I hate yellow and blue ! - Don't Touch me !
Messages : 29
Points : 43
Date d'inscription : 05/05/2010
Un peu plus sur toi !
Relations:
Possèdes-tu une pierre ?: Oui :D
Le pouvoir de la pierre: Parler aux cailloux
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West, l'autiste arrive !
West Vanker
Mer 5 Mai - 15:57
VIDEO D'AMBIANCE DE LA FICHE (Si si...Je vous le promet....)
Identity
Nom : Vanker (c'est estonien, ça signifie voiture xD)
Prénom : West (ça veut dire ouest )
Surnom : Des surnoms ? On ne m’en donne pas, parce que je ne m’approche pas beaucoup des Autres, et puis comme je ne comprend pas beaucoup leurs émotions…Je sais que parfois dans mon dos ils m’appellent l’indifférent, le sans-émotion, mais je ne comprend pas trop pourquoi. Mère me nommait Ouest.
Âge et Date de naissance : Comme je suis né au printemps, le 5 avril 1854 j’ai 19 ans.
Rang : On me nomme monsieur le détective des fois...
Your stone.
Couleur de la pierre : Olive
Taille de la pierre : 1 centimètre
Se trouve sur : Sur son front
Nom du pouvoir : Communication avec les pierres
Description du pouvoir : West peut grâce à son pouvoir parler avec les pierres, en bref il les entend, et il peut leur parler pour les comprendre. Seulement cela peut lui donner facilement mal à la tête
Catégorie du pouvoir : (est-il physique (super force, vol, etc...) ? Autres
You, you and you. Because you are you.
Physique : Mère a toujours dit que j’étais le plus mignon des petits garçons. Mais ne m’a jamais pris dans ses bras comme certaines le feraient, et je l’en remercie parce que je n’aime pas ça, et elle l’a toujours respecté.
J’ai les cheveux bruns. Ou plus précisément bruns châtain. Nous avons environ de 70 000 à 110 000 cheveux sur la tête. Les miens sont hérissés. En essayant de les arranger ça ne marche pas. Ils sont naturellement hirsutes. Ça me rappelle quand mère me les frottait et que je hurlais. Ou que je grognais parce que je n’aimais pas ça. Ils sont plutôt courts.
J’ai des yeux marrons jaunes. Je n’aime pas ça. Parce que je n’aime pas le jaune. Mère disait qu’ils étaient dorés. Et l’or, est l’une des choses les plus précieux du monde.
Je suis petit. Je mesure précisément 1m62 virgule 18. C’est un peu un inconvénient mais j’arrive à courir vite et je suis très fort ! Je suis aussi agile. Mère m’appelait son petit singe.
Je ne met jamais le bout de mes lèvres vers le haut de mon visage, comme certaines personnes le font. Parce que je ne comprends pas pourquoi il faudrait faire ça. Les gens ont beaucoup trop de mouvements avec leurs lèvres et leurs yeux...C’est dur, et ça bouge vite… Ce n’est même pas proportionnel.
Je porte toujours, ou presque parce qu’il y a quelques pour cents de probabilité que ça change, une chemise blanche et un pantalon avec une ceinture.
Je porte parfois un faux diadème doré, sur mon front. Parce que ça cache ma pierre.
Caractère :
Mère m’a toujours dit que mon caractère était étrange.
Quand on me touche, j’ai tendance à hurler, à me mettre en boule et à grogner. Parce que je n’aime vraiment pas ça. Donc les gens qui le savent font de leur mieux pour ne pas me toucher. Mais souvent, ceux qui ne me connaissent pas, veulent me serrer la main, et moi je refuse. Je n’aime pas.
J’aime me poser des problèmes logiques dans ma tête. Parce que c'est intéressant de se poser des choses comme ça. Et ça me calme. Mère disait aussi que j’entre beaucoup dans les détails et que j’aime raconter des souvenirs. J’aime aussi faire des listes, mettre un peu d’ordre partout. Je n’aime pas ce qui est désordonné, ça me donne mal à la tête, alors je me mets en boule, ou je grogne.
J'aime les choses qui tournent. Et la nourriture qui ne se colle pas.
Je n’aime pas quand les gens disent qu’ils ne me comprennent pas. Parce que je ne m’exprime pas. Et je ne comprends pas quand leurs yeux et leurs bouches ils bougent, je ne sais jamais ce que ça veut dire. Moi ma bouche, elle ne bouge pas. J'utilise mes bras pour m'exprimer. Et des fois je parle.
Je n’aime pas le jaune, parce que c’est la couleur des œufs au plat, et celle du soleil. Je n’aime pas non plus le bleu, parce que c’est quand même étrange que ce soit la seule couleur qu’il n’y ait pas dans les aliments.
Mère disait que j’étais plutôt capricieux parce que je voulais toujours avoir la chose que je demandais. Elle disait aussi que j’étais très entêté, quand je pose une question et qu’on ne répond pas je repose la question. Elle voulait souvent « bavarder » avec moi, mais je ne savais pas comment on faisait. En fait, je ne sais pas relancer la discussion.
Même si je ne comprends pas les autres, j’aime la science, et la physique, et puis, Mère disait que j’étais serviable, parce que je faisais ce qu’on me demandait sans rien dire, sauf si ça ne me plaisait pas, et là je me mettais à grogner.
J’aime poser des questions parce que j’aime apprendre. Mais Mère disait que je posais trop souvent des questions étranges, et il lui arrivait de ne pas répondre, alors j’insistais.
Mère disait que j'avais une bonne observation. C'est pour ça que je suis détective. Parce que je vois tout.
Problèmes physiques ou psychologiques : : Mère disait que j'avais un petit problème mental, et tout le monde me traite de fou. Je ne comprend pas pourquoi.
Particularités physiques ou psychologiques : Mère disait que j'avais de beaux yeux dorés.
Famille :
Mère se nommait Maria Vanker. Elle respectait le fait que je n'aimais pas être toucher, et tout le reste. Elle est resté avec moi quand Père est parti. Puis un jour elle m'a abandonné. Père se nommait Lucas Vanker, je ne l'ai pas vraiment connu parce qu'il voulait un enfant pour lui donner de l'affection tactile. Maintenant je vis avec Victor Weiss, un détective.
Histoire :
Mère m’a raconté un jour la fois ou je suis né.
Elle m’a dit qu’il pleuvait alors qu’on était au printemps. Que Père était heureux. Ça veut dire qu’il éprouvait de la joie, du bonheur. Que c’était dur de me sortir. Que tout c’est à peu près bien passé, même si on n’était ni riche ni pauvre. Mère disait que j’étais beau quand j’étais petit, même si je suis persuadé que je ressemblais à tous les autres bébés quand ils naissent, peu de cheveux, yeux fermés, peau presque rouge. Laid. Mère disait aussi que j’étais calme et que je ne pleurais jamais, sauf quand j’avais faim. Et puis j’ai commencé à grandir. Père m’a raconté une fois qu’il en avait marre que je ne veuille pas être touché alors que j’étais petit, qu’il avait toujours voulu un enfant pour pouvoir le serrer dans ses bras, alors que je ne servais à rien si je n’aimais pas le contact.
Je suis fils unique, Père est parti avant que Mère puisse tomber à nouveau enceinte de lui. Ils se sont quittés, comme ça, parce que je ne voulais pas qu’on m’enlace ou qu’on m’embrasse.
Je me souviens que parfois Mère faisait du bruit pendant la nuit, vous vous appelleriez ça « pleurer »mais, elle m’a toujours compris et m’a toujours respecté. Elle évitait de me toucher, de faire que ma nourriture se touche, de me montrer du jaune ou du bleu, et répondait parfois à toutes mes questions qu’elle estimait réellement étrange. D’ailleurs, selon vous, qui vient en premier, l’œuf ou la poule ?
J’avais 6 ans quand j’ai du découvrir les autres. Ils ne jouaient pas avec moi, parce que je ne parlais jamais et que je ne souriais jamais. Mais je n’y arrive pas, et je ne comprenais pas pourquoi ils hurlaient, ou qu’ils employaient un ton que Mère appelait moqueur.
Ils disaient que j’étais idiot, que ce n’était pas amusant de jouer avec moi, et repartaient.
Alors je restais seul. Et c’était très bien comme ça. Mère jouait quelque fois avec moi à divers jeux qu’elle inventait, mais ça ne m’intéressait pas, je préférais les choses logiques et les énigmes à résoudre. Et puis, je n’aimais pas sortir parce que le ciel est bleu et le soleil est jaune. J’allais à l’école, mais je ne m’y plaisais pas. Et les professeurs voulaient toujours me toucher, alors je me mettais à grogner. Mère m’a donc enlevé de l’école, et je restait la journée le nez dans les livres. C’était très bien comme ça.
Les livres que je lisais le plus souvent étaient Oliver Twist de Charles Dickens et Histoires Extraordinaires d’Edgar Allan Poe. Mère n’était pas comme père, elle s’en moquait que je lisais au lieu de « bavarder » ou de l’enlacer. Elle me laissait tranquille.
Finalement, quand j’eus 14 ans, Mère disparu.
J’ignore ce qui c’est passé, où elle est allé, mais elle n’était plus là quand je suis allé à la cuisine, croyant qu’il était l’heure du repas. Il n’y avait plus personne, la maison était vide.
Je l’ai cherché partout, dans tous les endroits possibles et inimaginables, et j’ai même fait l’exploit de sortir au dehors et de parler aux gens, même si mon unique question était « Auriez-vous vu Mère ? » en la décrivant. Généralement les gens secouaient la tête, ou voulaient bavarder, ou m’ignoraient. Je n’obtins jamais une réponse sur l’endroit où se trouvait Mère. Et puis, j’ai été demandé à un détective. Il accepta de m’aider. Chercha, partout. Et finit par me dire qu’il l’avait trouvé, mais qu’elle ne voulait plus de moi, qu’elle en avait assez que je sois capricieux, grognon, ronchon et asocial.
Je cru alors que je me retrouverais à être comme Oliver Twist, un enfant des rues contraint à voler afin de pouvoir survivre, mais le détective décida de m’accueillir. Lui il ne voulait pas d’enlacement, pas de bise éternelle, pas de jeu, pas de discussion longue, ni de sourire. Il me laissait lire ce que je voulais, dans un silence des plus totaux, et me répondait à toutes mes questions.
C’est l’œuf qui vient en premier d’ailleurs.
Et il m’apprit à devenir comme lui, ce qu’il appelait un détective, estimant que j’en avais les capacités.
Maintenant je vis avec lui, en résolvant ses enquêtes logiques, cherchant à trouver la réponse à chaque énigme. En ce moment, il s’intéresse surtout à celle de Jack. Alors je cherche aussi.
L'autre fois, alors que je me promenais, je suis tombé. Et en fait, je suis tombé droit sur un caillou qui s'est incrusté sur mon front. Depuis ce jour là, je parle au pierres, et c'est bizarre ce qu'elles peuvent en dire des choses.
And...?
Exemple de RP :
Ton âge : : J'ai 503 ans
Comment-as-tu connu le forum ? Apparemment on m'a dit que je l'ai crée, mais j'en suis pas trop sûr, vous savez on sait jamais...
Qu'est ce qui t'as tout de suite attiré sur ce forum ? Le design super trop beau.
As-tu des suggestions ? Plus de pancakes.
Ton avatar est il quelqu'un en particulier ? Le chéri de Genjô Sanzo dans Saiyuki. Son Gokû de Saiyuki.
As-tu lu le réglement ? Bien sur que non.
Identity
Nom : Vanker (c'est estonien, ça signifie voiture xD)
Prénom : West (ça veut dire ouest )
Surnom : Des surnoms ? On ne m’en donne pas, parce que je ne m’approche pas beaucoup des Autres, et puis comme je ne comprend pas beaucoup leurs émotions…Je sais que parfois dans mon dos ils m’appellent l’indifférent, le sans-émotion, mais je ne comprend pas trop pourquoi. Mère me nommait Ouest.
Âge et Date de naissance : Comme je suis né au printemps, le 5 avril 1854 j’ai 19 ans.
Rang : On me nomme monsieur le détective des fois...
Your stone.
Couleur de la pierre : Olive
Taille de la pierre : 1 centimètre
Se trouve sur : Sur son front
Nom du pouvoir : Communication avec les pierres
Description du pouvoir : West peut grâce à son pouvoir parler avec les pierres, en bref il les entend, et il peut leur parler pour les comprendre. Seulement cela peut lui donner facilement mal à la tête
Catégorie du pouvoir : (est-il physique (super force, vol, etc...) ? Autres
You, you and you. Because you are you.
Physique : Mère a toujours dit que j’étais le plus mignon des petits garçons. Mais ne m’a jamais pris dans ses bras comme certaines le feraient, et je l’en remercie parce que je n’aime pas ça, et elle l’a toujours respecté.
J’ai les cheveux bruns. Ou plus précisément bruns châtain. Nous avons environ de 70 000 à 110 000 cheveux sur la tête. Les miens sont hérissés. En essayant de les arranger ça ne marche pas. Ils sont naturellement hirsutes. Ça me rappelle quand mère me les frottait et que je hurlais. Ou que je grognais parce que je n’aimais pas ça. Ils sont plutôt courts.
J’ai des yeux marrons jaunes. Je n’aime pas ça. Parce que je n’aime pas le jaune. Mère disait qu’ils étaient dorés. Et l’or, est l’une des choses les plus précieux du monde.
Je suis petit. Je mesure précisément 1m62 virgule 18. C’est un peu un inconvénient mais j’arrive à courir vite et je suis très fort ! Je suis aussi agile. Mère m’appelait son petit singe.
Je ne met jamais le bout de mes lèvres vers le haut de mon visage, comme certaines personnes le font. Parce que je ne comprends pas pourquoi il faudrait faire ça. Les gens ont beaucoup trop de mouvements avec leurs lèvres et leurs yeux...C’est dur, et ça bouge vite… Ce n’est même pas proportionnel.
Je porte toujours, ou presque parce qu’il y a quelques pour cents de probabilité que ça change, une chemise blanche et un pantalon avec une ceinture.
Je porte parfois un faux diadème doré, sur mon front. Parce que ça cache ma pierre.
Caractère :
Mère m’a toujours dit que mon caractère était étrange.
Quand on me touche, j’ai tendance à hurler, à me mettre en boule et à grogner. Parce que je n’aime vraiment pas ça. Donc les gens qui le savent font de leur mieux pour ne pas me toucher. Mais souvent, ceux qui ne me connaissent pas, veulent me serrer la main, et moi je refuse. Je n’aime pas.
J’aime me poser des problèmes logiques dans ma tête. Parce que c'est intéressant de se poser des choses comme ça. Et ça me calme. Mère disait aussi que j’entre beaucoup dans les détails et que j’aime raconter des souvenirs. J’aime aussi faire des listes, mettre un peu d’ordre partout. Je n’aime pas ce qui est désordonné, ça me donne mal à la tête, alors je me mets en boule, ou je grogne.
J'aime les choses qui tournent. Et la nourriture qui ne se colle pas.
Je n’aime pas quand les gens disent qu’ils ne me comprennent pas. Parce que je ne m’exprime pas. Et je ne comprends pas quand leurs yeux et leurs bouches ils bougent, je ne sais jamais ce que ça veut dire. Moi ma bouche, elle ne bouge pas. J'utilise mes bras pour m'exprimer. Et des fois je parle.
Je n’aime pas le jaune, parce que c’est la couleur des œufs au plat, et celle du soleil. Je n’aime pas non plus le bleu, parce que c’est quand même étrange que ce soit la seule couleur qu’il n’y ait pas dans les aliments.
Mère disait que j’étais plutôt capricieux parce que je voulais toujours avoir la chose que je demandais. Elle disait aussi que j’étais très entêté, quand je pose une question et qu’on ne répond pas je repose la question. Elle voulait souvent « bavarder » avec moi, mais je ne savais pas comment on faisait. En fait, je ne sais pas relancer la discussion.
Même si je ne comprends pas les autres, j’aime la science, et la physique, et puis, Mère disait que j’étais serviable, parce que je faisais ce qu’on me demandait sans rien dire, sauf si ça ne me plaisait pas, et là je me mettais à grogner.
J’aime poser des questions parce que j’aime apprendre. Mais Mère disait que je posais trop souvent des questions étranges, et il lui arrivait de ne pas répondre, alors j’insistais.
Mère disait que j'avais une bonne observation. C'est pour ça que je suis détective. Parce que je vois tout.
Problèmes physiques ou psychologiques : : Mère disait que j'avais un petit problème mental, et tout le monde me traite de fou. Je ne comprend pas pourquoi.
Particularités physiques ou psychologiques : Mère disait que j'avais de beaux yeux dorés.
Famille :
Mère se nommait Maria Vanker. Elle respectait le fait que je n'aimais pas être toucher, et tout le reste. Elle est resté avec moi quand Père est parti. Puis un jour elle m'a abandonné. Père se nommait Lucas Vanker, je ne l'ai pas vraiment connu parce qu'il voulait un enfant pour lui donner de l'affection tactile. Maintenant je vis avec Victor Weiss, un détective.
Histoire :
Mère m’a raconté un jour la fois ou je suis né.
Elle m’a dit qu’il pleuvait alors qu’on était au printemps. Que Père était heureux. Ça veut dire qu’il éprouvait de la joie, du bonheur. Que c’était dur de me sortir. Que tout c’est à peu près bien passé, même si on n’était ni riche ni pauvre. Mère disait que j’étais beau quand j’étais petit, même si je suis persuadé que je ressemblais à tous les autres bébés quand ils naissent, peu de cheveux, yeux fermés, peau presque rouge. Laid. Mère disait aussi que j’étais calme et que je ne pleurais jamais, sauf quand j’avais faim. Et puis j’ai commencé à grandir. Père m’a raconté une fois qu’il en avait marre que je ne veuille pas être touché alors que j’étais petit, qu’il avait toujours voulu un enfant pour pouvoir le serrer dans ses bras, alors que je ne servais à rien si je n’aimais pas le contact.
Je suis fils unique, Père est parti avant que Mère puisse tomber à nouveau enceinte de lui. Ils se sont quittés, comme ça, parce que je ne voulais pas qu’on m’enlace ou qu’on m’embrasse.
Je me souviens que parfois Mère faisait du bruit pendant la nuit, vous vous appelleriez ça « pleurer »mais, elle m’a toujours compris et m’a toujours respecté. Elle évitait de me toucher, de faire que ma nourriture se touche, de me montrer du jaune ou du bleu, et répondait parfois à toutes mes questions qu’elle estimait réellement étrange. D’ailleurs, selon vous, qui vient en premier, l’œuf ou la poule ?
J’avais 6 ans quand j’ai du découvrir les autres. Ils ne jouaient pas avec moi, parce que je ne parlais jamais et que je ne souriais jamais. Mais je n’y arrive pas, et je ne comprenais pas pourquoi ils hurlaient, ou qu’ils employaient un ton que Mère appelait moqueur.
Ils disaient que j’étais idiot, que ce n’était pas amusant de jouer avec moi, et repartaient.
Alors je restais seul. Et c’était très bien comme ça. Mère jouait quelque fois avec moi à divers jeux qu’elle inventait, mais ça ne m’intéressait pas, je préférais les choses logiques et les énigmes à résoudre. Et puis, je n’aimais pas sortir parce que le ciel est bleu et le soleil est jaune. J’allais à l’école, mais je ne m’y plaisais pas. Et les professeurs voulaient toujours me toucher, alors je me mettais à grogner. Mère m’a donc enlevé de l’école, et je restait la journée le nez dans les livres. C’était très bien comme ça.
Les livres que je lisais le plus souvent étaient Oliver Twist de Charles Dickens et Histoires Extraordinaires d’Edgar Allan Poe. Mère n’était pas comme père, elle s’en moquait que je lisais au lieu de « bavarder » ou de l’enlacer. Elle me laissait tranquille.
Finalement, quand j’eus 14 ans, Mère disparu.
J’ignore ce qui c’est passé, où elle est allé, mais elle n’était plus là quand je suis allé à la cuisine, croyant qu’il était l’heure du repas. Il n’y avait plus personne, la maison était vide.
Je l’ai cherché partout, dans tous les endroits possibles et inimaginables, et j’ai même fait l’exploit de sortir au dehors et de parler aux gens, même si mon unique question était « Auriez-vous vu Mère ? » en la décrivant. Généralement les gens secouaient la tête, ou voulaient bavarder, ou m’ignoraient. Je n’obtins jamais une réponse sur l’endroit où se trouvait Mère. Et puis, j’ai été demandé à un détective. Il accepta de m’aider. Chercha, partout. Et finit par me dire qu’il l’avait trouvé, mais qu’elle ne voulait plus de moi, qu’elle en avait assez que je sois capricieux, grognon, ronchon et asocial.
Je cru alors que je me retrouverais à être comme Oliver Twist, un enfant des rues contraint à voler afin de pouvoir survivre, mais le détective décida de m’accueillir. Lui il ne voulait pas d’enlacement, pas de bise éternelle, pas de jeu, pas de discussion longue, ni de sourire. Il me laissait lire ce que je voulais, dans un silence des plus totaux, et me répondait à toutes mes questions.
C’est l’œuf qui vient en premier d’ailleurs.
Et il m’apprit à devenir comme lui, ce qu’il appelait un détective, estimant que j’en avais les capacités.
Maintenant je vis avec lui, en résolvant ses enquêtes logiques, cherchant à trouver la réponse à chaque énigme. En ce moment, il s’intéresse surtout à celle de Jack. Alors je cherche aussi.
L'autre fois, alors que je me promenais, je suis tombé. Et en fait, je suis tombé droit sur un caillou qui s'est incrusté sur mon front. Depuis ce jour là, je parle au pierres, et c'est bizarre ce qu'elles peuvent en dire des choses.
And...?
Exemple de RP :
- Spoiler:
- Il voulait atteindre un but inatteignable. Il avait beau tendre la main, se forcer, la passer entre les barreaux le plus possible, tendre le bout de ses doigts au maximum, il ne parvenait pas à l'attraper. Et c'était comme avant, il avait envie de pleurer. C'était honteux quand on savait qu'il avait grandi, mais en quoi laisser tomber des larmes était si honteux que ça après tout ? C'était injuste. Il avait grandi, il était devenu fort, il pensait pouvoir réussir cette fois à le choper pour avoir pitié, mais il n'y arrivait pas, et Gokû pensait qu'il n'y arriverait pas.
En plus, voilà qu'il se met à neiger, qu'il fait froid, que tout est silencieux, et que le pauvre oiseau est entrain de geler, de continuer à être un pauvre macchabé inutile. Et le pauvre singe qui se désespère, fait de son mieux pour du bout de ses doigts, toucher ou au moins frôlé ce petit être qui ne volera plus, il ne pense même pas que cela puisse être une illusion, trop aveuglé par la douleur d'avoir perdu un ami. En plus, le petit canari est tout jaune, jaune comme le soleil qui à disparu, jaune comme quelque chose qu'il aime tant. Il crie, il crie, parce que l'oiseau ne vit plus, il n'est vraiment pas content.
En fait il est juste impuissant face à cette terrible tragédie. Pourtant il a pleuré pour bien plus. Et il a déjà battu beaucoup d'autres choses. Comme par exemple, des yokais très durs, et il avait survécu à des coups de baffeurs violents, et à des tentatives de meurtres par balle. Mais de qui déjà ? Pas de cet oiseau mort qu'il ne parvenait toujours pas à atteindre, et qui lui serrait le coeur et la gorge. Il se souvint alors d'une de ces pensées du temps où il était vraiment enfermé dans cette cage tant froide et silencieuse.
Si j'avais été six pieds sous terre... Je n'aurais pas voulu de soleil...
Si j'avais été six pieds sous terre...Je n'aurais connu ni la liberté ni la solitude...
Mais il le voulait ce soleil, et il venait de se rappeler qu'il existait. Qu'il brillait dans le ciel. Qu'il brillait même sur terre. Qu'il avait un sale caractère, et qu'il le connaissait depuis bien plus longtemps qu'il ne le pensait... Il savait qu'il n'était pas loin, qu'il était là, qu'il allait venir le chercher, remplacer ce canari jaune éphèmère. Lui qui était si immortel et increvable, mais empoisonné par un scorpion et il survivait.
- Sanzo...
Il enleva sa main des barreaux et se remit dans cette cellule. Il savait que Sanzo était là, qu'il allait venir le chercher, qu'il entendait sa voix, et qu'ensuite il se mettrait à gueuler qu'il avait faim, 24h/24.
Gokû se rendit même compte que ceci n'était qu'une illusion, un pauvre petit rêve inventé pour le tourmenté, pour le rendre fou, pour le détruire. La psychologie est souvent le meilleur moyen de faire mal, mais quand il ne s'agissait que d'un rêve, c'était si simple de voir la lumière et de se réveiller.
Le singe savait que l'oiseau n'existait plus, et qu'il avait mieux maintenant. Il n'y avait pas que Sanzo d'ailleurs, il y avait aussi Gojyo...Et puis Hakkai.
Et d'ailleurs...
- Hakkai !
Et la cellule disparut, parce qu'elle n'avait plus de raison d'être, il n'avait plus de chaîne aux mains ni aux pieds, ni même au cou. Il connaissait la solitude, la liberté et même il voulait le soleil, pour la simple et bonne raison qu'il n'était pas et qu'il ne serait jamais six pieds sous terre.
Là il était juste sorti d'une illusion magique fait par un déluré qui l'avait privé de la meilleure chose qui puisse exister au monde, sûrement après Sanzô, la nourriture.
Et il vu qu'il était face à un mur. Mais sûrement que ce mur n'existait pas, parce que le débile qui continuait de créer des illusions, l'avait cru assez faible pour succomber entièrement à cette douleur qu'est de perdre cet oiseau qu'il aimait tant. Il était mort une fois, et cela lui suffisait, maintenant il avait quelqu'un de mieux, un soleil à lui tout seul, qu'il avait retrouvé après 500 ans, même s'il l'ignorait. Et ce soleil il brillait de mille feux, et même s'il le frappait tout le temps et qu'il le traitait d'idiot de singe à tout bout de champ, il ne pouvait que l'aimer.
Gokû traversa le mur parce qu'il savait qu'il était comme l'autre mur qu'Hakkai avait traversé, et éprouva une sensation bizarre parce que décidemment c'était vraiment étrange de se sentir comme un fantôme et de traverser un mur. Il n'avait même pas vu que ce qui restait de l'oiseau était également redevenu une pièce de shogi, et vu Hakkai.
Il avait raison, il n'était jamais retourné en prison, et Sanzo n'était pas loin sûrement entrain de fumer une cigarette et de se taper la discut avec Gojyo
- Hakkai ! Hakkai ! J'ai réussi ! L'oiseau il existait pas !
Ben oui, il pouvait être tout fier de lui, non ?
Ton âge : : J'ai 503 ans
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The Fondateur ~ Little Cute Bad Boy - Maître de Morgan
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Date d'inscription : 06/04/2010
Age : 29
Emploi/loisirs : San Francisco 2030, des années après le combat des forces du bien contre celle du mal. Peu à peu les êtres maléfiques, démons et êtres des ténèbres se firent de plus en plus discret, si bien que les jeunes générations de sorcières et sorciers pensent que la Source et la triade ne sont que des légendes urbaines. Les attaques de démons sont très rares désormais, quelques furies et démons inférieurs se font encore connaître. Les êtres bénéfiques ignorent une chose, la Triade, un groupe de démon supérieur viennent d'élire une nouvelle Source. A l'abri des regards au fin fond des enfers la Source se prépare au combat. Bien décidé à imposer son règne, il exécutera un rituel résultant en la résurrection du premier hybride mi-sorcier mi-démon, mais aussi la création d'un pouvoir des trois maléfiques. Seulement après tant d'année de paix, les pouvoirs des sorciers et des sorcières se sont affaiblis plus que jamais, la Source saisira sa chance pour lancer une attaque et faire comprendre aux sorcières et sorciers qu'elles ne sont plus en sécurité nulle part. Cette recrudescence forcera les fondateurs à choisir un pouvoir des trois bénéfiques afin de contrecarrer les plans de la source. Et ainsi faire comprendre aux sorcières et sorciers qu'elles ne sont plus en sécurité nulle part. Quand les sorcières rebelles appartenant aux Sarcana, ouvriront un portail pour avoir accès au Tartare, la prison des enfers. Un ancien sort jeté par les fondateurs le Damnatio memoriae, condamnant à l'oubli des sorcières que les fondateurs refusent de reconnaître et d'aider. Les traitant comme des parias. Ils se serviront également du sort pour se cacher de l'Enclave, mais aussi afin de dissimuler l'existence de certains sorciers et des êtres de lumières, se brisa. Cette recrudescence des forces maléfique força les chasseurs d'ombres, également connus sous le nom de Shadowhunters, à affluer à San Francisco et avec eux des tas de nouveaux ennemis et problèmes. En effet parmi eux, se cachent des extrémistes des membres du Cercle attendant patiemment le bon moment pour passer à l'attaque et asseoir la puissance de Valentin Morgenstern.
Humeur : Déchet.
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Date d'inscription : 06/04/2010
Age : 29
Emploi/loisirs : San Francisco 2030, des années après le combat des forces du bien contre celle du mal. Peu à peu les êtres maléfiques, démons et êtres des ténèbres se firent de plus en plus discret, si bien que les jeunes générations de sorcières et sorciers pensent que la Source et la triade ne sont que des légendes urbaines. Les attaques de démons sont très rares désormais, quelques furies et démons inférieurs se font encore connaître. Les êtres bénéfiques ignorent une chose, la Triade, un groupe de démon supérieur viennent d'élire une nouvelle Source. A l'abri des regards au fin fond des enfers la Source se prépare au combat. Bien décidé à imposer son règne, il exécutera un rituel résultant en la résurrection du premier hybride mi-sorcier mi-démon, mais aussi la création d'un pouvoir des trois maléfiques. Seulement après tant d'année de paix, les pouvoirs des sorciers et des sorcières se sont affaiblis plus que jamais, la Source saisira sa chance pour lancer une attaque et faire comprendre aux sorcières et sorciers qu'elles ne sont plus en sécurité nulle part. Cette recrudescence forcera les fondateurs à choisir un pouvoir des trois bénéfiques afin de contrecarrer les plans de la source. Et ainsi faire comprendre aux sorcières et sorciers qu'elles ne sont plus en sécurité nulle part. Quand les sorcières rebelles appartenant aux Sarcana, ouvriront un portail pour avoir accès au Tartare, la prison des enfers. Un ancien sort jeté par les fondateurs le Damnatio memoriae, condamnant à l'oubli des sorcières que les fondateurs refusent de reconnaître et d'aider. Les traitant comme des parias. Ils se serviront également du sort pour se cacher de l'Enclave, mais aussi afin de dissimuler l'existence de certains sorciers et des êtres de lumières, se brisa. Cette recrudescence des forces maléfique força les chasseurs d'ombres, également connus sous le nom de Shadowhunters, à affluer à San Francisco et avec eux des tas de nouveaux ennemis et problèmes. En effet parmi eux, se cachent des extrémistes des membres du Cercle attendant patiemment le bon moment pour passer à l'attaque et asseoir la puissance de Valentin Morgenstern.
Humeur : Déchet.
Un peu plus sur toi !
Relations:
Possèdes-tu une pierre ?: Oui :D
Le pouvoir de la pierre: Vol
West, l'autiste arrive !
March Windyood
Dim 9 Mai - 2:41
Et c'est ce que j'appelle de l'autovalidatioooon <3
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