré. Mais pour l’heure, il était immobile, comme dans l’attente de quelque chose. Est-ce que cela devait venir de March ? Ou de lui ?

Pardon, March.

Ce regard froid, ce sourire narquois que March lui avait adressé... c'était plus qu'il ne pouvait en supporter.

Pardon, March. Ne me regarde pas comme ça, March. Même si c'est pour de faux. Pardon, March. Ne me déteste pas, March. Moi je t'aime, March. Ne me laisse pas seul, March. Restes près de moi, March. Et, s'il te plaît, ne l'écris pas sur un fichu bout de papier mais dis-le, dis-le, que je puisse te croire.

Voilà ce que disait le regard de Morgan, la seule chose qui aurait peut-être pu convaincre les policiers sceptiques que le gamin blond ne jouait plus la comédie. Mais ils se trouvaient dans son dos et, à leurs yeux, le « grand frère » faisait juste la morale à son cadet.

J'suis comme un chien mouillé
Qui peut s'prendre tous les coups
Les plus belles dérouillées
Et suivre son maître partout
Regarde ces hématomes
Tu vois, j't'ai dans la peau
Et ce mercurochrome
Dessine ton drapeau.
March Windyood
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[Bon, j'avais que ça comme paroles qui allait bien, hein >< !!
Et je croyais que t'étais lente aux rps ? ]

Peut-être que Morgan ne jouait pas la comédie sur le coup. Peut-être que son inconscient disait la vérité. Après tout, ça faisait beaucoup de bien à March de s'en prendre plein la figure. Au moins ça lui ouvrait les yeux.

( Rien à perdre rien à cirer)
Prends ton temps

[Regarde - Kinito]

Peut-être que ça l'étonnait juste, que ce blond stupide, qu'il frappait à longueur de journée sois soudainement sérieux. Soit aussi bien. Comment un idiot pareil pouvait jouer autant la comédie sans s'arrêter ? March ne comprenait pas bien, et à la fois il savait pourquoi. oui, il connaissait la raison mais jamais il ne voudrait l'admettre. Parce que lui aussi il était capable de tout pour son blond.
Alors que Morgan le prenne par le col, ça le surprit à moitié. Et puis, il ne devait pas être surpris, il devait s'en taper. comme il s'en tape de tout. Demander lui s'il préfère les chaussettes rouges ou noir, il dira qu'il s'en moque. Comme Yuki voilà pourquoi, March se contenta de continuer de regarder Morgan en souriant. Oh, grand frère, tu crois me faire peur ? Tu te trompes !

─ Quand est-ce que tu vas te réveiller, bon sang ?

Se réveiller. Ah, quel terme si bien. Allez March. Ouvre les yeux. Vit. VIT ! VIT ! Comme dans un autre monde sauf que là c'est danse.

( Rien à foutre rien à glander )
Dis pas non

[Regarde - Kinito]

Il n'ouvrira pas les yeux, parce que pour l'instant, il vit juste pour une vengeance qui lui bousille la santé pire que la cigarette. Parce que cette pomme il l'a volé pour survivre pour se venger. Mais s'il tue son oncle et sa tante, ça ne lui servira à rien, sauf que pour l'instant, il n'a toujours pas pris conscience de ça, alors parlons d'autre chose. Ecoutons Morgan qui lui fait la morale.
A quoi se résume la vie ?
Question philosophique, n'est-il pas ? Mais March ne cilla pas. La vie. La vie. Ce n'est qu'un concept, auquel on ne met pas d'article en anglais.

─ Tu te fous de tout, c’est ça ? Même de moi ?

March élargit son sourire. Même si au fond de lui, il sait parfaitement que quelqu'un lui dit : "non c'est pas vrai". Il ne s'en fout pas de Morgan.
Sinon il ne trainerait pas avec lui.
Sinon il ne le frapperait pas.
Sinon il ne l'insulterait pas.
S'il s'en foutait de Morgan, il se contenterait de l'ignorer, et d'être réellement froid avec lui. Ce qui n'était pas le cas là. Preuve qu'il ne s'en foutait pas de Morgan. Et même March en avait conscience. Le savait. L'assumait juste à moitié.

Morgan je t'aime.
Une voix lui disait ça.

On s'embrouille on se débrouille
Parfois même je peux le dire
Tu m' casses les ... bref...

[Regarde - Kinito]

March voyait bien le regard que personne d'autre ne pouvait pas voir. Il avait envie de lui frapper la tête, de lui dire idiot, de lui dire : "allez on s'en va". Mais il ne pouvait pas, et peut-être que ça le frustrait un peu. Peut-être qu'il ne s'en fichait pas tant que ça.
Parce qu'il n'aimait pas quand Morgan le regardait comme ça. Alors il eut un soupir. Il devait jouer la comédie. Il ne fallait pas qu'il défaille, sinon tout serait perdu.
Amour ou pas.

- Blablabla.

Ton glacial. Peut-être que ça lui faisait mal à lui aussi.

- Oui, je m'en fous de toi.

Mais ses yeux disaient le contraire.

- Déjà, je ne sais même pas pourquoi t'es venu.

Reste.

- T'es venu me sortir d'ici, ou me casser les oreilles ?

Sors moi de là.

Peut-être que ce n'était pas tout à fait ce que disait les yeux de March, mais il y avait en partie ça. Il ne s'en fichait pas. Il ne s'en foutait pas. Il n'en avait pas rien à cirer. Il regardait ce que faisait Morgan pour lui. Et ça le touchait certainement beaucoup.

Pardonne moi de t' chanter ça
Mais te dire je t'aime en beuglant ça passait pas


Et les policiers, eux, ils ne faisaient rien. Ils laissaient les deux frères se disputer, parce qu'ils ne savaient pas quoi dire. Déjà, ils se demandaient comment les deux pouvaient être frères. Parce que l'un était blond et l'autre cheveux blancs.
Mais ce n'est qu'un mensonge. Un tissu de mensonge pour permettre à Supermorgan de sortir loimarch.
C'est des paroles en l'air, des mots de trop. Un truc pour deux. A deux. Et puis, de toute manière, il faut bien que ça se termine comme dans les contes.
Tout sera bien qui finit bien.

Regarde ce que j'fais pour toi.
Morgan Ungry

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Spoiler:

Morgan fixait March, de façon étrange. Il ne l'avait jamais fixé de cette manière. À vrai dire, il n'avait sûrement jamais fixé qui que ce soit de cette manière. Certes, il avait déjà pété son câble quand les abrutis s'en étaient pris à March devant le Centre pour les plus démunis, mais ce qu'il y avait dans son regard à ce moment-là n'était que haine. Et un soupçon de folie, aussi. Parce que bon, il n'était pas tellement dans son état normal. Et ça ne s'appellerait pas "péter un câble", sinon. Mais là, dans le regard qu'il lançait à March, il n'y avait pas de colère, enfin pas uniquement. Bien sûr, une partie de son cerveau était encore en mode "grand frère pas content", d'où le froncement de sourcil probablement. Et une autre partie de lui, peut-être plus enfouie, s'agaçait de ne recevoir aucune réaction de ce garçon qu'il considérait comme un ami. D'où les mains crispées sur son col. Mais dans son regard, il n'y avait presque pas de haine. Juste de l'incompréhension, et... du regret ? De la tristesse ? Allez savoir... Ce qui était sûr, c'était qu'en fixant March, il formulait une supplique muette. De quoi ? Il ne le savait probablement pas lui-même. Non, c'est certain en fait, il ne le savait pas. Il ne savait pas ce qu'il voulait entendre.

─ Blablabla.

Le regret, la tristesse ou quoi que ce fut s'effaça du regard de Morgan devant les paroles m'enfoutiste du gamin aux cheveux blancs.

Non, il ne savait pas ce qu'il voulait entendre. Il ne savait pas. Tout comme il ne savait pas pourquoi il continuait de considérer March comme son ami.

─ Oui, je m'en fous de toi.

Alors que March n'en avait rien à faire de lui.

─ Déjà, je ne sais même pas pourquoi t'es venu. T'es venu me sortir d'ici, ou me casser les oreilles ?

Je suis là parce que je t'aime, ducon. Pardon, c'est sorti tout seul. Enfin je ne suis pas Morgan, moi, je suis plus intelligente que lui (à priori... quoique...) et de ce fait je comprends mieux la situation. Morgan lui, n'aurait jamais dit ce que je viens de dire. Premièrement parce qu'il n'est pas grossier (sauf quand on embête Marchou), deuxièmement parce qu'il ne connait pas la réponse à cette question. Pourquoi était-il encore là, en effet ? Il devait être un petit peu maso quand même. Un peu comme le chien mouillé de la chanson de Renan Luce :

J'suis comme un chien mouillé
Qui peut s'prendre tous les coups
Les plus belles dérouillées
Et suivre son maître partout
Ça, c'est la chanson de Morgan, c'est clair. Celui qui dit le contraire n'a rien compris au personnage. Mais c'est parfait parce qu'en écoutant les paroles de la chanson, on comprend (nous) pourquoi Morgan était encore là. Ça revient à dire ce que j'ai dit en moins grossier et en plus poétique. Je ne le dis pas là car je suis encore en mode "March t'es trop méchant avec Morganounet", alors laissons Morgan s'exprimer. Car même s'il ne l'a pas compris, au fond de lui il doit bien le savoir, même instinctivement, et l'instinct c'est la chose qui prend le dessus quand on est trop sensible aux sentiments ou que la partie "pragmatique" de nous-même (à savoir le cerveau) ne fonctionne pas. Vous avez de la chance, aujourd'hui plus qu'un autre jour, Morgan entrait dans les deux catégories.

Il faillit lâcher March après les paroles qu'il avait eu, mais ses mains tremblaient. Alors il serra plus fort le col de sa veste, son pull, sa chemise, ou je sais pas ce qu'il portait, et se pencha en avant pour que son visage soit à la hauteur du sien (rappelons que March était assis).

─ Moi aussi, je m'en fous.

Il avait dit cela en fixant March droit dans les yeux comme s'il voulait faire une flambée avec ses prunelles, et organiser un barbecue avec sa rétine et des saucisse de veau. C'est bon, les saucisses de veau. Oui j'ai faim, et alors ? Je raconte n'importe quoi dans ce post, c'est dingue. D'un coup je dis des trucs hypers profonds sur Morgan et tout, et de l'autre je raconte ma vie. Mais bref. Morgan donc avait rétorqué, sur un ton et avec une attitude qui laissait penser qu'il était, sinon en colère, du moins indifférent. Oui, un peu comme March quand il disait la même chose à Morgan. Sauf que Morgan n'était pas March. Il se redressa et lâcha enfin son ami. Il croisa les bras et continua, sur le même ton :

─ Je me fous de ce que tu penses. Et je me fous de ce que tu dis. Tu vas rentrer avec moi.

Ah ouais, c'est beau. En fait c'est pas de March dont il se fout, même si on aurait pu le croire... (oui oui, vous aviez compris la subtilité de la chose). J'en pleurerais presque. Sauf qu'il fallut que les policiers ici présents choisissent cet instant pour se manifester et réduire à néant toute la poésie du texte que je viens d'écrire (si, si... c'est très poétique). Barbares qui ne connaissaient rien à l'art, comme dirait l'autre.

─ He... Hey ! Attendez un instant ! Puisqu'on vous dit qu'il doit aller en prison ! s'exclama le chef.

Morgan se retourna, l'air réellement surpris. Il ne jouait plus la comédie depuis longtemps, pourrait-on dire. Quoique...?

─ M... mais... mais monsieur...

Il avait instantanément pris son air de pauvre petit chien battu sans amour et sans ami. En soi, ce petit changement peut paraître surprenant pour un aussi mauvais comédien que Morgan. Mais il ne faut pas oublier que faire des yeux de chiens, c'est sa spécialité. Même March n'y échappe pas. Et surtout, vous n'avez pas vu la suite.

─ VOUS NE COMPRENEZ PAAAAS ! CE SERAIT TROP CRUEEEEL ! DIRE QUE PAPA NOUS BAT ET QUE MAMAN EST MORTE À CAUSE DE JACK L'ÉVENTREUR, ET QUE MON FRÈRE EST LA SEULE VRAIE FAMILLE QU'IL ME REEEEESTE ! ET VOUS AU LIEU DE TRAQUER LES VÉRITABLES CRIMINELS COMME... COMME CET HORRIBLE MONSIEUR QUI A TUÉ MA MAMAN, VOUS PERDEZ VOTRE TEMPS AVEC DES ENFAAAAANTS !!

Le policier semblait pris au dépourvu, et même... effrayé. Mais Morgan ne s'arrêta pas là. Il s'agrippa à la taille du type et chiala encore plus fort :

─ PITIÉ ! PITIÉÉÉÉÉ MONSIEUUUUUUR LAISSEZ MON FRÈRE TRANQUIIIIIIILL-EUUUUUH !!!

Je vous présente la version enfantine de Morgan, ou le chialeur de service. Je ne saurais pas vous dire si ses larmes étaient vraiment fictives. Car Morgan partage un point commun avec March (eh oui, même si c'est dur à croire...) : il ne pleure jamais. Pas depuis la mort de son frère. Une promesse qu'il lui avait faite, qu'il s'était faite à lui-même. Même implicite, cette promesse, il l'avait tenue. Il n'avait jamais pleuré, même pour faire semblant. Jusque là.
En résumé, ça veut dire que March a peut-être fait pleurer Morgan. (Ouh le vilain pas beau, déjà que Tyna Lou a été victime de ta méchanceté, tu veux te transformer en serial-chialeur ou quoi ?). En conclusion, je te dis pas bravo March (quoique...) et je m'arrête là avant d'écrire plus de bêtises.
March Windyood
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Age : 29
Emploi/loisirs : San Francisco 2030, des années après le combat des forces du bien contre celle du mal. Peu à peu les êtres maléfiques, démons et êtres des ténèbres se firent de plus en plus discret, si bien que les jeunes générations de sorcières et sorciers pensent que la Source et la triade ne sont que des légendes urbaines. Les attaques de démons sont très rares désormais, quelques furies et démons inférieurs se font encore connaître. Les êtres bénéfiques ignorent une chose, la Triade, un groupe de démon supérieur viennent d'élire une nouvelle Source. A l'abri des regards au fin fond des enfers la Source se prépare au combat. Bien décidé à imposer son règne, il exécutera un rituel résultant en la résurrection du premier hybride mi-sorcier mi-démon, mais aussi la création d'un pouvoir des trois maléfiques. Seulement après tant d'année de paix, les pouvoirs des sorciers et des sorcières se sont affaiblis plus que jamais, la Source saisira sa chance pour lancer une attaque et faire comprendre aux sorcières et sorciers qu'elles ne sont plus en sécurité nulle part. Cette recrudescence forcera les fondateurs à choisir un pouvoir des trois bénéfiques afin de contrecarrer les plans de la source. Et ainsi faire comprendre aux sorcières et sorciers qu'elles ne sont plus en sécurité nulle part. Quand les sorcières rebelles appartenant aux Sarcana, ouvriront un portail pour avoir accès au Tartare, la prison des enfers. Un ancien sort jeté par les fondateurs le Damnatio memoriae, condamnant à l'oubli des sorcières que les fondateurs refusent de reconnaître et d'aider. Les traitant comme des parias. Ils se serviront également du sort pour se cacher de l'Enclave, mais aussi afin de dissimuler l'existence de certains sorciers et des êtres de lumières, se brisa. Cette recrudescence des forces maléfique força les chasseurs d'ombres, également connus sous le nom de Shadowhunters, à affluer à San Francisco et avec eux des tas de nouveaux ennemis et problèmes. En effet parmi eux, se cachent des extrémistes des membres du Cercle attendant patiemment le bon moment pour passer à l'attaque et asseoir la puissance de Valentin Morgenstern.
Humeur : Déchet.

Un peu plus sur toi !
Relations:
Possèdes-tu une pierre ?: Oui :D
Le pouvoir de la pierre: Vol
[Les paroles de la chanson que j’ai écrite oh yeah, bon y a des phrases bizarres, mais c’est ce qui se répètait dans ma tête Oo Et ça se répétait et tout, alors que j’étais en Arts Appliqués tranquillou à faire mon boulot ç_ç
D’un point de vue externe, les paroles sont niaises et connes :’D Alors je les met que là :
Spoiler:
]

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Il n’y avait rien, mais c’était tout.
[Moi Very Happy]


S’il y avait bien une chose que March savait, c’était qu’il détestait faire souffrir Morgan. Il préférait que son blond lui fasse des grands sourires de débile. Il préférait quand il l’appelait December sans raison. Il préférait l’entendre brailler comme un imbécile pour un oui pour un non. Il préférait ce Morgan. Mais là, à cause d’un tissu de mensonges, d’un sauvetage trop compliqué, d’un jeu où si tu place mal un pion, tu perds, comme aux échecs, il lui était impossible de voir son meilleur ami. Son vrai meilleur ami. Et sûrement que ça lui faisait très mal. Non, il n’y avait même pas à se poser la question.
Ça lui faisait mal. Mais ça, il ne l’avouerait pas. Même s’il en avait conscience.
Il avait envie de lui dire : « ne me regarde pas comme ça, je t’en supplie, ne me regarde pas avec ces yeux là. ». Mais ce n’était pas son genre. Alors il devait le faire. A cause d’un vol. D’un évènement imprévu.
Non, March il ne s’en fout pas de Morgan. Il l’aime beaucoup. Et il est un peu comme Rirumu dans Mirumo, ou Kagura dans Fruits Basket, il montre son amour par la violence. Ou pas ? Ah, si seulement le gamin aux cheveux blancs était tout le temps malade, comme ça il n’y aurait aucun problème. Et peut-être, que March avait peur. Que son blond le lâche, qu’il s’en aille, et qu’il se retrouve tout seul, vraiment tout seul.
Reste.

Il attendait avec l’espoir de celui qui n’en avait plus
[Moi encore xD]


─ Moi aussi, je m'en fous.

Un pincement au cœur. Peut-être ? Ou pas. Seulement, March avait peut-être vraiment peur. Je ne sais pas, je ne sais plus. Il m’échappe un peu. Mais je pense, qu’il espère un peu beaucoup que Morgan ne s’en fous pas de lui. Que ce n’est que le reste de la comédie. Que ce n’est pas la vérité. Mais son regard montrait l’inverse. Et peut-être que le rôle du dominé et du dominant était échangé ne serait ce qu’un instant.
Eh, March, t’es un chien mouillé ?
Mais, il fallait qu’il reste froid, de toute manière, il avait confiance en Morgan, il espérait de tout son cœur que celui-ci le comprenne, il n’avait pas peur. Ça allait. Tout va bien. Tout ira bien. Il n’y a pas à avoir peur.
Mais pourquoi les yeux de Morgan disaient le contraire ?, je m'en fous.

─ Je me fous de ce que tu penses. Et je me fous de ce que tu dis. Tu vas rentrer avec moi.

Un léger soulagement. Sûrement ?
Tout n’est que supposition après tout. Je crois bien que March m’a échappé des mains, que la valse d’amélie version orchestre me fait perdre la boule, et que la boule que j’ai au ventre me donne envie de pleurer. Tout ça me rend mélancolique. Et March qui doit être bien rassuré que son blondinet ne s’en fout pas de lui… Ou pas. Peut-être qu’il s’en fout, j’en sais rien, demander lui. Là j’ai juste l’impression d’être un spectateur. Qui observe la scène d’un point de vue externe, parce que je ne sais pas ce que le gamin aux cheveux blancs pourrait penser. Peut-être qu’il est rassuré, peut-être qu’il s’en fout, en tout cas son regard est stagné sur la froideur glacial de l’antarctique et c’est perturbant. Il soupire, doucement. Un petit sourire se laissant trahir sur sa bouche. Mais il faut être le docteur Lightman pour le voir, parce que ça ne dure pas longtemps, parce que ce n’est destiné qu’à son Morganounet.

─ He... Hey ! Attendez un instant ! Puisqu'on vous dit qu'il doit aller en prison !

Mouais. Pas sûr que vous y parveniez avec tout ce bastringue. Parce que Morgan et March ils font une équipe de choc, même si là March est un peu limité vu qu’il est un peu menotté… Ahem.

Et puis, qu'est ce que c'est la force ? Ce n'est qu'un mot à plusieurs interprétations.
[Moi toujours xDD]


Mais il sembla que la comédie cesse enfin. Parce que Morgan se retourna, et sembla parler sur un ton qui était digne de lui. Ce qui fit renaître inconsciemment une petite étincelle dans les yeux de March. Il retrouvait son Morgan, pas doué, faible – quoique -, et pourtant si malin. Avec ce regard de chien battu que même lui avait du mal à résister parce que franchement, non seulement c’était chiant mais en plus on avait vraiment l’impression que le blond était battu, et ça faisait pitié et….Et….Et ben voilà.

─ M... mais... mais monsieur...

Papa il est plus petit que maman et en plus il est bleu ! (ceci est une crise de l’auteur, il est deux heures du matin et ça se voit, faut dire qu’hier, l’auteur à vu Gad Elmaleh, Papa est en haut. Ca n’aide pas.)
Le pauvre petit monsieur. Il va porter plainte contre son avocat si ça continue. Il ne va plus rien y comprendre et y va s’arracher sa perruque ! ….Enfin porte-t-il une perruque ? Aha, la question qui tue.

─ VOUS NE COMPRENEZ PAAAAS ! CE SERAIT TROP CRUEEEEL ! DIRE QUE PAPA NOUS BAT ET QUE MAMAN EST MORTE À CAUSE DE JACK L'ÉVENTREUR, ET QUE MON FRÈRE EST LA SEULE VRAIE FAMILLE QU'IL ME REEEEESTE ! ET VOUS AU LIEU DE TRAQUER LES VÉRITABLES CRIMINELS COMME... COMME CET HORRIBLE MONSIEUR QUI A TUÉ MA MAMAN, VOUS PERDEZ VOTRE TEMPS AVEC DES ENFAAAAANTS !!

Et March sourit vraiment.
Il ne neige pas dehors. Il ne pleuneige pas non plus. Pourquoi vous allez vérifier ?
C’est parce que Morgan était lui-même, ou alors qu’il exagérait, et que c’était complètement débile, que c’était agréable, que ce fût comme une caresse comme le passage que j’écoute là, de la valse d’amélie version orchestre. Tout doux, tout mignon, comme un koala en peluche. Pourtant c’était stupide, mais ça faisait plaisir à March…. Et il plaignait intérieurement les pauvres policiers qui allaient devoir supporter un débile pareil, qui en plus continuait de raconter un gros bobard. Il n’avait même pas envie de lui frapper la tête pour le calmer.
En fait, ça lui donnait envie de rire.
Quand je vous dis que ce petiot m’échappe des mains…

─ PITIÉ ! PITIÉÉÉÉÉ MONSIEUUUUUUR LAISSEZ MON FRÈRE TRANQUIIIIIIILL-EUUUUUH !!!

Chaque chose à une importance en soi
[Devineeez ! Moi !!!!]


… Et March se mit à rire.
NON IL NE NEIGE PAS DEHORS ! Non il ne pleuneige pas dehors. NON BO…. N’ALLEZ PAS VERIFIEZ !
Nah mais oh. Je sais que ça arrive toutes les trente six milliards du mois, mais quand même. Bon, ok, il était pas mort de rire.
Bon ok,non seulement dans mes autres posts il est doux et il frotte la tête à Alessandro, il pleure en face de William ou encore il danse la rumba…Euh non, il rigole juste en face de Ruyard en racontant dans bêtises, mais quand même.
N’oubliez pas que March est une girouette. Et un nuage. Et un sérial-chialeur.
En tout cas, les policiers n’en pouvaient plus. Entre un March qui rit et un « grand frère » qui semblait sérieux qui se met soudainement à pleurer.

Bientôt, ils allaient faire comme dans Aspirin lorsque Hae Mou Sou et David sont dans une vente aux enchères d’esclaves, en tant qu’esclave et qu’ils font de leur mieux pour être vendu les plus chers chacun de leur côté, à la fin les types qui s’occupent des esclaves pêtent un plomb et s’en débarrasse. De toute façon, Aspirin c’est du gros n’importe quoi. J’adore Samson.

- Excusez nous, mon grand frère est un peu sensible, mais vous devriez me relâcher, sinon il va continuer de geindre comme un idiot.

Il fit encore un sourire des plus narquois, tout content de lui, son regard disait même « relâchez-moi tout de suite, buahahahahaaha, i win » comme yuki me balançant une boule de glace.
….Ou pas ?

- Aaah ! Assez ! ASSEZ ! TAIS-TOI SALE MOME

Et l’autre policier, il posa sa main sur la tête de Morgan.
Mais pas doucement en fait, plutôt durement. Trop durement, du genre March qui frappe Morgan. Et en fait, vous voyez ça ? Ben c’est la plus grave erreur qu’il ait jamais faite le type.

Il n’y a personne d’autre qui est le droit d’embêter Odie, à part moi !
[Garfield, c’est approximativement la citation, parce que internet bugue et que je ne trouve pas la citation]


Vous voyez la situation du dessus ? C’est un peu March par rapport à Morgan. Comme pour Morgan c’est le chien mouillé, ben là c’est le truc de Garfield.
Alors vous comprenez bien que ce gentil petit policier salaup frappe notre cher blondinet que nous aimons tous, ça ne plais pas du tout à Marchoupinou qui n’est pas content.

- Eh, vous.

Un ton réellement glacial se fait entendre. Et voilà que le jeune garçon vole, enfin. Les policiers essayent de l’attraper mais il leur donne à chacun un bon coup de pied dans la figure, et se met en face de celui qui à frappé Morgan, un regard des plus méchants dans les yeux.

- De quel droit vous pouvez frapper un civil qui est innocent ? D’accord, me frapper moi, mais lui….

Son ton fait peur. Parce qu’il n’est vraiment pas content. C’est limite si une aura démoniaque ne flotte pas autour du morveux. Le policier a un peu peur, mais il se contient, parce qu’il ne doit pas avoir peur d’un enfant, ça ne le fait pas du tout pour la réputation, il doit se montrer fort…
Mais franchement, vu la tête que tire March, ça donne des frissons dans le dos. On avait qu’à pas toucher à Morgan, d’abord… Ah, d’ailleurs, voilà qu’il frappe violemment la tête du policier, mais vraiment fort quoi, tant que le type perd l’équilibre et se tiens le nez. Dans quelques secondes, je pense qu’il va y avoir un saignement de nez, parce que se faire frapper avec le pied, ça fait mal.

- Ne le touchez plus jamais.

Si vous avez lu le post que je fais avec Tyna Lou dans les maisons closes, William fait un sourire vraiment méchant à March, limite il veut le tuer, ben là, c’est exactement le même regard. Et ça fait vraiment peur.

- Ou je vous tues.

Et lui, il n’hésite pas en plus, le petit Marchou ! Mais voilà, c’était trop facile, car un policier à un pistolet, vous voyez ceux de l’ancien temps. Et le voilà qui vise en direction de Decemberounet. Oh mon dieu mes aieux ou mes enfants ! Il va y avoir un meurtre au commissariat ! A moins que notre SuperMorgan intervienne avant !
VAS Y SUPERMORGAN ON T’AIME !
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