Victoria's Stone
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West Vanker
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Une douzaine. [PV Amber]

West Vanker
Jeu 8 Juil - 15:25
- West, tu te souviens que je t’avais demandé des informations sur Juliet Wanter ?
- Oui.
- Qu’as-tu trouvé ?
- Pas grand-chose. Qu’elle était une prostituée qui se faisait détester c’est tout.
- Pourquoi ?
- Je ne sais pas.
- Pourquoi tu ne sais pas ?
- Je n’ai pas demandé.
- Va demander.
- Où ?
- Dans les bas quartiers.
- Vraiment ?
- Oui.
- … Une énigme d’abord.
- Encore ?
- Oui.


Je le vois soupirer, Victor aime bien me donner des énigmes, mais il doit parfois réfléchir à laquelle il va me poser. Il sait que sinon je n’irais pas en ville. Alors j’attends, parce que j’aime ensuite trouver la solution.

- Je connais un mot de huit lettres.
Enlève en trois et il reste douze.
De quel mot s’agit-il ?

- Je te dirais la réponse une fois revenu.
- Bonne chance !


Il me regarde m’en aller. Je sais que je dois aller dans les bas quartiers, là où ça pue, et où les rats grignotent tout. Mais je n’ai pas peur, parce que si on me touche, je frappe. Alors je m’en vais, me dirigeant donc vers ses bas quartiers, vers les ruelles étroites où règne les voleurs, les truands, et ceux qui n’arrêtent pas de toucher les autres.

Victor m’a confié un couteau, au cas où que je doive me défendre, mais je crois que je ne saurais pas bien l’utiliser. Alors j’espère que je ne croiserais personne qui voudra mon argent, parce que de toute manière, je n’en ai pas. Je marche en faisant attention à mon chemin. Je sais que je dois aller aux environs des maisons closes pour demander des informations alors.

En même temps je réfléchis à l’énigme. Qu’est ce que ça pourrait être… Un mot de huit lettres que quand on en enlève trois il reste douze… Est-ce parce qu’il reste douze lettres ? Je réfléchis.

- Oh, un petit gamin qui traîne sur notre territoire. Tu as perdu ta maman ?

Je me retourne. Des mendiants, ou en tout cas ils en ont les habits. Mais je sais que c’est des voleurs. Il s’approche de moi, je me recule. Je n’ai pas peur, parce que quand on est détective il ne faut pas avoir peur. Je ne dis rien.

- Tu sais où tu te trouves en ce moment, petit enfant ?
- Je ne suis pas un enfant.

Ils rigolent. Ils sont stupides. Mais ils sont forts aussi. Et je me retrouve entouré contre un mur. Ma main se tient à mon couteau, s’ils me touchent je leur coupe un doigt.

- Vous savez qui est Juliet Wanter ?

Ils ricanent, ils ne répondent pas, ou ils répondent autre choses :

- Tu vas gentiment nous donner ton argent, d’accord ?
- Non. Je n’en ai pas.

Ils rigolent encore. Ils ne me font pas peur. Mais il y en a un qui met sa main sur mon épaule, alors je grogne et je sors mon couteau, mais un deuxième l’attrape. Je n’aime pas ça, je n’aime vraiment pas qu’on me touche, en plus j’entends la voix d’une pierre de l’un d’eux qui dit procurer le pouvoir de la force. C’est celui qui me tient l’épaule, il serre, j’ai mal et en plus je déteste les contacts. Je me débats, essayant de les frapper.
Amber White
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Amber White
Jeu 23 Sep - 17:25
J'aime bien me balader dans les ruelles étroites, parce que franchement, je trouve qu'il n'y a rien de plus agréable de se faire reluquer les fesses ou les seins quand on se balade dans les rues. Dans les rues des riches, on le fait pas souvent, alors que dans les ruelles étroites, c'est fou de voir combien il y a de pervers sexuels qui foisonnent partout. Et mon bonheur est égal au nombre de paires d'yeux rivées sur mon arrière train. Non, rien que de penser à tout ces hommes qui ne rêvent que d'une chose : poser la main sur des fesses aussi délicate... Ce à quoi je répond : t'as de quoi payer, p'tit gars ?

A la base, je suis venu dans les ruelles pour faire une course. Avec mon métier, j'ai pas trop de problèmes pour payer tout ce que je veux avoir, donc normalement, j'ai rien à faire ici. Mais le problème, c'est qu'un client veut se débarrasser d'un rival, et il m'a dit que si je trouvais de quoi faire, il me payerai le triple de ce que je prend d'habitude. Vénale, moi ? Non, mais c'est juste que j'essaie de pas perdre mes client ! Alors, j'ai pris rendez vous avec un gars qui doit me procurer un peu d'arsenic. A la base, je voulais prendre du cyanure, mais le gars m'a dit qu'il n'en aurait plus avant au moins un mois, et j'en ai besoin tout de suite, donc j'ai prit l'arsenic. Ca marche pareil, après tout. Mais si moi j'avais eu à me venger de quelqu'un, personnellement, j'aurai choisi une méthode encore plus sadique : j'aurais empoisonné la personne à la mort-au-rat. C'est très rigolo, ce truc, parce qu'en fait, ça empêche le sang de coaguler, donc, au bout d'un moment, notre corps réagit en hémophile. Une coupure, et hop ! On arrête pas de saigner. Et surtout, le sang devient tellement fluide que si y'a pas de coupure, ben on fait quand même une hémorragie interne parce que le sang quitte les vaisseaux sanguins. Amber, arrête, ça les intéresse pas, c'est moi qui suit en Terminale S, pas toi, et puis les gens qui lisent tes aventures s'en foutent ! Tu crois vraiment que des gens lisent que tu écris, débile ? ... Tu marques un point là. Voilà ! Donc t'arrête de m'emmerder, et tu me laisses continuer tranquille ma petite histoire. Non mais !

Alors, je disais, avant que l'autre tarée me coupe, que je me baladais en recherchant la boutique où ils vendent l'arsenic. D'un coup, je vois des loubards qui se mettent à ennuyer un gamin. Ou peut-être pas un gamin, il a l'air plus vieux. Plus de quinze ans, en tous cas. Mais pas plus de vingt ans. Il est mignon, peut-être un peu petit en taille, dommage. Bref, les loubards ont l'air d'être sérieux, c'est comme s'ils allaient taper le premier, qui a sorti un couteau d'ailleurs. Pas de bol, son geste est arrêté par un deuxième gars, qui lui vole. Chuis sympa, quand même, je vais l'aider. Je m'approche des gars.

*Les gars, franchement, vous avez pas mieux à faire ?...*

Et en disant ça, j'ai assouvi le fantasme de dizaines de gars dans la rue : j'ai baissé ma robe afin qu'on voit ma magnifique poitrine. Le but à cela ? Détourner leur attention. Simplement, j'espère que le petit va réagir, ce serait con que je me fasse violer dans la rue pour rien, surtout s'ils payent pas après ! J'ai quand même ma dignité, je suis une putain, pas une couche-avec-n'importe-qui !
West Vanker
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West Vanker
Sam 2 Oct - 18:57
Je grogne un peu. Ils continuent de me toucher, en plus ils rigolent. Pourquoi ils rigolent ? Je ne comprends pas. Je ne vois pas ce qu'il y a de drôle. De toute façon, les brutes comme ça sont toujours bizarres. J'ai envie de me rouler en boule. Je n'arrive pas à me poser des énigmes dans ma tête parce qu'il faut que je me défende. Victor n'est pas là. Mais je n'ai pas peur, parce que non seulement il faut être courageux quand on est détective, mais en plus, je ne sais pas ce que c'est d'avoir peur. En plus, ils ne me croient pas quand je dit que je n'ai pas d'argent. Pourtant Victor ne m'en a pas donné c'est vrai. Et je ne sais pas mentir.

Mais je n'ai pas peur. C'est juste que, je n'aime pas qu'on me touche. Alors je grogne toujours. De plus en plus fort en me débattant, en tenant bien mon couteau, parce que c'est comme ça que je me défends. Et j'entends une voix. C'est une voix féminine. Elle parle aux hommes qui me tiennent, je me retourne. C’est une jeune femme aux cheveux bizarres. Ils sont un peu blancs. Ce n’est pas une couleur normal. Mais ce n’est pas jaune ou bleu. Alors ça ne fait rien. Elle a des yeux marrons. Et elle vient de leur demander s’il n’avait pas mieux à faire. Qu’est ce qu’elle veut dire par là ? Pour ces gens, qu’est ce qui est mieux à faire, que de voler par la force ?

Et ensuite, elle baisse sa robe. Je sais que les hommes ils aiment ça, voir les femmes nues. Victor m’a dit un jour que c’était parce que ça développait en eux une certaine excitation. Mais moi ça ne me fait rien. Ou pas grand-chose. Parce que je ne comprends pas. Tout ce que je sais, ce que les types ne font plus attention à moi, donc, comme je sais que s’ils vont me lâcher si je les pousse assez fort, je les pousse fort, et ils me lâchent, parce qu’ils n’ont plus fait attention à moi parce qu’ils étaient excités en face de cette femme qui s’est déshabillé en face d’eux. Les hommes sont vraiment faibles face aux femmes. Je ne grogne plus. Mais je me roule en boule, Il faut que je me fasse des énigmes dans ma tête. Il faut que je réponde à celle de Victor… Un mot de huit lettres…. Qui font douze quand tu en enlèves trois…. C’est impossible… Impossible… Huit lettres. Douze quand tu en enlève trois… Douze à déjà cinq lettres, tu en rajoute trois…. Ça fait huit lettres…

Je me relève. Je viens de trouver la solution. L’un des hommes s’approche de la femme. Je décide de l’attaquer, et lui donne un coup de couteau dans l’épaule. Il hurle. Je n’aime pas tellement ça, ça fait mal aux oreilles, mais je sais que j’ai bien visé. Et il se retourne vers moi. Mais il a mal. Il essaye de me frapper, j’évite le coup rapidement, et les autres sont trop occupés à regarder la femme. Alors, pour me débarrasser de cet homme là, je doit faire diversion. Comme la femme nue.

- Je connais un mot de huit lettres.
Enlève en trois et il reste douze.
De quel mot s’agit-il ?


Moi je connais la réponse. Mais peut-être pas lui. Et puis, il se met à réfléchir, pas longtemps, mais assez longtemps pour que je lui redonne un coup de couteau. Et quand je le vois qui s’enfuit en courant, parce qu’il a trop mal, je regarde la femme, les hommes sont tout autour d’elle entrain de faire ce que les gens appellent « draguer ». Je regarde. Ils pourraient m’attaquer à tout moment.
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Amber White
Lun 4 Oct - 13:06
Bon, le diversion a plutôt bien marché, chuis plutôt contente. Les gros gars sont partis la queue entre les jambes et un coup de couteau quelque part, et moi, j'ai gagné cinq ou six opportunités de sexe. Mais là, c'est pas vraiment l'heure. Je dois acheter mon poison, et je dois pas me laisser distraire, même si c'est pas des pommes de terre dans le caleçon mais le vrai attribut. Je remet bien ma robe, remet bien mes seins à l'intérieur en annihilant les paroles des gars autour de moi. De toutes façons, je sais bien que c'est bateau, du genre "Hey, t'habites où" ou "je t'ai pas déjà vu ? On dirai un ange"... Oui je sais, on me les a toutes déjà sorties, et je trouve plus ça très amusant maintenant. Je préfère les mecs qui y aillent franco, mais là, pas le temps. Donc tant pis.

Bon, faut que j'arrive à me casser. Réfléchissement, Amber. Comment tu pourrais bien faire pour te casser d'ici ? Et là, la solution me vient.

*Je t'avais bien dit de pas partir comme ça, frérot !*

Et je vais vers le garçon. Alors vous avez peut-être besoin d'une explication ? Ben en fait, pour m'en débarrasser de tous les gens, fallait une excuse. Le frère, c'est ce qui marche le mieux. Et puis les gars, ils vont pas draguer la soeur d'un gars qui vient de foutre deux coups de couteaux à de grands loubards. De plus, le gars, il m'est redevable. J'aurai aussi pu le faire passer pour mon copain, mais y'avait deux risques. Déjà que l'intéressé s'y croit, et d'autre part, que les autres n'aient pas froid aux yeux de s'attaquer à de la viande déjà prise, si je puis m'exprimer ainsi. Je vais donc vers le garçon. Je sais pas vraiment l'âge qu'il a, il est grand et petit en même temps, c'est pour ça que j'ai pas donné du "petit frère" ou du "grand frère". Et si il a le même âge que moi, j'aurai eu l'air bête, j'aurais été ridicule.

Je le touche pas, je veux pas qu'il s'imagine quoi que ce soit avant qu'on en soit plus loin, parce qu'il est mignon, mais pour l'instant je le mettrai pas dans mon lit. Et puis tant que je connais pas son âge, je m'avance pas. Je veux pas coucher avec un mineur, moi ! Qu'est-ce que je foutrai avec une pioche et un casque, moi ?
West Vanker
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West Vanker
Ven 29 Oct - 20:11
Je n’aimerais pas être à la place de la fille. Que les gens m’entourent. Qu’ils sont presque là à me toucher. Je n’aime pas qu’on me touche. Peut-être qu’elle non plus elle n’aime pas quand les gens la touchent ? Peut-être que je devrais faire quelque chose. Victor m’a toujours dit d’aider les gens dans les moments difficiles, mais moi j’ai toujours peur que leur main se pose sur moi. Je n’aime pas ça.

*Je t'avais bien dit de pas partir comme ça, frérot !*

Elle parle à moi ? Si elle parle à moi, pourquoi elle dit que je suis son frère ? Je ne comprends pas. Pourtant, elle vient vers moi. Peut-être qu’elle essaye de se débarrasser des hommes qui la collent en me faisant passer pour quelqu’un d’autre ? Mais si je ne veux pas… Enfin, là je ne peux rien faire… Elle s’avance vers moi. Je ne sais même pas son nom, comment je peux l’appeler ? Grande sœur ? Petite sœur ? Je ne sais pas quel âge elle a, je dirais le même que le mien, alors dans ce cas elle pourrait être ma jumelle, mais ce n’est pas possible parce qu’on ne se ressemble pas…Qu’est ce que je dois faire ? En tout cas, les hommes eux, ils sont un peu surpris que je sois son frère, enfin, je crois que c’est ce qu’on appelle de la surprise quand quelqu’un à la bouche grande ouverte et les sourcils haussés…. J’ai envie qu’on réponde à mon énigme, parce que j’ai déjà trouvé la réponse moi. Alors, comme je vois que les hommes s’approchent de moi quand même, en disant : « oh ce n’est pas grave si elle à un frère… » je décide de leur poser encore mon énigme :

- Je connais un mot de huit lettres.
Enlève en trois et il reste douze.
De quel mot s’agit-il ?


Ils ouvrent la bouche et une succession de « ah » et de « hi » sortent. On appelle ça un rire. Pourquoi ils rient ? Ce n’est pas drôle. Peut-être qu’ils ont trouvé la solution à mon énigme ?

- Qu’est ce que tu racontes minus ?
- Vous ne connaissez pas la réponse ?
- Et pourquoi on te la donnerait ?


Ils s’approchent encore, et ont l’air de vouloir se débarrasser de moi. Pourquoi ils n’ont pas peur ? J’ai fait mal à l’autre pourtant. Dans la logique ils devraient dire : « ah il fait mal, fuyons », comme quand Victor attaque un groupe du même genre. Mais là, ils ne s’en vont pas. Je crois que ça s’appelle l’excitation. Victor m’a dit que moi, je ne sais pas ce que c’est, mais que je peux peut-être le ressentir. C’est quand on trouve quelqu’un de très beau et que notre cœur il bat fort et notre bas il bouge et nous donne des drôles d’envies. Mais je ne sais pas si je peux vraiment le ressentir. Il y en a un qui va pour me toucher, je lui donne un coup de couteau. Peut-être que pour eux, l’ancien coup était un coup de chance. (Parenthèse de l’auteur : Même West fait des jeux de mots !!)

- Aah ! Sale gosse !
- Je ne suis pas un enfant, j’ai dix-neuf ans.

C’est vrai en plus. Parce que je suis né en 1854, et qu’on est en 1873, donc j’ai 19 ans. Ils ne sont pas contents. Ils me regardent méchamment. Alors je redonne un coup de couteau, parce qu’il y en a un qui veut encore me toucher. Alors ils ont peur. Et ils s’enfuient comme l’autre.

- La réponse, c’est une douzaine.

Je parle de l’énigme. Un mot de huit lettres, douzaine contient huit lettres. Vous enlevez trois lettres, donc ine, ça fait douza, mais aussi douze. Et la fille, peut-être qu’elle l’avait deviné elle.

- Voilà, vous n’avez plus à dire que je suis votre frère.

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